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Le blog de hugo,

Prendre la pilule durant dix ans divise par 2 le risque de cancer de l'ovaire,femmes, sante,

25 Juillet 2013, 17:21pm

Publié par hugo

Prendre la pilule durant dix ans divise par 2 le risque de cancer de l'ovaire
pilule cancer de l'ovaire La pilule réduit considérablement le risque de cancer de l’ovaire.25/07/2013
Selon une récente étude américaine, la contraception hormonale orale limiterait les risques de développer un cancer de l’ovaire…
Ces derniers mois, les scandales sur les pilules de troisième et quatrième générations se sont multipliés. Accusés notamment d’augmenter le risque de thrombose veineuse, ces contraceptifs sont de plus en plus boudés par les femmes. Pourtant, une nouvelle étude américaine démontre, cette fois-ci, le côté préventif de la pilule. Des chercheurs ont observé qu’elle réduit considérablement le risque de cancer de l’ovaire. Et plus la durée de prescription est longue, plus les femmes sont protégées.
Pour dresser ce constat, les chercheurs ont analysé les résultats de 55 études associant la prise de pilule et le risque de cancer de l'ovaire. Les scientifiques ont ainsi remarqué une diminution significative de 27 % du risque de cancer de l'ovaire chez les femmes prenant une pilule contraceptive. Par ailleurs, prendre la pilule durant dix ans divise par 2 le risque de cancer de l'ovaire. Si l’on connaissait déjà l'effet protecteur des pilules vis-à-vis du cancer de l'ovaire, les spécialistes ignoraient jusqu’à présent le degré de protection. Cependant, même si ces résultats sont encourageants, les auteurs de l’étude soulignent « qu'il ne faut pas oublier les risques connus liés à la contraception hormonale orale ».
Pour rappel, le cancer de l’ovaire constitue la septième cause de cancer féminin en France. Près de 4 400 nouveaux cas sont recensés chaque année, responsables de 3 000 décès par an.
Source : Obstetrics & Gynecology
Auteur : Elodie Moreau Voir aussi "Les méthodes naturelles de contraception" > COMMENTER0

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Rapport de l’Unicef : 30 millions de fillettes menacées d’excision,femmes,filles,violence

25 Juillet 2013, 16:37pm

Publié par hugo

Accueil PARENTS > Actualités > Rapport de l’Unicef : 30 millions de fillettes menacées d’excision
Rapport de l’Unicef : 30 millions de fillettes menacées d’excision
excision fillettes En Somalie, 98% des femmes entre 15 et 49 ans excisée24/07/2013
Un compte rendu de l’Unicef expose la situation de l’excision à travers le monde. Si cette pratique fait toujours des victimes, elle semble de moins en moins répandue.
L’Unicef a publié un nouveau rapport sur l’excision. Rendu public lundi 22 juillet, ce document explique que plus de 125 millions de femmes ont été victimes de cette pratique autour du globe, et que 30 millions risquent de subir le même sort durant les dix prochaines années. Ne présentant aucun avantage sanitaire, les mutilations génitales féminines constituent un terrible traumatisme et s’accompagnent souvent de graves séquelles, telles que des kystes, de sérieuses hémorragies ou la stérilité. Très présente en Afrique et au Moyen-Orient, c’est en Somalie que cette pratique est la plus répandue, avec 98 % des femmes entre 15 et 49 ans excisées. Malgré tout, cette étude apporte une note d’optimisme : dans plusieurs pays d’Afrique, comme le Kenya et la Tanzanie, les jeunes femmes sont trois fois moins souvent excisées que celles des précédentes générations. Par ailleurs, les hommes sont de plus en plus nombreux à prêter leurs voix aux femmes et à protester contre cette pratique. Le combat est encore bien loin d’être remporté, mais les petites africaines ont droit à une lueur d’espoir.
Auteur : Benjamin Pierret

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Paroles Tu Trouveras Natasha St-Pier ,chansons,

25 Juillet 2013, 16:24pm

Publié par hugo



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Tu Trouveras Video:


De L'amour, Le Mieux Paroles
» Nos Rendez-vous
» Grandir C'est Dire Je T'aime
» Tous Les Au-revoir Se Ressemblent
» Alors On Se Raccroche
» Les Chansons Ne Servent à Rien
» De L'amour Le Mieux
» Enlève Ton Blouson
» Pourquoi Tant De Larmes?
Parole de Tu Trouveras:
Comme tout le monde j'ai mes défauts
J'ai pas toujours les mots qu'il faut
Mais si tu lis entre les lignes
Tu trouveras dans mes chansons
Tout c'que je n'ai pas su te dire


Il y a des fautes d'impression
Des "Je t'aime" un peu brouillon
Malgré mes accords malhabiles
Tu trouveras dans mes chansons
Tout ce que je n'ai pas osé te dire


{Refrain:}
Tu trouveras...
Mes blessures et mes faiblesses
Celles que j'n'avoue qu'à demi-mot
Mes faux pas mes maladresses
Et de l'amour plus qu'il n'en faut
J'ai tellement peur que tu me laisses
Sache que si j'en fais toujours trop
C'est pour qu'un peu tu me restes
Tu me restes


Il y en a d'autres que tu aimeras
Bien plus belles, plus fortes que moi


[Je leur laisserai bien sûr la place
Quand je n'aurai plus dans mes chansons
Plus rien à te dire en face
Le temps vous endurcit de tout
Des illusions, des mauvais coups]


Si je n'ai pas su te retenir,
Sache qu'il y a dans mes chansons
Tout c'que je n'ai pas eu le temps de te dire


Le temps vous endurcit de tout
Des illusions, des mauvais coups
Si je n'ai pas su te retenir,
Sache qu'il y a dans mes chansons
Tout c'que je n'ai pas eu le temps de te dire


{au Refrain: x3}
Tu trouveras...
Mes blessures et mes faiblesses
Celles que j'n'avoue qu'à demi-mot
Mes faux pas, mes maladresses
Et de l'amour plus qu'il n'en faut
J'ai tellement peur que tu me laisses
Sache que si j'en fais toujours trop
C'est pour qu'un peu tu me restes
Tu me restes.

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Titre: Je Te Promets,

25 Juillet 2013, 16:17pm

Publié par hugo

Correct Je Te Promets Lyrics Corriger ces paroles
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Artist: Johnny Hallyday
Album: Autres Chansons
Titre: Je Te Promets


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Je Te Promets Video:


Other Paroles
» Vivre
» Le Coeur En Deux
» Souvenirs Souvenirs
» L'envie
» Je Viendrai Te Chercher
» Tout Ce Cirque
» Derrière L'amour
» Laura
Parole de Je Te Promets:
Je te promets le sel au baiser de ma bouche
Je te promets le miel à ma main qui te touche
Je te promets le ciel au-dessus de ta couche
Des fleurs et des dentelles pour que tes nuits soient douces


Je te promets la clés des secrets de mon âme
Je te promets la vie de mes rires à mes larmes
Je te promets le feu à la place des armes
Plus jamais des adieux rien que des au-revoir


J'y crois comme à la terre,j'y crois comme au soleil
J'y crois comme un enfant,comme on peut croire au ciel
J'y crois comme à ta peau, à tes bras qui mes serrent
J'te promets une histoire différente des autres
J'ai tant besoin d'y croire encore


Je te promets des jours tout bleu comme tes veines
Je te promets des nuits rouges comme tes rêves
Des heures incandescentes et des minutes blanches
Des secondes insouciantes au rythme de tes hanches


Je te promets mes bras pour porter tes angoisses
Je te promets mes mains pour que tu les embrasses
Je te promets mes yeux si tu ne peux plus voir
J'te promets d'être heureux si tu n'a plus d'espoir


J'y crois comme à la terre,j'y crois comme au soleil
J'y crois comme un enfant,comme on peut croire au ciel
J'y crois comme à ta peau, à tes bras qui me serrent
J'te promets une histoire différente des autres
Si tu m'aides à y croire encore


Et même si c'est pas vrai,si on te l'a trop fait
Si les mots sont usés comme écrit à la craie
On fait bien des grands feux en frottant des cailloux
Peut être avec le temps à la force d'y croire
On peut juste essayer pour voir


Et même si c'est pas vrais, même si je mens
Si les mots sont usés,légers comme du vent
Et même si notre histoire se termine au matin
J'te promets un moment de fièvre et de douceur
Pas toute la nuit mais quelques heures


Je te promets le sel au baiser de ma bouche
Je te promets le miel à ma main qui te touche
Je te promet le ciel au-dessus de ta couche
Des fleurs et des dentelles pour que tes nuits soient douces


(Merci à eloise, Extasie pour cettes paroles)

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Prisons : la France se démarque par sa surpopulation carcérale et son taux de suicides,femmes, homme,sante,

24 Juillet 2013, 22:51pm

Publié par hugo



Prisons : la France se démarque par sa surpopulation carcérale et son taux de suicides
Le HuffPost/AFP | Publication: 03/05/2013 17h16 CEST | Mis à jour: 03/05/2013 17h31 CEST
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SUIVRE: Europe, Prisons, Prisons, Conseil De l'Europe, Surpopulation Carcérale, Droits De l'Homme, Suicide, Union européenne, Actualités
PRISON - La France fait partie des mauvaises élèves en matière de surpopulation carcérale, avec 113,4 prisonniers pour 100 places. C'est le principal enseignement d'un rapport du Conseil de l'Europe publié vendredi 3 mai.


La France se fait également remarquer par un taux élevé de suicides, avec 15,5 suicides pour 10.000 détenus (en 2010) contre une moyenne de 6,7 pour l’ensemble des 47 pays membres du Conseil de l'Europe. En 2010, les prisons françaises ont déploré 95 suicides de détenus et 123 en 2011.


Les auteurs du rapport appellent toutefois à la prudence dans les comparaisons, dans la mesure où chaque pays établit à sa manière la capacité d'accueil de ses prisons.


La moitié des pays européens en surpopulation carcérale


Une vingtaine des 47 pays membres de l'organisation paneuropéenne comptent plus de prisonniers que de places disponibles, dont la France (en 11e position avec 113,4 prisonniers pour 100 places), la Belgique (127,2) ou encore la Hongrie (138,2).


Le trio de tête est composé de la Serbie (157,6), de la Grèce (151,7) et de l'Italie (147), alors que les prisons européennes accueillent en moyenne 99,5 détenus pour 100 places. La moitié des pays européens sont en situation de surpopulation carcérale.


Au niveau de l'Union européenne, la moyenne se situe à 107,4 prisonniers pour 100 places et la France se place au 7e rang comme le montre l'infographie ci-dessous.




Le profil des détenus


Le rapport du Conseil de l'Europe permet aussi de définir un profil pour les personnes incarcérées dans les prisons européennes. L'âge moyen est de 33 ans et il s'agit à près de 95% d'hommes. La France n'échappe pas à ce constat, comme l'avait montré cette étude d'OWNI en 2011.


Parmi ceux déjà condamnés, environ un quart purgeaient une peine de moins d'un an et 14% de plus de 10 ans en 2011. Plus d'un détenu sur cinq est par ailleurs étranger, une proportion qui dépasse le tiers dans les pays d'Europe de l'ouest. Pour sa part, la France se démarque avec un pourcentage élevé de détenus purgeant une peine inférieure à un an de prison (35,4 %, soit le dixième rang européen).


Nombre de prisonniers : la France en dessous de la moyenne européenne


Les pays membres du Conseil de l'Europe comptaient au total quelque 1,86 million de détenus dans leurs prisons en 2011, soit 154 prisonniers pour 100.000 habitants.


Mais il y a de très fortes disparités derrière cette moyenne. On compte ainsi moins de 50 détenus pour 100.000 habitants dans certains pays comme l'Islande, alors que la proportion dépasse les 200 dans plusieurs pays d'Europe de l'Est. L'Ukraine (347,7 détenus pour 100.000 habitants), l'Azerbaïdjan (417), la Géorgie (541,2) et la Russie (546,1) sont les pays aux taux les plus élevés.


Au sein de l'Union européenne, avec la France fait partie des pays en dessous de la moyenne (111,3), tout comme l'Allemagne (86,8) et les Pays-Bas (69,5). La moyenne des 27, représentés dans le graphique ci-dessous, se situe à 142,1.




Lire aussi :
» La décision qui va révolutionner le droit du travail en prison


» Quelles améliorations pour les prisons?


» La dératisation a commencé à la prison des Baumettes de Marseille


» Prisons : la France rappelée à l'ordre

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Prison : la France condamnée par la Cour européenne des droits de l'homme,femmes, hommes,lois,LDH,

24 Juillet 2013, 21:48pm

Publié par hugo

Prison : la France condamnée par la Cour européenne des droits de l'homme
Le Monde.fr | 26.04.2013 à 16h55 • Mis à jour le 26.04.2013 à 16h57 |
Par Franck Johannès
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La prison des Baumettes à Marseille.
La France a été à nouveau condamnée par la Cour européenne des droits de l'homme, jeudi 25 avril, pour "traitement dégradant", en raison des conditions de détention dans la maison d'arrêt de Nancy, finalement fermée en 2009.
Enzo Canali, 60 ans, avait été incarcéré pour meurtre à la prison Charles III de Nancy le 24 mai 2006, dans une cellule de 9 m2, avec un autre détenu. Lors d'une fouille de sa cellule, en juin, les surveillants lui confisquent un balai : il proteste, et écrit trois jours plus tard à la directrice de l'établissement pour réclamer son balai et des produits d'entretien. Il en profite pour réclamer une porte aux toilettes de la cellule, séparée par un simple petit muret des lits superposés, à 90 cm de là.


Il y a aussi une fuite dans la chasse d'eau, et "le manque de pression de la chasse d'eau m'oblige à réduire les excréments afin qu'ils puissent s'écouler normalement dans l'évacuation", écrit plus tard le détenu à un magistrat. D'ailleurs, ajoute-t-il, "ce qui est inhumain, c'est de faire ses besoins à la vue de tous". Le plateau de la table n'est pas non plus fixé, une prise électrique déboitée est tout près du lavabo, les cafards croissent et se multiplient dans cette antique prison – construite en 1857 – qui contenait à grand peine 283 détenus pour 262 places.


"ÉTAT D'HYGIÈNE PITOYABLE"


Enzo Canali réclame à nouveau par écrit son balai le 3 juillet, et fait valoir que "son collègue et lui-même étaient dans un état d'hygiène pitoyable". De guerre lasse, il dépose plainte avec constitution de partie civile auprès du doyen des juges de Nancy le 25 juillet 2006. En octobre, ce dernier estime la plainte irrecevable : il s'agit d'un problème qui relève de l'administration pénitentiaire, et donc du tribunal administratif.


Le détenu fait appel. La Cour lui donne raison et désigne un autre juge d'instruction. Il est enfin entendu par le magistrat en février 2008, mais le 20 janvier 2009, la Cour de cassation décide que les conditions de détention ne relèvent effectivement que du droit administratif. Enzo Canali, qui n'a été détenu que six mois à Nancy, saisit alors en juillet la Cour européenne des droits de l'homme.


Les juges de Strasbourg n'ont pas de standards spécialement exigeants : l'arrêt observe que partager une cellule de 9 m2 "lui permettait de disposer d'un espace individuel de 4,5 m2, réduit cependant par les installations sanitaires (lavabo et toilettes) et les meubles de la cellule (dont une table, un lit superposé et deux chaise)". Ce n'est pas Versailles, mais "un tel taux d'occupation correspond au minimum de la norme recommandée par le Comité européen pour la prévention de la torture" qui ne s'alarme qu'au-dessous de 3 m2 par personne – l'équivalent d'une pièce où l'on pourrait, du centre, toucher tous les murs.


"SÉRIEUX AVERTISSEMENT À LA FRANCE"


Mais la Cour note aussi que "d'autres aspects des conditions de détention sont à prendre en compte", notamment " la possibilité d'utiliser les toilettes de manière privée, le mode d'aération, l'accès à la lumière, la qualité du chauffage et le respect des exigences sanitaires de base", qui faisaient cruellement défaut à Nancy. D'autant qu'Enzo Canali passait vingt-deux heures sur vingt-quatre en cellule, et que la promenade se faisait dans une courette de 50 m2 où les détenus étaient trop serrés pour même tourner en rond.


Ainsi, "la Cour considère que l'effet cumulé de la promiscuité et des manquements relevés aux règles d'hygiène ont provoqué chez le requérant des sentiments de désespoir et d'infériorité propres à l'humilier et à le rabaisser". La Cour lui accorde 10 000 des 15 000 euros qu'il réclamait (le gouvernement français avait estimé que 600 euros étaient vraiment un maximum), et 4 784 euros de frais de procédure.


"C'est la première fois qu'est mis en avant le critère de surpopulation", se réjouit Me Patrice Spinosi, qui a obtenu – une cinquième fois – la condamnation de la France sur la question des prisons, au nom de l'Observatoire international des prisons (OIP). "Même si la surpopulation carcérale n'est pas constitutive à elle seule d'un traitement dégradant, c'est un critère à prendre en considération. C'est une avancée remarquable."


Pour l'OIP, il s'agit d'un "sérieux avertissement à la France", qui "doit amener le gouvernement à engager enfin une politique pénale faisant véritablement de l'emprisonnement un ultime recours, au bénéfice d'une probation renforcée et d'une réduction du champ d'intervention de la justice pénale."


Franck Johannès

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Sexe : quand l'un veut, l'autre pas,femmes, hommes, sante,sexes

23 Juillet 2013, 03:33am

Publié par hugo

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Sexe : quand l'un veut, l'autre pas


« Pas ce soir », « Pas envie »... Dans un couple, tôt ou tard, chacun fait la douloureuse expérience du refus de son partenaire. Désirs en décalage ou inappétence passagère, ce « non » blesse toujours l'ego du demandeur. Sans généraliser, psys et sexologues s'accordent à reconnaître que le « je n'ai pas envie » de l'autre résonne différemment chez une femme ou un homme.


Flavia Mazelin-Salvi


« J'ai beau savoir que ces temps-ci il a des problèmes au travail, mais quand il me fait comprendre tendrement "qu'il n'a pas vraiment la tête à ça", ça me fait mal. C'est comme s'il me disait : » Tu ne me fais pas assez envie pour que j'oublie mes soucis... », confie Anne-Sophie, 36 ans. Selon le psychanalyste Gérard Bonnet, le refus de son partenaire, même lorsqu'elle en connaît les raisons profondes remet en question la femme en tant que personne désirable. Et en arrière-plan rôde, toujours angoissante, cette question : « M'aime-t-il encore ? » Car pour la majorité des femmes, désir sexuel, valeur narcissique et sentiment amoureux sont étroitement liés.


Pour aller plus loin
VIDEO. 10 questions sexo : le désir A quoi est due la perte de désir ? Comment le retrouver ? Si mon/ma partenaire ne me désire plus, est-ce qu'il/elle ne m'aime plus ? Le point avec Alain Héril, psychothérapeute et sexothérapeute.
En revanche, face à un refus, les hommes ressentent souvent de la frustration. « Il y a là quelque de très intense et de très archaïque qui est réactivé, poursuit Gérard Bonnet. Comme si, à ce moment-là, la femme assimilée à la mère censée satisfaire ses besoins le rejetait sans appel. »


Simon, 39 ans, avoue vivre très mal cette situation. « Je sens bien quand elle n'a pas envie, mais je tente quand même. Parfois ça marche, mais quand elle baisse le rideau, je ressens ça comme un caprice, une injustice. J'ai envie de lui dire : si tu n'as pas envie, je ne vais pas mendier, il y en aura bien d'autres qui voudront ! Ça reste mon petit cinéma mental, je ne passerai pas à l'acte, mais ça me fait du bien de m'accorder cette possibilité. »


Toujours selon Gérard Bonnet, le fantasme de trouver satisfaction auprès d'une autre partenaire s'expliquerait en partie par la position qu'occupe la mère dans l'imaginaire des hommes, c'est-à-dire une femme qui répond à tous ses besoins. « Et dans cet imaginaire, cela veut dire qu'il existe quelque part une femme qui ne refusera jamais.


Si dans le couple, le refus devient une arme régulièrement utilisée, il se peut qu'un jour le fantasme soit suivi d'un passage à l'acte. » Pour échapper à ce marchandage, explique Gérard Bonnet, les couples doivent apprendre non seulement l'art du compromis, mais aussi celui plus subtil du tri. C'est-à-dire purger la relation sexuelle des ressentiments qui transforment le lit conjugal en champ de bataille.


Juillet 2013


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La drépanocytose, «c’est une maladie raciale et racialisée»,handicape,femmes, hommes,

23 Juillet 2013, 03:27am

Publié par hugo

DRÉPACTION DRÉPANOCYTOSE JENNY HIPPOCRATE FRANCE HANDICAP


La drépanocytose, «c’est une maladie raciale et racialisée»


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19 JUIN, 2013
Par: Marie France Makutungu
RespectMag a posé trois questions à Jenny Hippocrate, présidente de l’association pour l’information et la prévention de la drépanocytose (APIPD).


A l’occasion de la journée mondiale de lutte contre la drépanocytose, célébrée le 19 juin, Jenny Hippocrate accepte de nous parler de son combat. Présidente de l’association pour l’information et la prévention de la drépanocytose, elle est à l’origine de la semaine de la lutte contre la drépanocytose qui se tient du 12 au 19 juin et du drépaction. Cette mère d’un enfant touché par la maladie génétique la plus répandue en France nous donne son point de vue sur l’avancée des traitements.




Où en-est-on du traitement de la drépanocytose en métropole et en Outre-mer ?
Jenny Hippocrate: Aujourd’hui, on ne peut toujours pas guérir de la drépanocytose. Il existe seulement des soins préventifs. Seule une greffe de moelle osseuse est susceptible de soigner la maladie mais c’est une opération dangereuse et elle présente de réelles contraintes : il faut un donneur et un code génétique identique pour pouvoir faire ce don. Cependant, beaucoup de personnes malades arrivent à atteindre l’âge adulte tout en étant atteint de la drépanocytose que ce soit en métropole ou en Outre-mer. Or, j’observe toujours une carence en Martinique. Il n’y a pas assez de médecins, la logistique est à revoir et il manque encore de nombreux outils dans nos hôpitaux tels que des pompes à morphines par exemple pour assurer un suivi.


Estimez-vous qu’il existe une ségrégation quant à la reconnaissance de cette maladie ?
J.H.: Assurément. C’est une maladie raciale et racialisée. J’entends toujours dire « c’est la maladie des noirs ». Il y a trois ans, nous avions fait la demande d’une subvention au ministère de la Santé et on nous a renvoyé au ministère de l’Outre-mer. Cette année nous avons réalisé une demande similaire et nous n’avons jamais eu de réponse. Nos demandes sont laissées pour lettres mortes. Que voulez-vous penser face à cela ?


Quelles avancées concrètes le drépaction a-t-il permis d’effectuer jusqu’à aujourd’hui ?
J.H.: Le drépaction existe depuis 2009. Cet événement a renforcé la médiatisation de cette pathologie. Nos objectifs sont d’informer et de sensibiliser. Désormais, l’information « passe». On ne gagne pas suffisamment d’argent pour stimuler la recherche mais les gens en parlent. C’est l’essentiel.

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“Mes voisins changeaient de trottoir”,femmes, hommes,respect,ATD QUART MONDE,

23 Juillet 2013, 03:13am

Publié par hugo

ATD QUART MONDE PAUVRETÉ FRANCE CITOYENNETÉ


“Mes voisins changeaient de trottoir”


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21 JUILLET, 2013
Par: Alexandra Luthereau
Marie-France Zimmer n’a pas été épargnée par la vie : enfant malade, accident grave, ex-mari n’assumant pas ses responsabilités. Sans ressources, elle galère à subvenir aux besoins de sa famille. Dans les années 80, l’association ATD Quart monde l’aide à retrouver sa dignité. A son tour, elle s’engage pour lutter contre les stéréotypes associés aux pauvres.


RESPECT: Comment vous êtes-vous retrouvée dans la pauvreté ?


Marie-France Zimmer: C’est une histoire assez banale en fait. J’ai quitté mon emploi pour aller m’installer avec mon mari dans une autre ville, nous avons accumulé des dettes pour acheter notre maison et pour couvrir les soins de santé de notre fils malade. Et puis nous avons divorcé. Mon mari vivant au Tchad pour son travail, je me suis retrouvée seule pour payer nos dettes et élever sans pension alimentaire nos enfants. Au début, je touchais l’allocation chômage des emplois précédant mon mariage. Mais j’ai eu un grave accident qui m’a clouée neuf mois à l’hôpital puis quatre ans au lit. Du coup, comme je ne pouvais pas travailler, j’ai été radiée. Les allocations familiales que je percevais couvraient à peine le loyer de l’appartement. J’ai emprunté de l’argent à ma famille, à des amis et je bénéficiais d’aides du Conseil général. En 1988, le RMI est mis en place. A partir de là, j’ai pu vivre un peu mieux et manger tous les jours.


Au-delà de la précarité financière, quelles difficultés avez-vous rencontrées ?


M-F. Z.: La honte. Je ne voulais pas que mes voisins, ma famille sachent que je touchais le RMI et que je connaissais des difficultés. Je me suis renfermée sur moi-même : dans la rue je marchais en regardant mes pieds, je n’ouvrais pas mes volets, je ne parlais à personne. Une femme de mon quartier a compris que j’allais mal. Un jour, elle m’a proposé de me rendre à l’association ATD Quart Monde pour laquelle elle était bénévole. Là-bas, je me suis rendue compte que je n’avais pas à avoir honte.


A cette époque, avez-vous ressenti de la discrimination du fait de votre pauvreté ?


M-F. Z.: J’ai beaucoup souffert de la violence de certaines réactions. Par exemple, au moment de la création du RMI, j’ai témoigné en tant qu’allocataire auprès d’un journaliste. A l’époque, je vivais dans un petit appartement d’un quartier plutôt aisé. Quand l’article est paru et que mes voisins ont appris que je touchais le minimum social, ils ont changé de comportement à mon égard.Quand ils me croisaient, ils changeaient de trottoir, ne me disaient plus bonjour. Une autre fois, ma fille m’a rapporté qu’elle n’avait pas été invitée au goûter d’anniversaire d’une copine. La camarade de classe a tout simplement dit à ma fille : “Je ne t’invite pas parce que je sais que tu ne pourras pas m’offrir de cadeau”. C’est pour que d’autres ne vivent pas ce que j’ai vécu que je suis devenue bénévole pour ATD Quart Monde. Relever les yeux, discuter, c’est important dans ces situations, j’en sais quelque chose.


Estimez-vous être sortie de la pauvreté aujourd’hui ?


M-F. Z.J’ai encore des difficultés à payer certaines factures. Mais je ne me plains pas, j’ai vécu pire. Aujourd’hui, je fais trois heures de ménage par jour à 60 kilomètres de chez moi. Cela me rapporte 560 euros par mois, je touche par ailleurs le RSA activité. Malgré mon diplôme de bibliothécaire et mon expérience de secrétaire médicale, j’éprouve des difficultés à trouver un emploi à plein temps du fait de mon statut de travailleur handicapé obtenu après mon accident. J’aurais pu demander le statut d’adulte handicapé mais j’ai toujours tenu à travailler même si c’était du bénévolat.





Livre d’utilité publique


Les préjugés ont la vie dure. Ceux sur la pauvreté tout particulièrement. Pour les combattre, ATD Quart Monde publie un livre en septembre 2013. Plus de 80 assertions comme “les pauvres ne veulent pas travailler”, “les personnes au RSA vivent mieux que les travailleurs au SMIC” ou encore “les pauvres font des enfants pour toucher un maximum d’aides et d’allocations” sont analysées, nuancées, chiffres et études à l’appui.
Pour une diffusion la plus large possible, grâce à un prix de vente modeste (5 euros), ATD Quart Monde a lancé une campagne d’appels aux dons via la plateforme de financement participatif ulule.com.


“Pour en finir avec les idées reçues sur les pauvres et la pauvreté”
Parution : septembre 2013 - Editions Quart Monde
Auteurs : Bruno Tardieu, délégué national d’ATD Quart monde, Marie-France Zimmer, membre de la délégation élargie d'ATD Quart monde, Jean-Christophe Sarrot, rédacteur en chef du journal « Feuille de route », mensuel national d'ATD Quart monde.

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MÉNAGE : NOS CONSEILS POUR ENTRETENIR VOTRE SANTÉ,sante, femmes, hommes,

23 Juillet 2013, 03:08am

Publié par hugo

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MÉNAGE : NOS CONSEILS POUR ENTRETENIR VOTRE SANTÉ !
Écrit par S.Norest Créé le lundi 22 juillet 2013 13:53
MenageconseilspratiquesLe saviez-vous ? Faire le ménage serait dangereux pour notre santé. En effet, certains produits d’entretien « classiques » sont mis en cause dans l’apparition de plusieurs maladies. Alors, faut-il arrêter de faire le ménage et laisser s’installer chez nous poussières, saleté, acariens et bactéries ? Heureusement, non ! Les médecins de l’ASEF vous donnent des solutions pour ménager votre santé mais aussi l’environnement.






On dit stop aux produits chimiques !


Contrairement aux idées reçues, l’air intérieur de nos maisons est souvent bien plus pollué que celui de l’extérieur. Principaux coupables : la fumée de cigarette, les produits de bricolage et de décoration, les meubles, les cosmétiques… et surtout les produits ménagers ! En effet, ces derniers renfermeraient une multitude de substances chimiques soupçonnées d’être dangereuses pour nous.


produits agressifs conseils


Des effets sur la santé


Allergies, asthme, irritations des bronches, de la peau, des yeux et du système digestif voire même cancers, voici de quoi sont accusés les produits d’entretien. En effet, trop agressifs ou trop concentrés, ils entraîneraient selon le type de produits utilisés, l’âge, le sexe, la fréquence ou la durée d’exposition des maladies plus ou moins graves…


Quels produits éviter ?


Face aux risques encourus, nous vous conseillons donc de faire un peu de tri dans vos placards…


On jette : les produits d’entretien classiques…


produits classiques conseils okDu sol au plafond en passant par la salle de bain et la cuisine, on utilise souvent des produits corrosifs pour vaincre la saleté. Seulement voilà… ils sont dangereux ! Les produits sous forme de vaporisateur augmentent par exemple, les risques au moment de l’utilisation. Propulsé en fines gouttelettes, le produit reste en suspension et peut facilement être inhalé ou entrer en contact avec la peau et les yeux…. Nous vous conseillons de choisir des produits écologiques – et si vous ne pouvez vraiment pas vous y résoudre – évitez au moins ce type de conditionnement et versez le produit directement sur un chiffon.


… la javel…


On ne le sait pas assez mais cette « bonne » vieille eau de javel est nocive pour l’environnement et la santé. Elle peut, en effet, être néfaste pour les organismes aquatiques et provoquer des brûlures de la peau, des yeux, du système digestif et respiratoire. On évite donc au maximum de l’utiliser et on ne la mélange surtout pas avec d’autres produits car cela peut entraîner un gaz toxique !


Lessive conseils pratiques


… la lessive tradi…


Certaines lessives contiennent des substances allergènes ou du phosphate provoquant de graves conséquences sur les écosystèmes. En effet, cela entraîne dans les milieux aquatiques la prolifération d’algues et donc la désoxygénation des eaux. On opte donc plutôt pour les lessives écologiques ou les recettes de grand-mère à base de savon noir ou de Marseille !


… les désodorisants et les vaporisateurs…


Pour un intérieur qui sent bon, on utilise souvent des bombes aérosol, des parfums d’ambiance ou de l’encens… Mais pour tout vous dire, ce n’est pas franchement une bonne idée ! En effet, ces produits contiennent des substances cancérigènes mais aussi des substances dont on ne connaît pas encore les effets… Alors mieux vaut les éviter et adopter des solutions naturelles telles que les huiles essentielles.


… les insecticides.


insecticide conseils ménageIl n’est pas toujours facile de cohabiter avec fourmis, mouches, moustiques et autres petits insectes. Alors pour s’en débarrasser, on a tendance à recourir à des armes de destruction massive : les insecticides ! Le problème, c’est que ce sont des pesticides particulièrement toxiques pour la santé. On préfère plutôt les huiles essentielles ou les billes en bois de cèdre pour lutter contre les mites.






On se jette sur les produits inoffensifs !


Mais alors, que vous reste-t-il ? Pas de panique, pour faire briller son intérieur, on peut se passer de tous ces produits chimiques qui nuisent à la santé ! Deux solutions s’offrent à vous :


Les produits made in « Mamie »


Naturels, écologiques et économiques, vous pouvez opter pour les bonnes vieilles recettes de grands-mères.


Les produits naturels Leurs qualités
Bicarbonate de soude Détartrer, désodoriser, dégraisser, désinfecter…
Huiles essentielles Désinfecter, désodoriser, lutter contre les moisissures et les insectes…
Savon noir Nettoyer toutes les surfaces…
Vinaigre blanc Nettoyer, désinfecter, désodoriser, détartrer, assouplir le linge…



Les produits écologiques


Si vous n’avez ni le temps, ni l’envie de préparer vos produits d’entretien, vous pouvez choisir des produits éco-labélisés. Respectueux de la santé et de l’environnement, les médecins de l’ASEF les recommandent. En France, deux écolabels sont délivrés :


NF ecolabel





Le label français « NF Environnement » certifie que la composition des détergents limite les substances nocives pour l’environnement.


EU ecolabel





L’Eco-label Européen garantit une production respectueuse de l’environnement (fabrication, distribution, santé de l’utilisateur, recyclage et élimination) et l’efficacité du produit.





Vous l’aurez compris, le choix de vos produits est important : pensez aussi à nettoyer votre intérieur régulièrement pour ne pas que saletés, graisses et mauvaises odeurs ne s’incrustent et ne nécessitent l’utilisation de produits agressifs, et aérez tous les jours pendant 15 minutes… Maintenant, vous savez tout pour astiquer et balayer en toute sécurité !





Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre petit guide vert du bio-ménage ainsi que notre petit guide vert du bio-air intérieur !

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