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Le blog de hugo,

Précarité. Se loger, une charge qui pèse sur les jeunes,economie,

30 Novembre 2018, 04:33am

Publié par hugo

Photo : Nicolas Tucat/AFP
Précarité. Se loger, une charge qui pèse sur les jeunes
Jeudi, 29 Novembre, 2018
Mathieu Pedro
Selon une étude publiée mardi, les 18-30 ans qui vivent encore chez leurs parents y restent de manière contrainte.
Le cliché de l’éternel ado se complaisant chez papa-maman en prend un sérieux coup. Selon une étude (1) sur le logement et les jeunes présentée mardi, le « Tanguy » (personnage du film éponyme d’Étienne Chatiliez) est, en réalité, un spécimen rare. Seules 28 % des personnes âgées de 18 à 30 ans n’ont jamais quitté le domicile familial. Et si ces derniers sont bloqués à la maison, ce n’est pas par gaieté de cœur ou confort personnel. Parmi ceux qui ne sont jamais partis, les deux tiers y ont songé mais ont dû y renoncer faute d’emploi (32 %) ou de ressources financières suffisantes (40 %). Au final, seulement 7 % de ces jeunes adultes ayant toujours vécu dans le foyer parental déclarent que rien ne les empêche de quitter ce cocon. « Ces résultats viennent très largement contrebalancer l’image de jeunes souhaitant bénéficier le plus longtemps possible du confort du domicile familial », souligne l’enquête.
Celle-ci témoigne, au contraire, de la précarité sociale qui touche les jeunes adultes. Ainsi, parmi ceux qui sont partis, 13 % ont dû revenir chez leurs parents. Les raisons ? Toutes sont liées au porte-monnaie et à la précarité. Ce retour se fait le plus souvent à la fin d’une année scolaire ou d’études, faute de débouchés (32 %). Ou encore après une séparation amoureuse (24 %). Logique : le coût du logement « est mécaniquement plus facile à supporter lorsque l’on peut cumuler deux revenus », note l’étude. Parmi les autres causes évoquées, viennent les difficultés financières (22 %) et la perte de son emploi (14 %).
Les difficultés d’accès au travail
Pour les jeunes vivant hors du domicile parental, la vie est loin d’être rose. Le coût du logement, notamment, demeure une vraie difficulté. Plus de 70 % des jeunes locataires du parc privé en parlent comme d’une « charge lourde » ou « très lourde » dans leur budget. Une opinion qui ne cesse de progresser chez les 18-35 ans depuis ces trente dernières années. Le désir d’autonomie « est tel que les jeunes acceptent des compromis en termes de qualité de logement » pour avoir leur propre toit : 12,6 % des logements habités par des jeunes présentent trois défauts ou plus (par exemple une installation électrique en mauvais état, des infiltrations d’eau ou une mauvaise isolation thermique) contre 6,6 % pour les 65 ans ou plus.
Les difficultés d’accès au travail, et notamment à un emploi stable, contrarient également l’envol des jeunes. « Dans un contexte d’incertitude et de tension sur le marché du travail, l’autonomie résidentielle se fait plutôt une fois la situation professionnelle sécurisée », relève l’étude. Qui résume : « La mobilité future est bridée par le triptyque emploi-salaire-coût du logement. »
Souvent isolés, bon nombre ignorent également les aides au logement auxquelles ils pourraient prétendre. Visale, Loca-Pass, Mobili-Jeune… Seuls 35 % de l’ensemble des jeunes en ont entendu parler et 22 % n’en ont pas bénéficié alors qu’ils auraient dû. Ce taux de non-recours est en augmentation progressive sur les deux dernières années (+ 5 points par rapport à 2016).
Dans ce contexte, l’aide financière des parents reste importante. Un tiers des jeunes qui vivent dans leur logement continuent d’être épaulés par la famille. Un budget « conséquent » qui atteint en moyenne 3 960 euros par an. Autonomie n’est pas forcément synonyme d’indépendance.
(1) Baromètre 2018 de la Direction de la jeunesse, de l’éducation populaire et de la vie associative (Djepva).
Mathieu Pedr

https://www.humanite.fr/precarite-se-loger-une-charge-qui-pese-sur-les-jeunes-664390

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Précarité. Lætitia et Pascal, deux visages d’une France qui meurt de froid,societe,

30 Novembre 2018, 04:31am

Publié par hugo


Lætitia et Pascal viennent régulièrement place Monge, où les commerçants n’hésitent pas à leur donner un peu de nourriture. Épaulé par un militant communiste et un élu PCF, le couple espère trouver bientôt un toit. Lahcène Abib
Précarité. Lætitia et Pascal, deux visages d’une France qui meurt de froid
Mercredi, 28 Novembre, 2018
Ixchel Delaporte
Ce matin, le Collectif des associations unies est reçu par le premier ministre afin d’alerter sur le drame que vivent les personnes sans domicile fixe. Un couple, Pascal et Lætitia, handicapée moteur, nous fait le récit de leur quotidien dans la rue.
« Bon ben voilà, je suis à la rue, ça se voit je crois. Je suis comme un escargot avec ma maison sur le dos. Alors les gens qui souhaitent faire un petit geste, un ticket resto ou même quelque chose à manger, c’est génial. Je vous souhaite une bonne journée malgré le froid. » À Paris, place Monge, Pascal est monté dans une rame de métro, la dernière de la ligne 7. Il porte un sac à dos de montagne bourré à craquer. Son bonnet noir et bleu en laine laisse deviner des cheveux courts poivre et sel. Dans un mois, Pascal Lelièvre, sans domicile fixe, fêtera ses 50 ans. Sa voix grave porte jusqu’à la moitié du wagon. Sous une barbe de quatre jours, ses mots se perdent dans le vrombissement du train. Une ou deux têtes lèvent le nez du portable pour le regarder. Une jeune femme sort machinalement de son petit porte-monnaie une pièce de 50 centimes. Pascal passe dans les rangs. « Je vous remercie, mademoiselle, bonne journée. » Elle esquisse un sourire. À la prochaine station, il change de wagon. Et recommence. En face de lui, un homme mange une pizza. Pascal lui souhaite bon appétit. Au moment de partir, l’homme lui tend sa pizza. « Je vous la donne si vous voulez, elle est toute chaude. » Pascal accepte et ramasse encore quelques euros. Tous les jours, de 14 heures à 18 heures, Pascal fait la manche. Il rapporte parfois jusqu’à 15 euros, le prix d’un bon repas chaud dans une brasserie.
La vie de la rue n’est pas supportable pour la jeune femme
Depuis août dernier, il n’est plus seul à la rue. Lætitia, 37 ans, l’a rejoint. Par amour. Ils voudraient se marier bientôt. Mais la vie à la rue pour la jeune femme en fauteuil roulant n’est pas supportable. Pascal, lui, y survit depuis vingt-cinq ans. « Pour moi, c’est une addiction. On y prend goût. Mais pour elle, c’est non. Alors on essaie de trouver un logement. Pour le moment, on n’y arrive pas », dit-il inquiet.
Pétition Pour que Laetitia et son compagnon obtiennent un logement d’urgence, Pour que les personnes les plus fragiles soient protégé.e.s, Pour que le logement soit un droit pour tou.te.s et pas un luxe !
Chaque jour, le couple s’installe pour quelques heures sur la place Monge, dans le très bourgeois 5e arrondissement, où se déploie un marché chaque mercredi, vendredi et dimanche. Une source de nourriture garantie puisque les commerçants connaissent bien Pascal. L’après-midi, pendant qu’il fait la quête, Lætitia part en fauteuil roulant vers la bibliothèque Mohammed-Arkoun, située rue Mouffetard, à quelques encablures de là. Chaque jour, elle pousse sur un faux plat son sac à dos de montagne accroché à l’arrière du fauteuil, un autre sac à dos sur ses jambes fluettes. L’itinéraire, elle le connaît par cœur. Les trottoirs à éviter, les rues praticables. « À la bibliothèque, les dames sont très gentilles. Je peux me réchauffer, lire des magazines et feuilleter des livres », raconte Lætitia. Sous une parka rose fuchsia, la tête enfoncée dans sa capuche, ses mèches brunes se baladent devant de grands yeux noisette cernés. Parfois, elle peine à articuler des mots. Il lui faut un peu de temps pour finir ses phrases. Malgré cela, ses termes sont toujours bien choisis. « On me dit parfois que je suis à peine majeure, mais j’en ai déjà 37 ! Il faut croire que je ne les fais pas », s’exclame-t-elle avec ses gros après-ski aux pieds.
Depuis sa naissance, Lætitia a subi nombre de maltraitances
C’est justement à 17 ans que sa vie de valide s’est arrêtée. Opérée pour une banale appendicite, Lætitia est ressortie sans l’usage de ses jambes. La moelle épinière touchée, les médecins n’ont jamais reconnu l’erreur médicale. Mais il n’y a pas que cela. Depuis sa naissance, elle a subi nombre de maltraitances de la part de sa mère et de son beau-père. « Mon beau-père m’a fait croire qu’il était mon père. J’ai grandi dans le mensonge. Mais surtout, on m’a beaucoup droguée enfant. Ça laisse des traces car ma mémoire me fait souvent défaut. Je fais beaucoup de cauchemars. Quand j’ai commencé à grandir, ma mère est partie et mon beau-père me faisait tout faire dans l’appartement. Je lavais la vaisselle, je faisais à manger, je nettoyais le sol... » énumère-t-elle. En 4e, elle est déscolarisée. Aucun enseignant ne détecte ni sa dyslexie ni les mauvais traitements familiaux. « C’est pas tout, glisse Pascal sur le ton de la colère froide. Elle a été violée trois fois par son beau-père. » Lætitia baisse les yeux.
Pascal perd femme et enfant et entame une descente aux enfers
Depuis septembre, le couple fait des démarches administratives avec une assistante sociale de l’association Aurore. Mais deux obstacles les empêchent d’atteindre leur but. « On est en couple, donc il nous faudrait plus qu’une chambre dans un foyer. Ensuite, Lætitia est handicapée. Il faudrait un logement adapté. Ça existe mais pas pour nous apparemment », se désole le quinquagénaire, qui touche 550 euros par mois de RSA. Des circonstances de leur rencontre, on ne saura rien. Pascal préserve cette partie de leur histoire. Issu d’une famille bourgeoise bretonne, entouré de neuf frères et sœurs, il a grandi sous la férule d’un père autoritaire et intrusif. « À 16 ans, je suis parti. Je me suis engagé dans la marine nationale pour cinq ans. J’y ai obtenu des diplômes. Je suis rentré à Paris et j’ai intégré une banque, le Crédit lyonnais pour être précis. » Pascal grimpe les échelons et se retrouve cadre supérieur à 23 ans. La vie est belle. Il achète un appartement dans le 17e arrondissement et emménage avec sa compagne. Leur fils naît peu après. Huit mois plus tard, tout s’effondre. Pascal perd femme et enfant, fauchés par un chauffard en plein Paris. Un chagrin abominable le submerge. Il entame une descente aux enfers. D’abord, il part dans le sud de la France, et fait flamber son compte en banque, toutes ses économies et ses placements. Des palaces cinq étoiles, Pascal finit par déposer sa tristesse sur un bout de trottoir. Il vagabonde ainsi de ville en ville, au gré des rencontres. « Les deux premières années sont les plus dures. La rue, ce sont des codes. On y trouve des amis et des gens solidaires. Bon, il y a aussi des cons comme partout. Mais moi, j’aime bien parler aux autres, j’apprends », assure Pascal une cannette de bière à la main. L’alcool et les cigarettes font partie des addictions de la rue. « C’est vrai que, avant de rencontrer Lætitia, j’en buvais beaucoup. Maintenant, j’ai réduit. J’ai pas le choix, c’est Madame qui décide et comme elle a un sacré caractère... » Lætitia semble fière, elle qui ne boit pas une goutte d’alcool et qui ne fume pas.
Avec ses 800 euros par mois d’allocation adulte handicapée, Lætitia rêverait de faire une formation pour devenir kiné. « Après des années de rééducation dans des centres spécialisés, j’ai toutes les connaissances et le vocabulaire d’un kiné mais sans les diplômes. Pour les handicapés, tout est bloqué. Des transports aux formations. À chaque fois que j’ai voulu faire des demandes, je n’arrivais même pas à accéder physiquement jusqu’aux bureaux. » Pas plus tard que la semaine dernière, Pascal et Lætitia ont mis près de trois heures en RER pour se rendre à la mairie de Châtenay-Malabry demander un acte de naissance. « Nous avons dormi dehors sous un Abribus et puis on est rentrés à Paris. » Depuis quelques jours, les nuits sont glaciales. Les températures descendent sous la barre du zéro. Le couple se réfugie sous l’auvent de l’entrée d’une école maternelle, rue Croulebarbe, dans le 13e arrondissement. « La gardienne de l’école est adorable avec nous, elle s’appelle Céleste. D’ailleurs, si un jour j’ai une fille, je l’appellerai Céleste », lance Lætitia. Céleste est gardienne depuis septembre et loge dans l’école. « Lorsque je les ai vus un soir, j’ai été choquée. Le matin, avant que je n’ouvre l’école, je leur apporte un café et des barres chocolatées. C’est le moins que je puisse faire, assure-t-elle. J’ai même appelé la mairie pour les prévenir que la jeune femme était en fauteuil roulant. » Chaque soir, autour de 19 h 30, Lætitia et Pascal s’installent ici. Elle descend de son fauteuil, qu’elle accroche avec un cadenas, et s’engouffre dans trois duvets. Au petit matin, le couple quitte les lieux pour se rendre place Monge. Pour se laver, ils vont une à deux fois par semaine aux bains-douches du 5e arrondissement.
« Le plus urgent, c’est de leur trouver un logement adéquat »
Habitant d’un immeuble de la même rue, Richard Bernarous les a trouvés un matin sous l’auvent. Ce médecin hospitalier à la retraite et militant communiste s’est approché pour leur parler : « Je leur ai demandé comment je pouvais les aider. J’ai apporté une couverture à Lætitia. J’ai appelé le 115 avec eux mais on nous répond qu’il n’y a pas de place pour des couples. Le plus urgent, c’est de leur trouver un logement adéquat. » C’est lui qui a alerté l’Humanité mais aussi le conseiller de Paris et élu PCF du 13e Jean-Noël Acqua pour que leur dossier soit examiné. Ce dernier a envoyé un courrier aux services d’hébergement d’urgence de la Ville de Paris. « Il est très difficile pour les assistantes sociales de trouver des logements pour les couples. Nous avons signalé aux maraudes leur présence place Monge. Ils n’étaient pas dans les radars des associations. Les grands discours sur l’austérité et la pauvreté n’ont aucun sens si on n’apporte pas des réponses concrètes aux personnes à la rue comme c’est le cas de Pascal et Lætitia. »
Hier, ils avaient un rendez-vous avec une nouvelle assistante sociale de la mairie du 5e arrondissement. Un ami de la rue, Paco, leur a glissé que deux logements de l’association des Enfants du canal pour couples étaient libres. Ils ont espoir de passer les fêtes en amoureux, au chaud.
Pétition
Pour que Laetitia et son compagnon obtiennent un logement d’urgence, Pour que les personnes les plus fragiles soient protégé.e.s, Pour que le logement soit un droit pour tou.te.s et pas un luxe !
Ixchel Delaporte


https://www.humanite.fr/precarite-laetitia-et-pascal-deux-visages-dune-france-qui-meurt-de-froid-664315

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VIDEO. Des étudiants montent une association pour venir en aide aux sans-abri

30 Novembre 2018, 03:32am

Publié par hugo

 
VIDEO. Des étudiants montent une association pour venir en aide aux sans-abri
L'association vient en aide aux sans-abri de Paris depuis 2014.
 
 

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Mis à jour le 21/11/2018 | 19:04
publié le 21/11/2018 | 15:44
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Nous la préparons pour vous chaque matin
Paris dénombre près de 3000 personnes sans-abri. Afin de leur venir en aide, Clara, une jeune étudiante, a décidé de créer l’association "Une couverture pour l’hiver". Lors des maraudes quotidiennes, ses bénévoles distribuent des produits de premières nécessité à ces nombreuses personnes dans le besoin. "L’association a été montée il y a 4 ans par des étudiants qui débarquaient de province pour faire leurs études à Paris et qui ont été vraiment choqués du nombre de personnes à la rue", explique Clara. "C’est surtout l’indifférence générale de toutes les personnes qui passent devant qui a choqué, je pense, l’ensemble des membres de l’association qui ont désiré s’engager."
Rompre certains clichés
Un engagement qui leur a ouvert les yeux sur certains points. "Ça m’a permis de rompre certains clichés qui entouraient les sans-abri", explique-t-elle. "J’avais l’impression qu’ils étaient violents, ils me faisaient peur. Et puis en fait, je suis entrée dans l’association en désirant m’éloigner de cette peur-là." Et ça a marché. "Maintenant, quand je croise une personne sans-abri, je me comporte de la même façon, que je porte le t-shirt ou non", se réjouit-elle. Mais elle le concède, certains moments restent difficiles : "Les moments les plus difficiles en maraude qui nous travaillent […] c’est les moments où je croise des enfants."
Pour Clara, son association "permet de panser certains maux mais ne peut pas résoudre toute la misère qu’il y a en France. Et c’est pour ça que l’État devrait peut-être intervenir sur le logement de ces personnes et surtout des enfants qui sont à la rue et qui peuvent subir des violences."
A lire aussi
https://www.francetvinfo.fr/economie/immobilier/immobilier-indigne/video-des-etudiants-montent-une-association-pour-venir-en-aide-aux-sans-abri_3045177.html

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Avortement : "L'Argentine est prête", assurent des militantes réclamant la légalisation au pays du pape François,IVG,sante,

30 Novembre 2018, 03:22am

Publié par hugo

 Avortement : "L'Argentine est prête", assurent des militantes réclamant la légalisation au pays du pape François
À l'occasion de l'organisation du G20 en Argentine vendredi et samedi, regard sur un pays divisé par le débat sur l'avortement. Le refus de sa légalisation par le Sénat, l'été dernier, n'a pas atténué la mobilisation des militantes.
Le 28 septembre 2018 à Buenos Aires, le premier défilé des femmes après le rejet du projet de loi sur l'avortement par le Sénat argentin.  (EITAN ABRAMOVICH / AFP)
Cyril Graziani
Radio France
Mis à jour le 29/11/2018 | 15:37
publié le 29/11/2018 | 15:37
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il y a 5 heures
"Gilets jaunes" : plus d'un million de signataires pour la pétition contre la hausse des prix du carburant
Emmanuel Macron effectue jeudi 29 novembre une visite à Buenos Aires, avant de participer vendredi et samedi à un sommet du G20 en Argentine. Un pays marqué par un débat très vif sur l'avortement, dont le Sénat a rejeté la légalisation en août dernier. Depuis, des manifestations se succèdent en faveur de l'IVG au pays du pape François.
L'Église montrée du doigt
Mardi dernier, une centaine de femmes se sont retrouvées devant le palais de justice de la capitale argentine pour réclamer, une fois de plus, la légalisation de l’avortement. Portant au cou, au poignet des foulards verts, symboles de leur lutte, elles ont entonné leur chant de ralliement, en scandant "Aujourd’hui et toujours". Depuis le refus du 9 août, Florencia n’a jamais baissé les bras et considère qu'il y a une priorité. "Il faut limiter l’intervention de l’Église et des religions sur les questions de l’État, réclame-t-elle, parce qu’ici en Argentine, l’Église a beaucoup de pouvoir."
Mercedes affirme que son pays est désormais en état d'effectuer cette révolution. "L'Argentine est prête. Une majeure partie de la population est en faveur de l’avortement, lance-t-elle. Cela a cessé d’être un tabou, un sujet dont on ne parlait pas, qui relevait du domaine privé, de l’intimité. C’est rentré dans la sphère publique." Selon cette Argentine, près de 70 % des habitants seraient favorables à la légalisation de l'IVG.
Des débats en famille
Après le rejet du Sénat, des Argentins ont souhaité se faire débaptiser. Les cris, les revendications de ces femmes semblent avoir éveillé les consciences, y compris celle de leurs familles. Natalia a pu constater le changement dans son propre cercle. "Ma mère est très catholique. Elle était contre l’avortement, le mariage pour tous. Aujourd’hui, après avoir écouté les femmes, m’avoir écoutée, écouté ma fille, elle a changé de position", affirme-t-elle.
En 2019, un nouveau projet de loi devrait être présenté au Sénat. Les Argentines savent que tôt ou tard l’avortement sera légalisé dans leur pays. Mais elles n'ignorent pas qu’il faudra, ensuite, continuer la bataille afin de préserver un droit obtenu de haute lutte.
En Argentine, la mobilisation toujours active en faveur de la légalisation de l'avortement - un reportage de Cyril Graziani

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 https://www.francetvinfo.fr/societe/ivg/avortement-l-argentine-est-prete-assurent-des-militantes-reclamant-la-legalisation-au-pays-du-pape-francois_3077419.html

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VIDEO. Le redoutable programme de la Finlande contre le harcèlement scolaire,societe,violence,enfants

30 Novembre 2018, 03:20am

Publié par hugo

 Harcèlement à l'école
VIDEO. Le redoutable programme de la Finlande contre le harcèlement scolaire
2260 établissements scolaires ont adhéré au programme KiVa.
 
 

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Brut.
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Mis à jour le 29/11/2018 | 14:28
publié le 29/11/2018 | 11:37
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Nous la préparons pour vous chaque matin
C'est une méthode qui connaît un réel succès : près de 75 % des établissements scolaires y ont adhéré. Depuis 2009, la Finlande a lancé son programme KiVa mis au point à l'Université de Turku et destiné à lutter contre le harcèlement scolaire. Basé sur trois éléments clés, KiVa comprend des actions visant à prévenir et à traiter les problèmes de harcèlement dans le milieu scolaire.
1Le jeu de rôle
Dès la maternelle, les élèves apprennent à se mettre dans la peau de la victime, de l'agresseur et du témoin. L'objectif est ainsi de développer respectivement l'empathie, apprendre la responsabilisation et encourager à témoigner auprès des professeurs.
2La confrontation
Lorsqu'il y a eu une agression, les professeurs organisent un dialogue entre la victime et le bourreau afin que la victime soit écoutée et que l'agresseur soit confronté à la parole de l'adulte.
3Des films et des jeux vidéo
De nombreuses formes ludiques sont mises en place pour évoquer les intimidations et autres brimades ou encore les agressions verbales et physiques ainsi que le cyberharcèlement. Durant une dizaine de séances, à raison d'une par mois environ, les élèves sont amenés à regarder des courts-métrages et à jouer à des jeux vidéo qui évoquent le harcèlement.
Avec cette méthode, 85 % des cas de harcèlement ont été résolus. Un succès, donc, couronné par le Prix européen de prévention de la criminalité en 2009.
A lire aussi

https://www.francetvinfo.fr/societe/education/harcelement-a-l-ecole/video-le-redoutable-programme-de-la-finlande-contre-le-harcelement-scolaire_3077349.html

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Royaume-Uni : un violeur se voit proposer de voir l'enfant né de son crime, la victime appelle à un changement de la loi,femmes,viol

30 Novembre 2018, 03:19am

Publié par hugo


Royaume-Uni : un violeur se voit proposer de voir l'enfant né de son crime, la victime appelle à un changement de la loi
Cette possibilité lui a été offerte dans le cadre d'une procédure de placement de l'enfant. "Ceci arrive dans tout le pays et doit s'arrêter", a alerté la victime et mère de l'enfant, Sammy Woodhouse.
La ville de Rotherham (Royaume-Uni), le 6 octobre 2014.  (OLI SCARFF / AFP)
franceinfo avec AFP
France Télévisions
Mis à jour le 29/11/2018 | 11:18
publié le 29/11/2018 | 10:54
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il y a 5 heures
"Gilets jaunes" : plus d'un million de signataires pour la pétition contre la hausse des prix du carburant
La nouvelle provoque l'indignation outre-Manche. Arshid Hussain, condamné à trente-cinq ans de prison en 2016 pour de multiples violences sexuelles et le viol de Sammy Woodhouse, a obtenu la possibilité d'obtenir un droit de visite de l'enfant né de son crime, a révélé le journal britannique The Times (article en anglais), lundi 26 novembre.
Cette possibilité lui a été offerte dans le cadre d'une procédure de placement de l'enfant, même s'il n'exerce aucune autorité parentale.
L'agresseur faisait partie d'un gang d'hommes originaires du Pakistan. Plusieurs membres du gang, notamment ses frères et son oncle, ont été condamnés à de lourdes peines d'emprisonnement dans un contexte plus vaste d'abus contre des mineures à Rotherham (Royaume-Uni), ce qui avait causé une grande émotion dans le pays.
"Cela arrive dans tout le pays"
Sammy Woodhouse a révélé être la mère de l'enfant mardi, dans une vidéo postée sur Twitter. L'enfant a été conçu quand Arshid Hussain l'a violée, alors qu'elle était âgée de 15 ans.
 
Avec l'aide de la députée travailliste Louise Haigh, elle a plaidé pour un changement de législation, afin que les personnes condamnées pour viol ne puissent pas avoir accès aux enfants conçus lors de ces crimes. "Cette histoire me concerne, concerne mon enfant, l'homme qui m'a violée et le fait que le conseil de Rotherham lui a proposé de solliciter des droits parentaux sur mon enfant", dénonce-t-elle dans la vidéo. "Cela arrive dans tout le pays et doit s'arrêter", a-t-elle insisté, soulignant que l'homme constituait "un danger" pour elle-même et son fils.
Une obligation légale
Un porte-parole du conseil de Rotherham a indiqué avoir l'obligation légale d'informer les parents des procédures judiciaires concernant leur enfant, qu'ils aient ou non une responsabilité parentale. "Nous comprenons que ces obligations légales peuvent contrarier les personnes impliquées, et nous saluons la tenue d'un débat sur cette problématique, qui concerne l'Angleterre et le pays de Galles", a-t-il ajouté.
Selon le ministère de la Justice, les autorités locales peuvent toutefois "demander à un tribunal la permission de ne pas informer les parents dépourvus d'autorité parentale des procédures relatives à un enfant".
A lire aussi

https://www.francetvinfo.fr/monde/royaume-uni/royaume-uni-un-violeur-se-voit-proposer-de-voir-l-enfant-ne-de-son-crime-la-victime-appelle-a-un-changement-de-la-loi_3077241.html

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"Gilets jaunes" : "Nous sommes à la veille d'une révolution citoyenne", assure Jean-Luc Mélenchon,politiques,

30 Novembre 2018, 02:59am

Publié par hugo

 "Gilets jaunes" : "Nous sommes à la veille d'une révolution citoyenne", assure Jean-Luc Mélenchon
Jean-Luc Mélenchon, le président de La France insoumise, revient sur la mobilisation des "gilets jaunes" dans les "4 Vérités" sur France 2, jeudi 29 novembre. Il estime que la France vit un "événement politique majeur" tout en évoquant qu"il faut bien trouver une sortie".
 
 

France 2
France 2
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Mis à jour le 29/11/2018 | 09:26
publié le 29/11/2018 | 09:26
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Jean-Luc Mélenchon suit de très près la colère des "gilets jaunes". Sur son blog, le président de La France insoumise (LFI) leur indique que les barrages pourraient devenir des assemblées citoyennes, alors que les "gilets jaunes" seront reçus vendredi 30 novembre à Matignon et que l'on s'achemine vers une troisième grande journée de contestation samedi 1er décembre. "Il faut bien trouver une sortie, on ne peut pas s'installer comme ça dans un conflit sans fin. C'est le chef de l'État qui porte la responsabilité, il est ailleurs cet homme", estime le député des Bouches-du-Rhône sur le plateau des "4 Vérités" jeudi 29 novembre. "Ils croient que c'est de la grogne, ils ne comprennent pas que les gens sont au bout du rouleau. La fin du mois c'est le 10 ou le 15 pour plein de gens", assure Jean-Luc Mélenchon.
"Un événement politique majeur"
Une très grande majorité de Français soutient le mouvement : 84% d'entre eux trouvent désormais la contestation justifiée et 75% la soutiennent, selon un sondage publié jeudi matin. "C'est clairement un événement politique majeur, nous sommes à la veille d'une révolution citoyenne et d'une certaine manière elle est commencée par tous ces braves gens qui sont sur ses barrages", veut croire Jean-Luc Mélenchon. Selon le leader de La France insoumise, il y a un signal historique dans la contestation des "gilets jaunes" : "Ce mouvement est en bonne partie animé par des femmes. Ce sont les femmes qui ont commencé la révolution de 1917, ce sont elles qui ont radicalisé la révolution de 1789 et ce sont elles qui ont fait la révolution en Tunisie il y a peu".
Le député indique qu'il se rendra à la manifestation des "gilets jaunes" à Paris samedi 1er décembre. "Mais je m'arrange pour que ma présence soit la plus efficace possible, c'est-à-dire que j'évite les concentrations de caméras autour de moi", précise-t-il.
A lire aussi

https://www.francetvinfo.fr/economie/transports/gilets-jaunes/gilets-jaunes-nous-sommes-a-la-veille-d-une-revolution-citoyenne-assure-jean-luc-melenchon_3077219.html

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"Ça ne les regarde pas " : la proposition de loi "anti-fessée" devant les députés est loin de convaincre tous les parents

30 Novembre 2018, 02:55am

Publié par hugo

 "Ça ne les regarde pas " : la proposition de loi "anti-fessée" devant les députés est loin de convaincre tous les parents
L'Assemblée nationale relance jeudi le débat sur l'interdiction des fessées et plus généralement des "violences éducatives ordinaires". Du côté des parents, on est plutôt partagé.
Illustration d'un enfant se faisant fesser (Paris, mars 2015).  (LOIC VENANCE / AFP)
Farida Nouar
franceinfo
Radio France
Mis à jour le 29/11/2018 | 07:16
publié le 29/11/2018 | 07:12
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"Gilets jaunes" : plus d'un million de signataires pour la pétition contre la hausse des prix du carburant
Faut-il interdire la fessée ? La question fait débat jeudi 29 novembre à l'Assemblée nationale. Les discussions sont relancées par une proposition de loi portée par des députés MoDem afin d'interdire "les violences éducatives ordinaires". La visée du texte est pédagogique car si elle est votée, la loi ne prévoit pas de sanction pénale. Face à l'interdiction possibles, les réactions des familles sont assez nuancées.
Une punition "expliquée"
"Ça ne les regarde pas", s'agace une maman. Pour elle, l'État n'a pas à s'immiscer dans l'éducation qu'elle donne à ses enfants. "C'est aux parents de savoir ce qui est bon pour un enfant ou pas", ajoute-t-elle. Et elle donne des fessées, n'ayant aucun problème avec ce geste. "Cela m'arrive, confie-t-elle. Après je leur explique pourquoi. Je pense qu'il faut expliquer aux enfants pour qu'ils comprennent que c'est une punition et que ce qu'ils ont fait est mal." Cette mère de famille précise qu'elle "ne se défoule pas" pour autant ses enfants.
Un "principe éducatif" pour certains
Un père de famille, lui, voit la fessée comme un principe éducatif. "Ça remet les idées en place, explique-t-il. Il n'y a aucune violence." Il ne voit pas de quelle autre solution il dispose pour assumer son rôle. "Si on ne met pas de fessées, comment éduquer notre enfant ?", questionne-t-il. Lui-même a été élevé ainsi. "J'en ai reçues plusieurs et aujourd'hui, ça va très bien. Au contraire, je remercie mon père et ma mère de m'en avoir mis", lance-t-il. 
Une loi "inefficace" pour d'autres
Marianne ne voit pas en quoi cette loi serait efficace. "Ça va servir à quoi, ils ne vont pas aller vérifier chez les gens. De temps, en temps, ça peut peut-être aider à passer à autre chose", indique-t-elle. "Mais ce n'est pas toujours évident de ne pas s'énerver, de toujours gérer... L'éducation, personne n'a dit que c'était simple", résume cette maman.
Si la mesure est adoptée, la France deviendrait le 55e État dans le monde à interdire totalement les châtiments corporels sur les enfants.
Les parents mitigés face à la proposition de loi "anti-fessée" : un reportage de Farida Nouar

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https://www.francetvinfo.fr/sante/enfant-ado/l-etat-n-a-pas-a-s-immiscer-la-proposition-de-loi-anti-fessee-devant-les-deputes-est-loin-de-convaincre-tous-les-parents_3076427.html

MOI JE ME SUIS PRIS  DES FESSEES ET JE NE  SUIS PA SMORT  , L ASSEMBLEE  NE DOIT PAS   S OCCUPER  DE CELA ,  

IL S   S OCUPENT   DE  CELA POU NE PAS   S  OCCUPER  DE L ISF  DE  LA FRAUDE  FISCALE   ETC  

L ETAT  FRANCAIS NE VEUX PAS  ALLER  TAPER SUR LES RICHES 

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Salaires : comment négocier une augmentation ?,economie,

30 Novembre 2018, 02:54am

Publié par hugo

 Salaires : comment négocier une augmentation ?
Le journaliste Julien Duponchel donne des conseils aux femmes et aux hommes qui souhaiteraient obtenir une augmentation.
 
 
 
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Mis à jour le 29/11/2018 | 16:44
publié le 29/11/2018 | 16:05
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Demander une augmentation n'est pas toujours chose aisée, notamment pour les femmes qui touchent 9% de moins que les hommes à âge, temps de travail et poste égal. Pour mieux négocier, "faites un bilan de compétences, préparez vos arguments, listez tout ce que vous avez réalisé ces derniers mois, comme l'apport de nouveaux clients ou la réduction du coût de fonctionnement de votre service, par exemple", conseille le journaliste Julien Duponchel sur le plateau de France 2.
Chiffrer au mieux l'augmentation
"Bien évidemment, ne faites pas l'autruche, ajoute le journaliste. Si vous n'avez pas atteint votre objectif annuel, efforcez-vous de montrer tout ce que vous avez mis en place pour y parvenir." Ensuite, il faut chiffrer l'augmentation que l'on souhaite obtenir. "Renseignez-vous auprès de vos collègues, syndicats et des ressources humaines de votre entreprise, cela vous permettra d'établir une fourchette réaliste de salaire, recommande le journaliste. Enfin, préparez un plan B en cas de refus, comme une demande de formation ou du télétravail qui pourrait améliorer votre quotidien."

https://www.francetvinfo.fr/societe/droits-des-femmes/salaires-comment-negocier-une-augmentation_3077607.html

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Égalités salariales : des stages pour les femmes,femmes,egalite

30 Novembre 2018, 02:52am

Publié par hugo


Égalités salariales : des stages pour les femmes
Alors que les hommes touchent plus que les femmes à âge, poste et temps de travail égal, des stages proposent de donner des pistes aux femmes qui ont du mal à parler argent avec leur employeur.
 
 
 
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Mis à jour le 29/11/2018 | 16:01
publié le 29/11/2018 | 16:01
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Salariée, sans emploi, encore étudiante ou indépendante, les femmes ont parfois plus de difficultés que les hommes à négocier leur salaire. Pour mieux y parvenir, nombre d'entre elles se sont inscrites à un stage gratuit proposé par un organisme de formation. Le premier constat est qu'il n'est pas simple de parler d'argent avec son patron.
Un revenu inférieur de 24% en moyenne
Le revenu salarial des femmes est inférieur en moyenne de 24% à celui des hommes. À âge et temps de travail égal et à poste équivalent, les femmes gagnent 9% de moins. Pour la plupart d'entre elles, le salaire devrait augmenter naturellement avec les compétences, sans avoir à négocier. Grâce à des vidéos, des exercices et des jeux de rôles, elles apprennent des stratégies de négociation. Selon la formatrice, les clichés sur le rôle de la femme ont la vie dure. "On n'attend pas les femmes dans un rôle de négociatrice, déplore-t-elle. On l'attend plus sur l'empathie." Plus de 800 femmes ont déjà suivi cette formation et la majorité ont obtenu gain de cause ensuite.

https://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/carriere/vie-professionnelle/emploi-des-femmes/egalites-salariales-des-stages-pour-les-femmes_3077605.html

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