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Projection de Violences du silence, court-métrage sur les violences faites aux femmes handicapées dans le cadre du Mois Extra-Ordinaire,handicap,violences,viol,

30 Mai 2016, 02:26am

Publié par hugo

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Projection de Violences du silence, court-métrage sur les violences faites aux femmes handicapées dans le cadre du Mois Extra-Ordinaire
"Si la société n’entend pas cette violence, c’est que bien souvent ces femmes ne peuvent pas parler." © FDFA
Projection de Violences du silence, court-métrage sur les violences faites aux femmes handicapées dans le cadre du Mois Extra-Ordinaire
Publié le 27 mai 2016

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En ouverture du Mois Extra-Ordinaire, mois consacré à la mise en avant du handicap à Paris, l’association Femmes pour le Dire, Femmes pour Agir, qui milite pour la défense des droits des femmes en situation de handicap, organise une soirée-débat autour de son film Violences du silence.


Le court-métrage Violences du silence produit par l’association Femmes pour le Dire, Femmes pour Agir (FDFA) et réalisé par Catherine Cabrol met en lumière huit témoignages de femmes en situation de handicap victimes de violences. Huit histoires de femmes auxquelles des personnalités (comédiennes, journalistes mais aussi la maire de Paris Anne Hidalgo et l’ancienne ministre Roselyne Bachelot) prêtent leur voix.
À travers ce film, Femmes pour le Dire, Femmes pour Agir souhaite mettre en lumière ce « drame sociétal dont on ne parle jamais ». « Ces femmes souffrent de la double peine d’être femmes et handicapées dans une société qui ne supporte pas la faiblesse et ne les envisage pas comme des citoyennes à part entière. Si la société n’entend pas cette violence c’est que bien souvent ces femmes ne peuvent pas parler. Leur parole est muselée par la peur, la honte et le manque d’estime de soi », explique Maudy Piot, présidente de l’association.


Débattre autour des violences faites aux femmes handicapées
Avant et après la projection, Maudy Piot mènera les débats en présence de Catherine Belem, déléguée au maire du 18e en charge des personnes en situation de handicap, Stéphanie Duncan, journaliste et présentatrice sur France Inter, de la réalisatrice Catherine Cabrol et de l’équipe du film. La chanteuse Nicole Croisille et Sylvia Bergé, sociétaire de la Comédie française, qui ont participé au film, seront aussi présentes. Claudine Colozzi


De 18h30 à 21h30. Cinéma Le Louxor – 170, boulevard de Magenta – 75010 Paris. Entrée gratuite. Inscription obligatoire au 01 53 41 17 82 ou dominique.lemoine@paris.fr.


Salle accessible aux personnes à mobilité réduite. Accessibilité du film et des débats (LSF, vélotypie, boucle magnétique, film sous-titré et audio-décrit)


Pour tous ceux qui veulent découvrir ce film :

http://www.faire-face.fr/2016/05/27/18986/#comment-58576

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De religions différentes, ils ont fait le tour du monde ensemble,respect,religion,

30 Mai 2016, 02:03am

Publié par hugo

De religions différentes, ils ont fait le tour du monde ensemble
Publié le vendredi 06 mai 2016 à 14:57 par Coline PAISTEL (contributrice pour Jactiv) .
Ils s'activent / Initiatives / Monde


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(De gauche à droite) Léa, Ariane, Samir et Lucie, âgés de 20 à 28 ans, à leur arrivée à Paris le 30 avril 2016
(De gauche à droite) Léa, Ariane, Samir et Lucie, âgés de 20 à 28 ans, à leur arrivée à Paris le 30 avril 2016 © InterFaith Tour
Après dix mois d’un tour du monde des initiatives interreligieuses, l’équipe de l’InterFaith Tour composée de Samir, musulman, Lucie, chrétienne, Léa, juive et Ariane, athée, est de retour en France. Alors qu’ils s’apprêtent à sillonner l'Hexagone pour partager leur expérience, Samir revient sur un voyage hors norme.
Impulsé et porté par l’association Coexister, mouvement de jeunes fondé en 2009, l’InterFaith Tour deuxième édition est parti le 1er juillet 2015 pour faire le tour du monde. Un voyage qui a emmené quatre jeunes français, de conviction différentes, à la rencontre de ceux qui agissent pour la coexistence des religions.
Dix mois, 32 pays, 80 villes et 350 initiatives interreligieuses plus tard, Samir, Lucie, Ariane et Léa viennent de rentrer en France, riches des messages de tolérance et de coexistence des personnes rencontrées sur leur chemin.
À la rencontre des initiatives interconvictionnelles
« Un des pays les plus touchants que nous avons traversés était le Rwanda, raconte Samir, après avoir vécu la pire des horreurs, le peuple se reconstruit dans la réconciliation. Un chemin compliqué car le traumatisme est immense mais c’est un pays plein d’espoir et tourné vers l’avenir que nous avons rencontré. » À l’exemple de cette initiative portée par l’archevêque de Kigali et le chef de la communauté musulmane rwandaise : « des trocs en tous genre entre les familles de bourreaux et de survivants, les amenant à créer du lien. » Un pays qui n’a pas laissé les jeunes aventuriers, insensibles, « le Rwanda, c’est une vraie claque d’humilité, après ça j’ai décidé de ne plus jamais avoir de haine dans mon cœur ».
Mais pour Samir, un des plus beaux projets reste celui du Temple d'Or, berceau du Sikhisme à Amristar en Inde. « Des bénévoles y nourrissent chaque jour 200 000 personnes ! ». Une initiative rendue possible grâce à de nombreux dons. « C’est un projet qui se nourrit d’égalité, un beau reflet du Sikhisme puisque dans ces repas, toutes les personnes quel que soit leur sexe, leur caste, leur religion, ou leur orientation sexuelle sont acceptées ».


© InterFaith Tour
Et la vie en communauté ? « Avant de partir, les gens m’enviaient : "quelle chance tu as de partir avec trois filles !" » À mon retour c’est plutôt « quel courage tu as eu » sourit Samir. Mais surtout dix mois de vie à quatre, ça crée des liens « Elles font aujourd’hui partie des personnes les plus importantes de ma vie ». Une proximité qui ne s’est bien sûr pas faite sans tensions mais « le plus beau dans notre relation, ce sont les mots que l’on a trouvés pour revenir les uns vers les autres ».
Sur les routes de France
À peine arrivés, les quatre jeunes voyageurs reprennent déjà la route ce vendredi pour un tour de France de deux mois. « Nous allons voyager dans un camping-car aux couleurs de l’InterFaith Tour, traverser 70 villes et faire une centaine de conférences. »
Des rencontres qui vont prendre différentes formes, débats, sensibilisation dans des écoles, des mairies ou des lieux de culte, mais auront un même objectif : transmettre tout ce qu'ils ont appris durant ce voyage. « Nous avons été des éponges pendant toute cette expérience, il est temps pour nous de partager les messages et les initiatives de tous ces gens que nous avons rencontrés sur notre chemin ». Ce dernier périple, c’est aussi un moyen « d’inscrire ce tour du monde dans notre réalité, ici en France. »
Une belle conclusion pour une aventure exceptionnelle et un rêve devenu réalité : « à nous quatre, on a réussi à monter un immense projet et on a fait le tour du monde. Il ne faut jamais avoir peur de réaliser ses rêves… »
Coline Paistel
(Contributrice pour Jactiv)


Retrouvez l’équipe de l’InterFaith Tour 2 dans l’Ouest :
>>> À Brest, le lundi 16 mai, 19h, La Halte, 80 boulevard Montaigne, 29 200 Brest, Inscription obligatoire
>>> À Rennes, le mardi 17 mai, 20h, IEP, 4 boulevard de la duchesse Anne, 35700 Rennes, Inscription obligatoire

Bon à savoir:


De gauche à droite, Léa, Ariane, Samir et Lucie, l'équipe de l'InterFaith Tour 2
Ils font le tour du monde pour la coexistence religieuse
« Une juive, un musulman, une athée et une chrétienne partent pour une année de tour du monde.

A lire aussi
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http://jactiv.ouest-france.fr/ils-sactivent/initiatives/religions-differentes-ils-ont-fait-tour-monde-ensemble-62549

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CÔTE D’IVOIRE : QUELS PROGRÈS DANS L’AUTONOMISATION FINANCIÈRE DES FEMMES, TROIS ANS APRÈS LES DÉBUTS DU PROJET POWER ?,femmes,

30 Mai 2016, 01:57am

Publié par hugo

27 MAI 2016
CÔTE D’IVOIRE : QUELS PROGRÈS DANS L’AUTONOMISATION FINANCIÈRE DES FEMMES, TROIS ANS APRÈS LES DÉBUTS DU PROJET POWER ?
Fati Abdou est responsable d’un projet d’autonomisation financière des femmes, mené par CARE en Côte d’Ivoire depuis 2013, nommé POWER. Elle a profité de sa présence à Paris pour faire le point sur ce projet et ses conséquences sur la vie quotidienne des femmes ivoiriennes.


Quelle est la genèse des projets d’autonomisation financière des femmes en Côte d’Ivoire ?


Je travaille pour CARE depuis 2003. À la fin d’un projet de lutte contre le VIH, les femmes originaires du Niger qui en avaient bénéficié m’ont interrogée sur la suite : une dynamique avait été mise en place, il fallait poursuivre. Elles voulaient continuer à améliorer leurs conditions de vie. Ainsi, elles ont été les premières à me parler des associations villageoises d’épargne et de crédit (AVEC).


Ces groupements autogérés, dont le concept a été créé par CARE en 1991, pallient le manque d’accès aux structures bancaires pour les personnes les plus vulnérables. À cette époque, le principe n’existait pas en Côte d’Ivoire. C’était une bonne solution pour répondre aux difficultés quotidiennes rencontrées par les femmes, victimes de discriminations sociales et économiques.


Un premier groupe a été créé sur les fonds propres de CARE, puis un premier financement a été obtenu en 2008. Dès lors, je me suis passionnée pour le sujet. En 2013, un financement dédié a enfin été octroyé et le projet POWER a été lancé dans quatre pays africains – Burundi, Côte d’Ivoire, Ethiopie et Rwanda – pour une durée de quatre ans afin de soutenir l’autonomisation financière des femmes et à leur inclusion financière via des AVEC.




Fati Abdou et les membres d'une AVEC.
Quelles sont les actions menées dans le cadre de ce projet ?


Le développement du nombre d’AVEC est tel que l’on dénombre aujourd’hui 100 000 personnes membres d’une AVEC dans le pays : nous allons dépasser notre objectif initial de 125 000 avant la fin du projet, dans un an et demi ! Les membres des AVEC mettent en commun leurs épargnes et se font des prêts. Ils investissent cet argent pour créer ou développer des activités génératrices de revenus, pour réparer leur maison, pour envoyer leurs enfants à l'école ou acheter de la nourriture.


Le projet a également pour buts de former 40 000 personnes aux bases financières (gestion budgétaire, fonctionnement du crédit et de l’épargne) et de renforcer leurs capacités d’entreprenariat. Nous organisons des formations sur les techniques commerciales, les spécificités des marchés locaux : par exemple, en favorisant les contacts entre les femmes productrices d’une région du pays à celles, consommatrices, d’une autre région.


Et quels sont les impacts sociaux pour les femmes ?


Les impacts sont énormes, d’ailleurs 85% des bénéficiaires du projet sont des femmes. Par le biais de leur autonomisation financière, les femmes osent s’affirmer et faire valoir leurs compétences. Elles participent plus aux décisions au sein de leur foyer mais aussi des instances de gouvernance locale.


Mais c’est un processus qui prend du temps. Nous abordons les questions du genre à travers les AVEC et les groupes de parole de femmes : comment le genre influence-t-il le choix d’une activité professionnelle ? Comment changer le regard sur les femmes ?


Nous avons également mis en place des « comités genre » rassemblant membres d’AVEC, personnes extérieures (hommes et femmes) et parfois même le chef du village. Ils peuvent intervenir dans des situations conflictuelles à l’intérieur d’une famille et favorisent le dialogue entre maris et femmes, entre parents et enfants, sur des questions aussi taboues que la sexualité par exemple.




Fonctionnement des associations villageoises d'épargne et de crédit (AVEC).
Le projet était basé sur le développement des AVEC : qu’en est-il aujourd’hui et quelles sont les prochaines étapes ?


Le développement économique commence avec l’AVEC mais l’AVEC reste au niveau local, communautaire. L’étape essentielle, qui permet l’inclusion financière, c’est ce qu’on appelle le « linkage » : le fait d’être en relation avec le système financier classique – banques, organismes de microcrédit, entreprises de téléphonie mobile –, qui assure la sécurité de l’argent épargné et l’obtention de crédits plus importants.


CARE joue un rôle de médiateur, de facilitateur entre les communautés, les femmes des AVEC et les établissements financiers afin de lutter contre les a priori, nombreux, qui existent entre eux. Les femmes sont très méfiantes vis-à-vis des banques qui ont du mal à les voir comme des clientes potentielles intéressantes, puisqu’elles n’ont même pas accès à la propriété foncière.


Fin avril, on comptait déjà 16 000 personnes en relation avec un établissement financier, un lien qui a été long et difficile à mettre en place. Désormais, nous allons sur le terrain, à la rencontre des femmes, avec des représentants des établissements financiers, ce qui s’avère très efficace. Il reste encore beaucoup à faire.

http://www.carefrance.org/actualite/communique-presse-news/2016-05-27,cotedivoire-autonomisation-femmes-power.htm

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Le pouvoir des femmes est aussi une affaire d’homme,egalite, parite,

29 Mai 2016, 12:45pm

Publié par hugo

Le pouvoir
des femmes
est aussi
une affaire
d’homme

Care #LEPOUVOIRDESFEMMES CHIFFRES CLÉS ILS TÉMOIGNENT PÉTITION JE SIGNE
LA PÉTITION

Caroline de Maigret, mannequin, et Yarol Poupaud, musicien, sont les ambassadeurs de cette campagne.
Lire leur témoignage


Janette et Alexandre, salariés de CARE, travaillent pour défendre les droits des femmes dans les pays en développement.
Lire leur témoignage
#LE POUVOIR DES FEMMES
Pauvreté, violences, voix réduites au silence : il reste beaucoup à faire pour garantir les droits des femmes dans le monde. Il est temps de réagir ! Les femmes doivent avoir le pouvoir de décider et d’agir, aussi bien dans leur vie personnelle que professionnelle.
Le respect des femmes est l’affaire de toutes et tous. Découvrez comment, partout dans le monde, des femmes et des hommes s’engagent.
Caroline de Maigret, mannequin, et Yarol Poupaud, musicien, sont les ambassadeurs de cette campagne. Ils s’engagent dans leur vie quotidienne pour l’égalité. Janette et Alexandre, salariés de l’ONG CARE, travaillent tous les jours pour défendre les droits des femmes dans les pays en développement.
L’égalité entre hommes et femmes peut devenir une réalité. Vous aussi, engagez-vous et signez notre pétition !

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Harcèlement, sexisme et cachotteries à l'Elysée,femmes,politiques,sexisme,sexe,

26 Mai 2016, 00:09am

Publié par hugo

Harcèlement, sexisme et cachotteries à l'Elysée
Fiona Ipert, Mis à jour le 02/05/16 12:46
JournalDesFemmes.com
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Dans un livre mystérieusement intitulé "L'Elysée Off", deux journalistes mettent en lumière les zones d'ombre du palais présidentiel. Harcèlement, remarques déplacées et autres pressions sociales... Dans les couloirs du 55 rue du Faubourg-Saint-Honoré, le sexisme rôde.


Elles avaient dénoncé le "paternalisme lubrique" des politiques dans une tribune pour Libération. Quarante journalistes des plus grands médias français s'était insurgées du comportement sexiste des élus et responsables de la République envers les femmes. "Un ministre qui, nous voyant penchée pour ramasser un stylo, ne peut retenir sa main en murmurant : 'Ah mais qu'est-ce que vous me montrez là ?'", pouvait-on lire dans les colonnes du quotidien français.
Un an plus tard, c'est au fil des pages de L'Elysée Off (Ed. Fayard) que les langues continuent de se délier. Dans cet ouvrage consacré aux coulisses du pouvoir, les auteurs Stéphanie Marteau et Aziz Zemouri entrent dans les détails et révèlent des noms. Ainsi, le "ministre" cité plus haut, qui fait carrément "claquer l'élastique de la culotte de la reporter en pantalon taille basse", ne serait autre que Michel Sapin. Afin d'expliquer son geste, le locataire de Bercy de l'époque aurait avancé une "blague potache" pour laquelle "la journaliste a pris la mouche". Entre temps, l'intéressé a démenti "catégoriquement les allégations inexactes et calomnieuses" de l'ouvrage.
Les comportements inacceptables seraient malheureusement monnaie courante dans la classe politique. "À croire que l'atmosphère des lieux – le palais est l'ancien hôtel particulier de la Pompadour – déchaîne les libidos", relatent les journalistes. À les lire, Bernard Cazeneuve serait également visé par la missive de Libération.


Pleins pouvoirs
Si on pouvait s'en douter, la vraie révélation de l'Elysée Off, c'est que les reporters ne sont pas les seules à subir les actes malvenus des décideurs. "Certaines collaboratrices de la présidence ont enduré pendant des années les allusions, voire les gestes déplacés, de leurs supérieurs", dénonce l'opus. On apprend ainsi que le chef du service financier ne s'est pas toujours bien comporté avec ses employées, quand un conseiller diplomatique s'est permis d'enlacer la maquilleuse du chef de l'Etat alors que celle-ci avait déjà refusé ses avances...
Aucune plainte n'a jamais été retenue à l'encontre de ces hauts-fonctionnaires. Écartés de la rue du Faubourg-Saint-Honoré, l'un a été nommé à la tête d'un centre départemental de Finances publiques, l'autre est devenu ambassadeur "à l'autre bout du monde". Pas de réelle sanction et de trop rares traces juridiques, même si des lettres dénonciatrices circulent entre les services. On écarte ce qui pourrait créer le scandale, on dissimule les harcèlements sans jamais punir ces délits. On en oublie pourtant quelque chose de fondamental : sous les ors de la République, le sexisme n'est pas plus reluisant qu'ailleurs.


L'Elysée Off, de Stéphanie Marteau et Aziz Zemouri. Disponible en librairies, 17 euros.




© Fayard
Voir aussi :


40 journalistes françaises dénoncent le sexisme des politiques
Elles en ont marre. Quarante journalistes spécialisées en politique ont décidé de publier une tribune dans Libération pour témoigner contre les attaques sexistes qu'elles subissent régulièrement de la part des élus et responsables. Edifiant.
http://www.journaldesfemmes.com/societe/actu/1570273-harcelement-sexisme-elysee/

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Affaire Denis Baupin : un scandale pour délier les langues,femmes,violences,politiques,

26 Mai 2016, 00:00am

Publié par hugo

Société Dans l'actu
Affaire Denis Baupin : un scandale pour délier les langues
Fiona Ipert, Mis à jour le 10/05/16 12:41
JournalDesFemmes.com
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Au lendemain du scandale Denis Baupin, Libération publie une tribune "pour que l'impunité cesse". Signé par 500 personnalités politiques, militantes et des médias, ce plaidoyer apporte son soutien aux victimes d'agressions et d'harcèlements sexuels. Un encouragement à libérer les paroles.


Cette fois, ça ne passera pas. Voilà le message que semblent envoyer les signataires de la tribune "Pour que l'impunité cesse", publiée dans Libération. Au lendemain des accusations de violences sexuelles dont serait coupable Denis Baupin, vice-président démissionnaire de l'Assemblée nationale, la colère se cristallise dans les mots pour faire avancer les choses.
"Nous voudrions juste ici dire merci", écrit le collectif Levons l'omerta, auteur du plaidoyer. Merci à qui ? "À celles qui ont eu le courage de briser la loi du silence et de mettre, avec encore plus de force dans le débat public, la réalité de ces comportements." Elles sont huit au total, membres d'Europe Ecologie - Les Verts, à s'être exprimées sur Mediapart et France Info pour dénoncer les agissements insupportables du député. Des textos salaces aux attouchements, 4 femmes ont témoigné à visage découvert quand 4 autres ont préféré rester dans l'anonymat pour condamner ces violences sexuelles.
Dans les colonnes du quotidien français, les remerciements ont des airs d'encouragements. Il n'est plus question de seulement dénoncer le sexisme politique, mais d'élever à un autre niveau sonore la grogne envers le machisme, le harcèlement minimisé, les agressions tues. Le silence doit cesser, l'omerta se briser. "Pour que ce soit le comportement des hommes qui change et non celui des femmes qui s'adapte, pour que les choses bougent enfin et que l'impunité cesse, pour que la culpabilité change de camp, il faut parler."


Bons mots vs. mauvais actes
Libérer la parole, voilà le nouveau combat mené par les signataires qui s'expriment dans Libé. Il y a un an, le journal publiait la tribune "Bas les pattes", afin de lever le voile sur les comportements scabreux de certains représentants du pouvoir. Quarante journalistes avaient alors fait des révélations choquantes. Un premier pas, facilité par leur position "d'externes" du milieu politique. Ce chemin vers la dénonciation est plus difficile à suivre pour les victimes intra-muros.
S'affirmer en tant que femme dans un environnement masculin, patriarcal de surcroît, est déjà un combat de chaque jour. "Il ne faut pas être une féminine, ni faible, ni fragile. Et faire beaucoup de sacrifices, sur sa vie de famille notamment. J'avais peur d'être réduite à ça, une victime", explique Elen Debost, proie de Denis Baupin. Pas facile alors d'oser élever la voix contre son patron, contre un membre de sa famille politique sans être pointée du doigt, voire discréditée. D'autant plus quand on laisse sous-entendre que se taire vaut mieux pour sa carrière ou la réputation du parti.
Voir Libération ériger le "merci" en combat contre le sexisme est un apaisement. Aussi salutaire qu'un bâillon arraché à des bouches trop longtemps condamnées à se taire. Celles qui osent ne sont plus montrées du doigt, mais érigées en héroïnes. Pour ouvrir la voie à d'autres, amorcer une révolte tonitruante. Faire du bruit pour que justice soit faite.


Pour signer la pétition lancée par Levons l'omerta, c'est ici.




Denis Baupin à l'Assemblée nationale © WITT/SIPA
Voir aussi :


Accusé d'agressions sexuelles, Denis Baupin démissionne de la vice-présidence de l'Assemblée nationale
Denis Baupin, ex-député écologiste et mari d'Emmanuelle Cosse, aurait agressé et harcelé sexuellement plusieurs de ses collaboratrices, d'après des révélations Mediapart et France Info. Il a présenté sa démission de la vice-présidence de la chambre basse comme lui avait demandé le président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone (PS). La fin d'une omerta politique ?





Scandale Baupin : sa femme Emmanuelle Cosse le soutient
Alors que son mari Denis Baupin est accusé de harcèlement et d'agression sexuelle, Emmanuelle Cosse s'est exprimée mardi 10 mai au micro de France Info, assurant que ces faits devaient être "réglés devant la justice" et qu'elle avait "toujours confiance en son conjoint".

http://www.journaldesfemmes.com/societe/actu/1573043-denis-baupin-omerta/

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Violées, écartées de l'armée et diagnostiquées folles , la triple peine des victimes dans l'armée américaine,femmes,violences,viols,usa,

25 Mai 2016, 23:57pm

Publié par hugo

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Violées, écartées de l'armée et diagnostiquées folles , la triple peine des victimes dans l'armée américaine
3 partages


Laure Gautherin Publié par Laure Gautherin
le 25 mai 2016




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Les femmes dans l'armée américaine qui ont le courage de dénoncer un viol ou le harcèlement dont elles ont été victimes peuvent se retrouver renvoyées à la vie civile, avec un rapport diagnostiquant un trouble de la personnalité.
Depuis deux ans, l'armée américaine poursuit ses efforts pour devenir égalitaire, autorisant enfin les femmes à accéder à certains postes clés et même à intégrer des forces jusqu'alors réservées aux hommes. Mais malgré ces avancées positives, les militairEs sont loin de recevoir le même traitement que leurs homologues masculins dans cet univers règnent également le sexisme et les violences. Les agressions sexuelles et le harcèlement sont malheureusement légion mais restent, dans de trop nombreux cas, tus et impunis. Tandis qu'un ouvrage de la journaliste Alexandra Geneste et du photographe François Pesant intitulé L'ennemi intérieur (Chez Neus) donnait en 2014 la parole à des victimes qui ont vu leur carrière et parfois leur vie détruites à cause de ce qu'on leur a fait subir, un nouveau rapport de Human Rights Watch, dévoilé jeudi dernier, complète cette enquête et révèle la double peine imposé à celles (et ceux) qui ose parler et dénoncer ces crimes.


La double peine imposée aux victimes de viol dans l'armée © Getty
Pendant 28 mois, en collaboration avec Protect Our Defenders, une association défendant les victimes d'abus sexuels dans l'armée, l'ONG est allée à la rencontre de 163 d'anciennes militaires (de la guerre du Vietnam à nos jours) et de leur famille et a découvert un écoeurant mode opératoire pour les réduire au silence. Dans de nombreux cas, après avoir rapporter un viol, ces femmes se sont retrouvées peu à peu écartées de leur poste et de l'armée, notamment via un bilan psychologique leur diagnostiquant un trouble mental (non-qualifié) qu'il peut leur être difficile de contester, même grâce à un second avis. D'autres se voient simplement congédiées, ou "libérées" de leurs fonctions, en recevant une Other Than Honorable Discharge, habituellement utilisée pour évincer les personnes faisant preuve d'un mauvais comportement et qui n'auraient pas correctement servi leur pays.


Une vie détruite
Deux manières plus ou moins directes de les licencier mais surtout, de les priver de nombreux droits accordés aux combattants comme certaines pensions, l'accès au système de santé des vétérans, la possibilité de pouvoir trouver un autre emploi (administration, enseignement) dans l'armée. Ces motifs peuvent également les empêcher de trouver un travail dans le civil et jouer en leur défaveur en cas de demande de garde de leurs enfants. En bref, cela affecte tous les aspects de leur vie, jusqu'à leur mort puisqu'il leur est évidemment refusé tout enterrement militaire.


"Les victimes militaires de viol qui ont été congédiées ont cette étiquette à vie, explique Sara Darehshori, auteur du rapport. Non seulement elles voient leur carrière militaire s'arrêter, mais on les marque d'un statut qui les empêche de trouver un travail, d'avoir accès à une couverture sociale et de façon général de continuer à mener une vie normale après l'armée." Ces injustices ont poussé plusieurs victimes à la dépression, à l'alcoolisme, à la dépendance aux médicaments ou drogues, voire même au suicide.


"Quand je repense à l'incident, je me maudis parfois d'avoir parlé et dénoncé ce qui c'était passé, confie une victime à HRW. Je ne saurais même pas dire à quel point toute cette histoire a affecté ma vie." L'ONG note que ces dernières années, des efforts ont été faits pour protéger davantage les militaires rapportant des abus, et le Congrès a notamment rendu la procédure de renvoi pour mauvaise conduite plus difficile, celle-ci pouvant être réelle mais due à un syndrome post-traumatique suite au viol. Toutefois, rien n'a été fait pour réparer le mal fait à celles qui ont été écartées par le passé pour ces raisons.




A lire aussi : Les miliciens soudanais autorisés à violer des femmes en gage de paiement


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Les miliciens soudanais autorisés à violer des femmes en gage de paiement,femmes,violences,viols,

25 Mai 2016, 23:38pm

Publié par hugo

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Les miliciens soudanais autorisés à violer des femmes en gage de paiement
1814 partages


Laure Gautherin Publié par Laure Gautherin
le 24 mai 2016






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Les Nations Unies se sont récemment inquiétées des méthodes employées par les combattants alliés au gouvernement à qui ont aurait accordé le droit de violer des femmes "en guise de salaire".
Depuis décembre 2013, le Sud Soudan est en proie à un conflit sanglant qui a déjà fait plusieurs dizaines de milliers de morts et déplacé plus de 2 millions de personnes. Malgré des tentatives d'apaisement, les forces rebelles soutenant Riek Machar, l'ancien vice-président limogé et accusé par l'actuel président Salva Kiir d'avoir fomenter un coup d'Etat, et le gouvernement continuent de s'affronter et de faire des civils des dommages collatéraux. Pour le soutenir dans son combat, le régime s'est entouré de miliciens dont les méthodes ont récemment été dénoncées par l'ONU qui, dans un rapport, affirme que ces soldats ont été autorisés à violer des femmes en guise de salaire au nom du principe "faites ce que vous pouvez et prenez ce que vous voulez".






Des Soudanaises © Getty
Des Soudanaises
Des Soudanaises
Des Soudanaises
Des Soudanaises
Des Soudanaises
Une Soudanaise
S'appuyant sur des récits de rescapés d'affrontements entre les deux armées, les Nations Unies dresse un bilan alarmant de la situation. En plus des nombreux pillages et meurtres, l'année dernière, 1 300 viols auraient recensés pour l'Etat d'Unité (nord) seulement.
Une femme interrogée raconte qu'elle a dû assister au viol collectif de sa fille de 15 ans par 10 soldats après que son mari a été tué. Une autre a été déshabillée et violée par 5 miliciens sur le bord de la route, en présence de ses enfants. Des témoins ont également confié aux enquêteurs que des femmes avaient été capturées et emmenées dans des baraquements pour devenir les esclaves sexuelles de militaires tandis qu'une Sud-Soudanaise leur a expliqué avoir vu une dizaine d'hommes rechercher les plus jolies filles pour les violer ensuite. D'après elle, celles qui ont osé résister ou bien même regarder leurs agresseurs ont été tuées. Bien évidemment, ces individus agiraient en toute impunité. Et ce ne sont que quelques un des terribles témoignages évoqués dans ce rapport.


"Il s'agit d'une situation des droits de l'Homme parmi les plus horribles dans le monde, avec une utilisation massive du viol comme instrument de terreur et comme arme de guerre, a réagi le haut-commissaire de l'ONU aux droits de l'Homme, Zeid Ra'ad Al Hussein. L'échelle et le type de violences sexuelles - qui sont principalement le fait des forces gouvernementales SPLA (Armée populaire de libération du Soudan) et des milices qui leur sont affiliées - sont décrits avec des détails épouvantables et dévastateurs, tout comme l'attitude - presque désinvolte mais calculée - de ceux qui ont massacré les civils et détruit des biens et des moyens de subsistance."


Suite à ces accusations, le gouvernement a démenti avoir autorisés les miliciens à cibler des civils et a assuré qu'une enquête serait menée. Ce n'est pas la première fois que l'ONU tire la sonnette d'alarme sur les nombreuses violations des droits de l'Homme perpétrés par les deux camps au Sud Soudan. En juillet dernier, un rapport de la Mission des Nations Unies au Soudan du Sud (MINUSS) évoquait déjà des cas de viol ainsi que des femmes brûlées vives dans leur maison.


A lire aussi : Soudan du Sud : Ce pays où la valeur des filles se compte en vaches


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Sexe oral et cancer : les hommes sont deux fois plus touchés que les femmes,sante,femmes,hommes,sexes,

25 Mai 2016, 23:35pm

Publié par hugo



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Sexe oral et cancer : les hommes sont deux fois plus touchés que les femmes
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Dounia Malki Publié par Dounia Malki
le 14 février 2016






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450 000. C’est le nombre de personnes diagnostiquées d’un cancer de la bouche chaque année dans le monde. Tabac et alcool sont considérés comme étant les principales causes de ce type de cancer, mais l’impact du sexe oral n’est pas à négliger. Si l’on en croit les derniers travaux scientifiques en la matière, les rapports sexuels oraux multiplieraient par 22 les risques de déclencher un cancer au niveau de la bouche. Et les hommes seraient en première ligne.
Les hommes deux fois plus touchés par les cancers liés au sexe oral © iStock
Fellation et cunnilingus sont des pratiques sexuelles répandues mais elles n’en demeurent pas moins sans risques. Une étude réalisée par le Albert Einstein College of Medicine et relayée dans le magazine médical JAMA Oncology a révélé que le sexe oral, ou plutôt les papillomavirus, multiplierait par 22 les risques de cancers au niveau de la bouche.


Pour en arriver à cette conclusion, les chercheurs ont demandé à 97 000 personnes de leur fournir des échantillons de salive. Ces derniers ont été analysés afin de rechercher des traces de papillomavirus (HPV).


Au début de l’étude, tous les participants étaient en parfaite santé. Mais au cours des quatre ans qu’ont duré les tests, 132 cas de cancers ont été découverts. Les personnes ayant un papillomavirus auraient donc 22 fois plus de risques de développer un cancer.


Et si l’on en croit les travaux réalisés par l’Université John Hopkins de Baltimore et dévoilés vendredi lors de la conférence annuelle de l’American Association for the Advancement of science, les hommes seraient beaucoup plus touchés par les cancers de la bouche liés à un papillomavirus que les femmes. Et ce, même si ces dernières ont eu plus de partenaires sexuels qu'eux.


Pourquoi les hommes sont deux fois plus touchés que les femmes par les cancers liés au sexe oral?
L’anatomie est la première cause expliquant cette disparité. La concentration en HPV est beaucoup plus importante dans le sexe féminin en raison de sa peau fine et de son humidité. Le sexe masculin étant plus sec et doté d’une peau plus épaisse, le virus y est moins présent.


La prévention est plus importante auprès des femmes. Vacciner les jeunes filles contre certains papillomavirus a fait l’objet d’une vaste campagne de prévention. Or, ce ne fût pas le cas pour les jeunes hommes. Toutefois, si l’on en croit les résultats de plusieurs études, ce vaccin leur serait également bénéfique.


Comment le sexe oral donne-t-il lieu à un cancer ?
​​​​​Transmis par le contact de peau à peau, les papillomavirus peuvent concerner tout le monde. La plupart du temps, le système immunitaire se défend et se débarrasse du papillomavirus en question sans que ce dernier n’ait eu d’impact sur l’organisme. ​



Toutefois, il arrive que le virus s’accroche et infecte les organes les plus sensibles à lui : col de l’utérus, pénis, anus, vagin et bouche.


Si le sexe oral multiplie les risques de cancer dû à un papillomavirus c’est tout simplement parce que la bouche a, d’un point de vue cellulaire, la même structure que le vagin et l’utérus. Les cellules épithéliales, où se développent les cancers dus à un papillomavirus, y sont similaires.​


Comment limiter les risques de cancers liés au sexe oral ?
Protégez-vous
SIDA, MST, IST : l’utilisation de préservatif est essentielle lors de rapports sexuels avec un nouveau ou une nouvelle partenaire.


Faites-vous dépister
Le dépistage est également très important dans la lutte contre n’importe quel cancer. Pensez à vous rendre régulièrement chez le médecin et n’hésitez pas à lui faire part de vos craintes, doutes ou tout simplement interrogations en la matière.


Prévenez
Vous connaissez les risques, n’hésitez pas à en parler à votre entourage et surtout à la jeune génération car l’éveil à la vie sexuelle intervient de plus en plus tôt.


​​A lire aussi : Quand changer ses mauvaises habitudes réduit les risques de cancer du sein​


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http://www.aufeminin.com/news-societe/sexe-oral-et-cancer-les-hommes-sont-deux-fois-fragiles-s1744317.html

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LETTRE AUX SUICIDAIRES,sante,

25 Mai 2016, 23:32pm

Publié par hugo

LETTRE AUX SUICIDAIRES


LE SUICIDE NE RESOUDRA QUE VOTRE PROBLEME mais il fera du mal aux gens autours de vous!!!
le suicide c est la force des faibles puisque la vie n est pas forcement simple et facile , affronter la vie est beaucoup plus dure. CEUX QUI SE SUICIDENT SONT DES LACHES , DES GENS QUI PENSENT QUE DE SE FAIRE HARA KIRI EST LA SOLUTION FACILE.ILS ONT CAR tords LE SUICIDENT PROVOQUENT DES PLEURES DES GENS QUI SONT RESTE ET QUI AFFRONTENT LA VIE .LA MEILLEUR SOLUTIONS POUR AFFRONTER SES GALÈRES C EST D EN PARLER AVEC SES AMI(e)S ET D ALLER VOIR UN MÉDECIN .
<<<LA VIE NE VAUT RIEN MAIS RIEN NE VAUT LA VIE <<<<<<<<<


La vie est un combat Accepte le.
Anonyme


FAITES ATTENTION AUX GENS AUTOURS DE VOUS ET SOYEZ MOINS INDIVIDUALISTES


BERTRAND STEFANINK PARIS

LETTRE ADRESSE A MON POTE QUI S EST SUICIDE LE 27/12/2015

ROMAIN M ..............

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