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Le blog de hugo,

EmploiMétiersDroit et justice Anti-Trump, doyenne de la Cour suprême et fervente défenseure du droit des femmes : qui est Ruth Bader Ginsburg ?,femmes,feminisme,

31 Janvier 2018, 23:41pm

Publié par hugo

 Anti-Trump, doyenne de la Cour suprême et fervente défenseure du droit des femmes : qui est Ruth Bader Ginsburg ?
Aujourd’hui âgée de 84 ans, Ruth Bader Ginsburg est la doyenne de la Cour suprême américaine et la seconde femme à y siéger. Depuis toujours, elle se bat pour le droit des femmes et a contribué à changer les lois.  
Nous la préparons pour vous chaque matin
"Il était temps ! Pendant tellement longtemps, les femmes sont restées silencieuses pensant qu’il n’y avait rien à faire…" Lors d’une interview au Sundance Film Festival, le 21 janvier dernier, la doyenne de la Cour suprême américaine, Ruth Bader Ginsburg, a réagit au mouvement #metoo. Aujourd’hui âgée de 84 ans, elle demeure une figure majeure de la lutte pour les droits des femmes.
Frappée par le sexisme et le harcèlement sexuel
Issue d’une famille de la classe moyenne de Brooklyn, elle apprend les valeurs d’indépendance par sa mère, qui avait dû travailler pour payer les études supérieures de son frère. Brillante, elle sort major de promotion de l’université de Cornell à 21 ans et entame, deux ans plus tard, des études de droit à l’université d’Harvard. Elle est l’une des neuf femmes de sa promotion, face à 491 hommes. Puis, dans les années 1960, elle enseigne le droit de l’université de Rutgers. Et neuf ans plus tard, elle devient la première femme professeur de droit à l’université de Columbia.
Ruth Bader Ginsburg se souvient avoir été confrontée au sexisme et au harcèlement sexuel. Lorsqu’elle était étudiante à l’université d’abord, lorsque son professeur de chimie lui avait fait des avances ambiguës : "Mon professeur m’a dit, parce que j’avais des doutes sur mes capacités dans cette matière, qu’il me ferait passer un examen blanc et c’est ce qu’il a fait. Et le lendemain, le jour de l’examen, c’est le même sujet. Je savais exactement ce qu’il voulait en retour." Puis en tant que professeure, à l’université de Rutgers, où elle se bat pour obtenir l’égalité salariale entre femmes et hommes : "Le doyen qui était un homme très gentil m’a dit : "Ruth, nous allons devoir diminuer votre salaire" (…) J’ai demandé combien untel était était payé et il m’a répondu que celui-ci avait une femme et deux enfants à nourrir alors que moi j’avais un mari qui gagnait bien sa vie."
La seconde femme à siéger à la Cour suprême
Avocate talentueuse, elle plaide six fois devant la Cour suprême dans des affaires de discrimination sexuelle et contribue à faire changer les lois dans les années 1970. Elle se souvent avoir "ressenti un sentiment de pouvoir. J’en savais beaucoup plus sur la discrimination que les neuf juges." En parallèle, elle s’engage aussi pour le droit à l’avortement.
En 1993, alors âgée 60 ans, le président Bill Clinton la nomme juge à la Cour suprême, faisant d’elle la seconde femme à y siéger. Entre 2013 et 2015, elle célèbre plusieurs mariages entre personnes de même sexe et milite pour la légalisation du mariage pour tous par la Cour Suprême.
Durant la campagne présidentielle de 2016, elle prend violemment position contre Donald Trump. Encore aujourd’hui, elle est fermement opposée à sa politique et témoigne de son désaccord en n’assistant pas aux discours du président.
À 84 ans, Ruth Bader Ginsburg est donc la doyenne de la Cour suprême et assure : "Tant que je pourrai faire ce boulot à fond, je le ferai !"
A lire aussi

https://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/metiers/droit-et-justice/anti-trump-doyenne-de-la-cour-supreme-et-fervente-defenseure-du-droit-des-femmes-qui-est-ruth-bader-ginsburg_2584682.html

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Raphaël Glucksmann et Michel Hazanavicius lancent #Wetoo : "Nous aussi, nous voulons l’égalité",,femmes,feminisme,

31 Janvier 2018, 23:33pm

Publié par hugo

  Raphaël Glucksmann et Michel Hazanavicius lancent #Wetoo : "Nous aussi, nous voulons l’égalité"
L'essayiste et l'homme de cinéma signent une tribune pour soutenir les femmes qui ont dénoncé le harcèlement et les agressions sexuelles.
Le réalisateur français Michel Hazanavicius, lors du 70e festival de Cannes, le 21 mai 2017.  (ERIC GAILLARD / REUTERS)
franceinfo
Nous la préparons pour vous chaque matin
"Nous aussi" après "moi aussi". L'essayiste Raphaël Glucksmann, directeur du Nouveau magazine littéraire, et le réalisateur Michel Hazanavicius lancent #WeToo, qui s'inscrit dans mouvement #MeToo qui a suivi les révélations sur le producteur américain Harvey Weinstein. Dans un manifeste intitulé "Nous aussi, nous voulons l’égalité", publié samedi 27 janvier, ils se réjouissent : "Depuis l’éclatement de l’Affaire Weinstein, le mouvement #MeToo a ébranlé l’antique domination masculine de l’espace public. Tant mieux !"
"La possibilité de séduire et d’aimer entre égales et égaux"
"Notre réaction fut d’abord de nous taire et de lire, d’écouter ce qu’elles avaient à nous dire d’elles-mêmes, du monde et de nous", écrivent Raphaël Glucksmann et Michel Hazanavicius, pour "assister au déploiement de ces discours et de ces récits féminins." S'ils sortent de leur silence aujourd'hui, c'est parce que "la question de nos libertés d’hommes - de séduire, d’importuner, de draguer ou de flirter" est entrée dans le débat.
Pour affirmer que, loin de nous angoisser, ce mouvement d’émancipation nous réjouit car il ne s’agit pas d’une révolte des femmes contre les hommes mais d’un combat commun contre les injustices faites aux femmes.
Raphaël Glucksmann et Michel Hazanavicius
Enfin, l'essayiste et le réalisateur évoquent les débats lancés notamment par la tribune signée par Catherine Deneuve : "Pour assurer qu'à l'horizon de #MeToo, par-delà les troubles et les vertiges du moment, nous ne voyons pas poindre le puritanisme, mais une libération sexuelle, la possibilité de séduire et d’aimer entre égales et égaux. Une 'révolution du désir' telle que l’a désignée Natalie Portman." Et de conclure : "Nous aussi, nous voulons l’égalité qui seule nous rendra tous et toutes réellement libres."
A lire aussi

https://www.francetvinfo.fr/culture/cinema/affaire-harvey-weinstein/raphael-glucksmann-et-michel-hazanavicius-lancent-wetoo-nous-aussi-nous-voulons-legalite_2584348.html

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Arabie Saoudite : la lente émancipation des femmes,femmes,feminisme,societe

31 Janvier 2018, 23:30pm

Publié par hugo

Arabie Saoudite : la lente émancipation des femmes
L’un des pays les plus conservateurs au monde, l’Arabie saoudite, veut se moderniser. Son nouveau dirigeant, le prince Mohammed ben Salmane, a accordé quelques droits aux femmes qui peuvent paraitre anodins, mais là-bas ils sont révolutionnaires.
FRANCE 2
Nous la préparons pour vous chaque matin
Des hommes et des femmes arrivant à un concert. Un événement à Riyad, où la musique a longtemps été interdite. Ces images des spectateurs étaient tout simplement inimaginables il y a quelques mois. Tout comme ces visages de femmes non voilées. Certaines portent encore le niqab recouvrant le visage, mais d’autres, de plus en plus nombreuses, ne cachent plus complètement leurs cheveux.
La ségrégation des sexes toujours appliquée
"On aurait aimé que tout cela se produise plus tôt, qu’on organise bien avant des fêtes, des loisirs comme ça", regrette l’une d’entre elles. Pour l’instant, les femmes sont d’un côté et les hommes de l’autre : la loi sur la ségrégation des sexes dans les espaces publics s’applique toujours. Après des décennies d’islam rigoriste, Riyad entame donc une révolution très encadrée. À la manœuvre, Mohammed ben Salmane, le prince héritier, prône un islam plus ouvert.

https://www.francetvinfo.fr/societe/droits-des-femmes/arabie-saoudite-la-lente-emancipation-des-femmes_2588332.html

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VIDEO. "Ils meurent comme des chiens dans une niche" : la colère des personnels des maisons de retraite,sante,

31 Janvier 2018, 23:29pm

Publié par hugo

 VIDEO. "Ils meurent comme des chiens dans une niche" : la colère des personnels des maisons de retraite
Des personnels au chevet des personnes âgées sont en grève mardi 30 janvier partout en France pour réclamer davantage de moyens afin de s'occuper dignement des aînés, une mobilisation inédite. Témoignage de leur malaise au quotidien.

FRANCEINFO
Nous la préparons pour vous chaque matin
"J'ai l'impression de travailler à l'usine", confie une aide-soignante d'un EHPAD. "J'aime mon métier, mais je n'aime pas ce qu'il est devenu".
"On a finalement l'impression de bâcler et de faire la moitié de ce qu'on devrait faire parce qu'on n'a le temps de rien", témoigne Mathilde Basset, infirmière de 24 ans, qui a exercé trois mois dans un établissement pour personnes âgées dépendantes en Ardèche et a écrit une lettre ouverte à la ministre de la Santé.
"En quinze jours, on a eu cinq résidents décédés"
Et de poursuivre : "C'est quand même une souffrance au quotidien. On rentre chez soi parfois la larme à l'œil. Le lendemain matin, on n'a pas envie d'y aller et pourtant on y retourne parce qu'il faut, parce qu'on a des gens envers qui on a presque de la tendresse".
"En quinze jours, on a eu cinq résidents décédés. On n'a pas le temps d'accompagner les gens dans le décès. C'est affreux. Ils meurent comme des chiens dans une niche. C'est horrible", se désole une dernière aide-soignante.
A lire aussi

https://www.francetvinfo.fr/sante/senior/maisons-de-retraite-le-ras-le-bol-du-personnel-soignant_2586058.html

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Le monde est de moins en moins démocratique, selon un baromètre annuel,societe,

31 Janvier 2018, 17:44pm

Publié par hugo

   Le monde est de moins en moins démocratique, selon un baromètre annuel
Avec un score de 7,80 sur 10, la France perd 0,12 point et est considérée comme une "démocratie imparfaite", notamment en raison de l'état d'urgence en cours en 2017.
Des soldats de l'armée nord-coréenne, le 24 juillet 2017, au musée de Sinchon, au sud de Pyongyang.  (ED JONES / AFP)
 
Nous la préparons pour vous chaque matin
il y a 1 heure
Meurtre d'Alexia Daval : comment expliquer les trois mois de mensonges de Jonathann Daval ?
Sur 167 pays analysés en 2017, 89 d'entre eux sont moins démocratiques que l'année précédente. Mercredi 31 janvier, The Economist a publié, comme chaque année depuis 2006, son indice démocratique réalisé par The Economist Intelligence Unit (EIU). Ce rapport "enregistre le pire recul démocratique dans le monde depuis des années. La liberté d'expression est menacée à la fois par des acteurs étatiques et non-étatiques", s'alarme l'hebdomadaire économique britannique.
Avec un score de 7,80 sur 10, la France perd 0,12 point et est considérée comme une "démocratie imparfaite", selon ce baromètre qui se base sur 60 critères regroupés en cinq catégories (le processus électoral et le pluralisme, les libertés civiles, le fonctionnement du gouvernement, la participation politique et la culture politique). Depuis 2010, la Norvège est considérée comme le pays le plus démocratique au monde, avec un score de 9,87. Elle est suivie par l'Islande (9,58) et la Suède (9,39). A l'inverse, la Corée du Nord obtient la plus mauvaise note, avec un score de 1,08, suivi de la Syrie, 1,43 et du Tchad, 1,50.
Si l'Europe est la région du monde qui compte le plus de "démocratie totale" (14 pays sur les 19 que compte cette catégorie), sa moyenne a baissé en 2017, s'établissant à 8,38, notamment en raison de l'état d'urgence en France, de la gestion de la crise catalane par Madrid et de l'assassinat de la journaliste anti-corruption maltaise Daphne Caruana Galizia.
A lire aussi

https://www.francetvinfo.fr/monde/le-monde-est-de-moins-en-moins-democratique-selon-un-barometre-annuel_2587954.html

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Malala à Davos: «Les femmes doivent changer le monde par elles-mêmes»,femmes,feminisme

31 Janvier 2018, 12:03pm

Publié par hugo


Malala à Davos: «Les femmes doivent changer le monde par elles-mêmes»
Par P.P. avec AFP, 25 janvier 2018 | 15h15
La jeune militante pakistanaise a appelé les femmes à ne pas attendre le soutien des hommes.
« Nous n’allons pas demander aux hommes de changer le monde, nous allons le faire nous-mêmes », a lancé Malala Yousafzai, jeudi lors d’une conférence au Forum économique mondial de Davos (Suisse). Cette inlassable avocate de l’éducation des filles s’exprimait devant une assemblée pour une fois largement féminine.
 
La jeune militante pakistanaise a appelé les femmes à ne pas attendre le soutien des hommes. « Le féminisme c’est juste un autre mot pour l’égalité. (...) Cela signifie simplement que les femmes devraient avoir les mêmes droits que les hommes », a souligné Malala, 20 ans, en rendant hommage à son père, « un féministe qui a défié la société » traditionnelle pakistanaise pour la soutenir envers et contre tout.
LIRE AUSSI >Malala « ravie » d’avoir été reçue à l’université d’Oxford
 
« Il m’a donné le nom de Malala, une héroïne pachtoune qui était célèbre pour sa bravoure et sa force », a répété la jeune femme, contrainte de fuir son pays après avoir été victime d’une tentative d’assassinat par les Talibans en 2012. « J’espère que je pourrai un jour rentrer au Pakistan. C’est dur de ne pas voir sa maison, sa famille et ses amis pendant plus de cinq ans », a-t-elle dit.
 
« Je ne peux pas envoyer toutes les filles à l’école mais je peux en envoyer le plus grand nombre possible à l’école », a conclu la jeune femme, en rappelant que plus de 130 millions de filles sont privées d’éducation.
 
À Davos, le forum qui réunit chaque année le gotha de la politique et de l’économie, 80 % des participants sont des hommes. Mais les débats ont fait cette année une place au mouvement mondial de revendication féminine #Metoo.
laparisienne.com

http://www.leparisien.fr/laparisienne/actualites/societe/malala-a-davos-les-femmes-doivent-changer-le-monde-par-elles-memes-25-01-2018-7522200.php

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Hausse des plaintes pour viol et agression sexuelle,femmes,viols

31 Janvier 2018, 12:01pm

Publié par hugo

Hausse des plaintes pour viol et agression sexuelle
>Faits divers|Le Parisien avec AFP| 25 janvier 2018, 14h08 |0
(Illustration) LP/Marjorie Lenhardt

L’affaire Harvey Weinstein a libéré partout la parole des femmes victimes d’abus. En France, selon les derniers chiffres officiels du ministère de l’Intérieur, elles sont plus nombreuses à oser porter plainte.
Les dernières statistiques du ministère de l’Intérieur montrent, en 2017, une hausse des plaintes pour viols (+ 12 %) et agressions sexuelles (+ 10 %) par rapport à 2016. L’envolée est particulièrement sensible au quatrième trimestre (+ 31,5 %), avec probablement la révélation de faits anciens.
Interrogé jeudi sur Europe 1, le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb a estimé que cette hausse spectaculaire était la conséquence de « l’effet Weinstein ». Depuis octobre, plus de 100 actrices et collaboratrices de ce puissant producteur de cinéma hollywoodien l’ont accusé d’actes allant du harcèlement sexuel au viol.
La révélation du scandale Harvey Weinstein a provoqué une onde de choc mondiale, libérant la parole des femmes victimes d’abus, ainsi qu’une prise de conscience des décideurs publics face à ce phénomène.
« On voit une envolée des plaintes qui ont été déposées. Mais le phénomène avant ces plaintes existait et on avait remarqué une montée des violences intrafamiliales. Avec ou sans affaire Weinstein, on hésite moins à déposer plainte », a nuancé le ministre de l’Intérieur.
Gérard Collomb a dit vouloir visiter « dans une quinzaine de jours » avec la secrétaire d’Etat à l’Égalité entre les femmes et les hommes Marlène Schiappa, les dispositifs mis en place chez les forces de l’ordre pour favoriser le recueil de ces plaintes et des victimes.

Coups et blessures volontaires au plus haut
Les données du ministère de l’Intérieur mettent aussi en lumière une hausse (+ 4 %) du nombre de victimes de coups et blessures volontaires sur les personnes âgées de plus de 15 ans. « Leur niveau approche désormais les 223 000 victimes, un point haut sur 10 ans », souligne le ministère, ajoutant que ce chiffre est probablement sous-évalué.
A l’appui de cette hypothèse, le Service statistique ministériel de la sécurité intérieure (SSMSI) souligne qu’entre 2014 et 2016, « seulement un quart des victimes de violences physiques exercées par un auteur qui n’appartient pas ou plus à leur ménage ont formellement déposé plainte et 10 % pour les victimes dont l’auteur vit au sein du ménage. C’est donc autour d’un million de personnes (hors enfants) qui seraient victimes de violences physiques en France métropolitaine sur un an ».
Dans les autres domaines de la criminalité et de la délinquance, il y a eu l’an dernier 825 victimes d’homicides, contre 892 en 2016 et 872 en 2015, deux années marquées par le nombre de victimes tuées lors d’actes terroristes. Les vols avec arme (-3 %) et les vols violents mais commis sans usage d’une arme (-5 %) sont en net recul.
Police et gendarmerie ont en revanche noté une hausse des plaintes pour cambriolages (+ 2 %), particulièrement en Bretagne, en Nouvelle-Aquitaine, en Paca et en Corse. Le ministère constate également une « forte augmentation » des escroqueries et infractions assimilées, notamment via Internet, avec 320 000 victimes enregistrées l’an dernier.
Ces données statistiques n’offrent qu’une vision partielle des réalités criminelles et délinquantes en France puisqu’elles ne compilent que les faits enregistrés par les forces de l’ordre.
« Je ne ferai pas la politique du chiffre mais celle de la responsabilisation », a commenté Gérard Collomb, évoquant la prochaine expérimentation de la très attendue police de sécurité du quotidien (PSQ). Ce nouveau dispositif, vanté comme une « police sur-mesure », devrait être officiellement lancé le 1er février.

http://www.leparisien.fr/faits-divers/hausse-des-plaintes-pour-viol-et-agression-sexuelle-25-01-2018-7522110.php

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«Wonder Woman 2», premier tournage à suivre les règles anti-harcèlement sexuel,femmes,feminisme

31 Janvier 2018, 10:27am

Publié par hugo

 
Warner Bros
«Wonder Woman 2», premier tournage à suivre les règles anti-harcèlement sexuel
Par P.P., 25 janvier 2018 | 13h37
La suite du carton « Wonder Woman » va être exemplaire d’une nouvelle façon.
Le film « Wonder Woman » était déjà précurseur en offrant le premier rôle d’un blockbuster à une super-héroïne et en choisissant une réalisatrice, Patty Jenkins. Le film porté par Gal Gadot avait été un carton, troisième plus gros succès de l’année. Et sa suite va être exemplaire d’une nouvelle façon, puisque ce sera le premier tournage à suivre les nouvelles mesures anti-harcèlement sexuel à Hollywood.
Concrètement, ces mesures consistent en un contrat moral, rédigé par la Ligue des producteurs américains (PGA) à la suite de l’affaire Weinstein. Elles reconnaissent évoquent ouvertement le problème du harcèlement sexuel et s’engagent à y mettre un frein. Elles listent des recommandations comme un système de signalement d’un problème de harcèlement et des formations du personnel, au début de chaque saison pour les séries télé.
Les conséquences du scandale Brett Ratner
La PGA invite à engager deux personnes référentes (un homme et une femme) lors de chaque tournage qui seront à l’écoute des personnes victimes ou témoins d’une agression sexuelle. Il est précisé que « toute personne qui porte plainte ou participe à une enquête est protégée contre les représailles. » Chaque rapport de problème doit être entendu « avec attention et empathie » et consigné, tout en respectant la présomption d’innocence ».
Le tournage de « Wonder Woman 2 », commencera dès cet été pour une sortie dans les salles américaines le 13 décembre 2019. Cet engagement des producteurs est un acte fort qui salue aussi l’engagement pour la cause féministe de Gal Gadot, qui s’était battue pour écarter Brett Ratneret sa société de production RatPac-Dune Entertainment du projet sous peine de quitter la franchise. Sa requête faisait suite aux accusations par six femmes de harcèlement et d’agression sexuelle par le producteur. Elle a finalement eu gain de cause.
laparisienne.com

http://www.leparisien.fr/laparisienne/actualites/societe/wonder-woman-2-premier-tournage-a-suivre-les-regles-anti-harcelement-sexuel-25-01-2018-7522086.php

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Le député Robin Reda s’excuse pour sa réflexion jugée sexiste : « Vous pourriez être ma mère »,femmes,sexisme,

31 Janvier 2018, 09:48am

Publié par hugo

 

AFP
Le député Robin Reda s’excuse pour sa réflexion jugée sexiste : « Vous pourriez être ma mère »
Par A-C.D. avec AFP, 25 janvier 2018 | 11h39
Le rapporteur de la loi cannabis Robin Reda (LR) n’a pas apprécié les remontrances de la présidente de la commission des Lois Yaël Braun-Pivet (LREM).
La présidente de la commission des Lois Yaël Braun-Pivet (LREM) et le député Robin Reda (LR) se sont vivement accrochés mercredi soir. La présidente de la commission des Lois a reproché à Robin Reda d’avoir dévoilé dans la presse le rapport sur le cannabis. Une prise de parole qualifiée par Robin Reda de rappel au règlement «quasi-maternel » effectué par une femme qui pourrait «être (sa) mère ».
À LIRE AUSSI : Cannabis : le gouvernement opte pour une amende aux usagers
Une remarque jugée sexiste pour laquelle le jeune homme de 26 ans s’est excusé ce matin sur Twitter : « Chère Yaël Braun-Pivet, ce propos excessif n’est ni dans mon habitude, ni dans mon ADN politique. Je m’en excuse sincèrement avec l’espoir d’en revenir rapidement au débat de fond » a-t-il écrit.
Rappelé au règlement par Yaël Braun-Pivet
Mercredi soir, jugeant « pas courtois pour nos collègues et (…) dans l’intérêt ni de la commission, ni de l’Assemblée » que Robin Reda (LR) et Eric Pouillat (LREM) se soient exprimés dans la presse et aient communiqué aux médias le rapport de la mission d’information avant sa présentation au Palais-Bourbon, Yaël Braun-Pivet leur a rappelé diverses règles « dont ils ont estimé pouvoir s’absoudre ».

Elle a déploré que les autres membres de la commission des Lois n’aient pas eu « la primeur de leurs travaux », contrairement « au Parisien, à BFM ou à LCI », d’autant que ces travaux l’ont été « pour l’Assemblée nationale (…) et non pour le compte du gouvernement ». Après leur avoir lu le règlement, cette députée des Yvelines a aussi lancé aux deux rapporteurs : « Je vous remercie de vous en souvenir et de ne pas réitérer ce genre d’actes ».
«Je dis ça parce que vous pourriez être ma mère »
Robin Reda a alors critiqué « le rappel au règlement quasi-maternel » de la présidente de commission, ce qu’elle a qualifié de « réflexion fort misogyne ». « Non, je dis ça parce que vous pourriez être ma mère », a répondu le rapporteur LR, 26 ans, à la présidente, 47 ans.

Il a aussi regretté « l’inscription très tardive à l’ordre du jour de ce rapport », invoquant aussi « l’attention » que « le gouvernement souhaite que les médias portent à ce rapport » préconisant deux solutions vers la dépénalisation du cannabis pour permettre aux forces de l’ordre de concentrer leurs efforts sur la lutte contre les trafics.

« C’est extrêmement déloyal », a répliqué Yaël Braun-Pivet, affirmant notamment qu’une date initiale, en décembre, avait été repoussée à sa demande à lui.
«Une femme de pouvoir n’est pas forcément une figure maternelle »
La secrétaire d’Etat chargée de l’égalité femmes-hommes Marlène Schiappa a jugé sur Twitter qu'« une femme de pouvoir n’est pas forcément une figure maternelle (…) Sexisme en politique, 2018… Illustration du combat culturel qu’il nous reste à mener. Ma solidarité à Yaël Braun-Pivet».
Vice-président du groupe LREM, Coralie Dubost, a jugé sur le réseau social « le propos était lamentable, les commissaires lois LREM ont exprimé leur soutien à leur présidente. Le changement des pratiques, une affaire de toutes et tous, au quotidien ».

Parmi d’autres critiques LREM, Denis Masséglia a jugé que ces propos « pas acceptables au sein de l'Assemblée Nationale doivent être sanctionnés ».
laparisienne.com

http://www.leparisien.fr/laparisienne/actualites/societe/le-depute-robin-reda-s-excuse-pour-sa-reflexion-jugee-sexiste-vous-pourriez-etre-ma-mere-25-01-2018-7521759.php

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Le député Robin Reda s’excuse pour sa réflexion jugée sexiste : « Vous pourriez être ma mère »,femmes,sexisme

31 Janvier 2018, 09:45am

Publié par hugo

 
AFP
Le député Robin Reda s’excuse pour sa réflexion jugée sexiste : « Vous pourriez être ma mère »
Par A-C.D. avec AFP, 25 janvier 2018 | 11h39
Le rapporteur de la loi cannabis Robin Reda (LR) n’a pas apprécié les remontrances de la présidente de la commission des Lois Yaël Braun-Pivet (LREM).
La présidente de la commission des Lois Yaël Braun-Pivet (LREM) et le député Robin Reda (LR) se sont vivement accrochés mercredi soir. La présidente de la commission des Lois a reproché à Robin Reda d’avoir dévoilé dans la presse le rapport sur le cannabis. Une prise de parole qualifiée par Robin Reda de rappel au règlement «quasi-maternel » effectué par une femme qui pourrait «être (sa) mère ».
À LIRE AUSSI : Cannabis : le gouvernement opte pour une amende aux usagers
Une remarque jugée sexiste pour laquelle le jeune homme de 26 ans s’est excusé ce matin sur Twitter : « Chère Yaël Braun-Pivet, ce propos excessif n’est ni dans mon habitude, ni dans mon ADN politique. Je m’en excuse sincèrement avec l’espoir d’en revenir rapidement au débat de fond » a-t-il écrit.
Rappelé au règlement par Yaël Braun-Pivet
Mercredi soir, jugeant « pas courtois pour nos collègues et (…) dans l’intérêt ni de la commission, ni de l’Assemblée » que Robin Reda (LR) et Eric Pouillat (LREM) se soient exprimés dans la presse et aient communiqué aux médias le rapport de la mission d’information avant sa présentation au Palais-Bourbon, Yaël Braun-Pivet leur a rappelé diverses règles « dont ils ont estimé pouvoir s’absoudre ».

Elle a déploré que les autres membres de la commission des Lois n’aient pas eu « la primeur de leurs travaux », contrairement « au Parisien, à BFM ou à LCI », d’autant que ces travaux l’ont été « pour l’Assemblée nationale (…) et non pour le compte du gouvernement ». Après leur avoir lu le règlement, cette députée des Yvelines a aussi lancé aux deux rapporteurs : « Je vous remercie de vous en souvenir et de ne pas réitérer ce genre d’actes ».
«Je dis ça parce que vous pourriez être ma mère »
Robin Reda a alors critiqué « le rappel au règlement quasi-maternel » de la présidente de commission, ce qu’elle a qualifié de « réflexion fort misogyne ». « Non, je dis ça parce que vous pourriez être ma mère », a répondu le rapporteur LR, 26 ans, à la présidente, 47 ans.

Il a aussi regretté « l’inscription très tardive à l’ordre du jour de ce rapport », invoquant aussi « l’attention » que « le gouvernement souhaite que les médias portent à ce rapport » préconisant deux solutions vers la dépénalisation du cannabis pour permettre aux forces de l’ordre de concentrer leurs efforts sur la lutte contre les trafics.

« C’est extrêmement déloyal », a répliqué Yaël Braun-Pivet, affirmant notamment qu’une date initiale, en décembre, avait été repoussée à sa demande à lui.
«Une femme de pouvoir n’est pas forcément une figure maternelle »
La secrétaire d’Etat chargée de l’égalité femmes-hommes Marlène Schiappa a jugé sur Twitter qu'« une femme de pouvoir n’est pas forcément une figure maternelle (…) Sexisme en politique, 2018… Illustration du combat culturel qu’il nous reste à mener. Ma solidarité à Yaël Braun-Pivet».
Vice-président du groupe LREM, Coralie Dubost, a jugé sur le réseau social « le propos était lamentable, les commissaires lois LREM ont exprimé leur soutien à leur présidente. Le changement des pratiques, une affaire de toutes et tous, au quotidien ».

Parmi d’autres critiques LREM, Denis Masséglia a jugé que ces propos « pas acceptables au sein de l'Assemblée Nationale doivent être sanctionnés ».
laparisienne.com

http://www.leparisien.fr/laparisienne/actualites/societe/le-depute-robin-reda-s-excuse-pour-sa-reflexion-jugee-sexiste-vous-pourriez-etre-ma-mere-25-01-2018-7521759.php

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