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Valls : "J'me paye un avenir en Espagne" / Parodie de Zazie

30 Septembre 2018, 08:50am

Publié par hugo

Valls : "J'me paye un avenir en Espagne" / Parodie de Zazie
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Thomas Gaëtan
Ajoutée le 27 sept. 2018
Abonné 1,6 k
 
Détournement de "Rue de la Paix" de Zazie
Texte, Interprétation et Montage : Gaëtan Thomas
Chanson originale : https://youtu.be/xICWYCoZ7BQ
Catégorie
Humour
Moins
 

https://www.youtube.com/watch?v=hy_ISRVuBDM

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L’hymne des femmes,femmes,feminisme,

30 Septembre 2018, 08:49am

Publié par hugo

L’hymne des femmes
Sur l’air du Chant des marais
Nous qui sommes sans passé, les femmes,
Nous qui n’avons pas d’histoire [1],
Depuis la nuit des temps, les femmes,
Nous sommes le continent noir [2].
 
Refrain :
Levons-nous femmes esclaves
Et brisons nos entraves
Debout, debout, debout !
 
Asservies, humiliées, les femmes,
Achetées, vendues, violées,
Dans toutes les maisons, les femmes,
Hors du monde reléguées.
 
Refrain
 
Seules dans notre malheur, les femmes,
L’une de l’autre ignorée,
Ils nous ont divisées, les femmes,
Et de nos sœurs séparées.
 
Refrain
 
Le temps de la colère, les femmes,
Notre temps, est arrivé,
Connaissons notre force, les femmes,
Découvrons-nous des milliers !
 
Refrain
 
Reconnaissons-nous, les femmes,
Parlons-nous, regardons-nous,
Ensemble, on nous opprime, les femmes,
Ensemble, Révoltons-nous !
 
Refrain

 
L’hymne des femmes chanté par la Compagnie Jolie Môme, 2012
L’Hymne des femmes est une chanson créée collectivement en mars 1971 par des militantes féministes à Paris. Elle est devenue un emblème du Mouvement de libération des femmes (MLF) et plus généralement des luttes féministes francophones. Les paroles sont interprétées sur l’air du Chant des marais. Écoutez aussi cette interprétation, par les Choraleuses, en 2010.
Pour en savoir plus :
Hymne du MLF (Dictionnaire personnel du féminisme), Biscuits de fortune.
« Debout les femmes ! » L’hymne féministe va devenir un tube. On parie ?, L’Obs, 2017.
[1] Invisibilisées, les femmes sont les grandes oubliées de l’Histoire. C’est au début des années 70, dans la foulée des mouvements de libération des femmes, qui chantent cet hymne, que naît la recherche en Histoire des femmes.
[2] Au sens figuré « continent noir » désigne ici cette portion inapparente ou inconnue de l’humanité que constituent les femmes. C’est en effet par cette expression que Freud désigne « la vie sexuée de la femme adulte », que la psychanalyse ne parvient pas à comprendre.
1971
MLF

http://8mars.info/hymne-des-femmes

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IVG : Laurence Rossignol s'attaque à la clause de conscience,femmes,ivg,sante

30 Septembre 2018, 08:44am

Publié par hugo

 IVG : Laurence Rossignol s'attaque à la clause de conscience
La sénatrice de l'Oise dépose une proposition de loi pour supprimer la clause de conscience spécifique à l'IVG.
Laurence Rossignol, en août 2010 à La Rochelle (photo d'Archives).
Crédit : AFP / BERTRAND GUAY
 
Arièle Bonte 
Journaliste
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publié le 27/09/2018 à 18:15
À la veille de la journée mondiale du droit à l'avortement, Laurence Rossignol et d'autres sénateurs et sénatrices ont décidé de déposer une proposition de loi demandant la suppression de la clause de conscience spécifique à l'IVG, peut-on lire dans un communiqué publié ce jeudi 27 septembre.

"Les professionnel.le.s de santé disposent déjà, dans le code de la déontologie, du droit de refuser de pratiquer des actes médicaux pour des raisons personnelles. La clause de conscience spécifique à l’IVG est un doublon dont la seule finalité est de culpabiliser et dissuader les femmes", expliquent les signataires de cette proposition de loi dans leur communiqué.
Pour eux, supprimer la clause de conscience spécifique à l'IVG permettrait d'adresser un message fort "aux adversaires de l’IVG et à la société : le corps des femmes leur appartient.
À elles seules". Cette mesure figurait déjà dans les recommandations du Haut Conseil à l'Égalité entre les femmes et les hommes et avait été partagée dans son rapport de janvier 2017.
La rédaction vous recommande
Accès à l'IVG : Agnès Buzyn demande un "état des lieux"
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Argentine : les femmes déterminées à continuer la lutte pour l'avortement
IVG : 40.000 personnes demandent la suppression de la clause de conscience

https://www.rtl.fr/girls/identites/ivg-laurence-rossignol-s-attaque-a-la-clause-de-conscience-7794961524

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Proposition de loi pour abolir la clause de conscience pour l'IVG,femmes,ivg,

30 Septembre 2018, 08:40am

Publié par hugo

 À la une27 septembre 2018 / 19:40 / il y a 2 jours
Proposition de loi pour abolir la clause de conscience pour l'IVG
3 MINUTES DE LECTURE
 
 
 
 
 
 
 
 

PARIS (Reuters) - La sénatrice Laurence Rossignol et 71 autres élus socialistes de la haute assemblée déposeront vendredi une proposition de loi pour supprimer la clause de conscience octroyant aux médecins le droit de refuser de pratiquer des avortements.

La sénatrice Laurence Rossignol (photo) et 71 autres élus socialistes de la haute assemblée déposeront vendredi une proposition de loi pour supprimer la clause de conscience octroyant aux médecins le droit de refuser de pratiquer des avortements. /Photo d'archives/REUTERS/Benoit Tessier
“Cette clause est aujourd’hui le symbole d’un pouvoir médical qui s’arroge le droit de contester la loi et continue de se mobiliser pour contrôler le corps des femmes. C’est une menace constante et insidieuse qui pèse sur nous toutes”, estime la sénatrice de l’Oise dans un communiqué.
Il y a deux semaines, les propos anti-IVG du président du Syndicat national des gynécologues-obstétriciens ont déclenché un tollé dans les rangs des associations de défense des droits des femmes et relancé le débat sur l’existence de cette clause.
“Les professionnel.le.s de santé disposent déjà, dans le Code de la déontologie, du droit de refuser de pratiquer des actes médicaux pour des raisons personnelles”, note-t-elle.
Le Code de la santé publique et le Code de déontologie médicale prévoient en effet que “hors le cas d’urgence et celui où il manquerait à ses devoirs d’humanité, un médecin a le droit de refuser ses soins pour des raisons professionnelles ou personnelles”.
Un second article distingue spécifiquement le cas de l’avortement, en établissant qu’un médecin “n’est jamais tenu de pratiquer une interruption volontaire de grossesse (IVG) mais il doit informer, sans délai, l’intéressée de son refus et lui communiquer immédiatement le nom de praticiens susceptibles de réaliser cette intervention”.
“La clause de conscience spécifique à l’IVG est un doublon dont la seule finalité est de culpabiliser et dissuader les femmes. La supprimer adresse aux adversaires de l’IVG et à la société un message fort : le corps des femmes leur appartient”, estime Laurence Rossignol.
Une proposition de loi visant à cette suppression, signée par 72 des 75 sénateurs socialistes, sera déposée vendredi, Journée mondiale du droit à l’avortement.
La ministre de la Santé, Agnès Buzyn, qui a condamné la charge anti-IVG du représentant des obstétriciens, s’est pour l’heure montrée défavorable à une telle suppression, tout en soulignant la nécessité de maintenir un droit effectif à l’avortement.
Julie Carriat, édité par Sophie Louet

https://fr.reuters.com/article/topNews/idFRKCN1M72EA-OFRTP

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Clause de conscience, absence de médecin... l’accès à l’avortement toujours inégal en France ,femmes,ivg,

30 Septembre 2018, 08:34am

Publié par hugo

Journée internationale pour l’avortement
Clause de conscience, absence de médecin... l’accès à l’avortement toujours inégal en France
Le nombre d’interruptions volontaires de grossesse (IVG) est stable depuis 15 ans en France, mais au pays de Simone Veil, les obstacles restent nombreux pour les femmes qui veulent exercer leur droit à l’avortement.
Par L’Est éclair avec AFP | Publié le 28/09/2018 à 09h29  partager  twitter Le journal du jour à partir de 1€
Lecture zen
  
C’est un fait établi : «Une femme sur trois aura recours à un avortement au cours de sa vie», rappelle Véronique Séhier, coprésidente du Planning familial. L’an dernier, 216.700 IVG ont été réalisées dans l’Hexagone, quasiment le même nombre qu’en 2001, quand le délai légal est passé de 10 à 12 semaines de grossesse.
Parcours de combattante
Mais 43 ans après la légalisation de l’avortement, il y a encore selon Mme Séhier «des territoires en difficulté», où cet acte médical relève d’un parcours de combattante. Ainsi, dans la Sarthe, l’hôpital du Bailleul a dû interrompre son activité d’orthogénie en janvier, après que trois médecins ont fait valoir leur «clause de conscience», qui leur permet de refuser de faire des IVG. Après l’intervention du gouvernement, la reprise était prévue début octobre.
Ce cas n’est pas isolé, mais «il est impossible d’avoir des chiffres sur la clause de conscience, car ils n’existent pas», déplore Anne-Marie Curat, présidente de l’Ordre des sages-femmes. «Les médecins qui ne veulent pas en faire sont toujours les mêmes», rétorque Andrée Parrenin, vice-présidente de l’Ordre des médecins.
Un «état des lieux» chiffré de l’accès à l’IVG, commandé la semaine dernière par la ministre de la Santé Agnès Buzyn, devrait permettre de savoir si le nombre de médecins faisant valoir la clause de conscience est en augmentation. Quant à son éventuelle suppression, la secrétaire d’Etat à l’Egalité femmes/hommes, Marlène Schiappa, a dit jeudi sur BFM qu’elle n’y était «pas favorable». Lorsqu’un gynécologue est contre l’avortement, «en tant que femme (...) je préfère qu’il ne pratique pas d’avortement sur moi», a-t-elle fait valoir.
 
Quand ce n’est pas la réticence du praticien, c’est parfois son absence qui complique les choses.
«C’est un équilibre précaire. Il suffit qu’un médecin prenne sa retraite ou parte en congé», constate Mme Séhier, sur la foi des 26.000 appels annuels au numéro vert national «aide avortement» (0.800.08.11.11) géré par le Planning familial. Elle évoque les cas récents des hôpitaux de Longjumeau (Essonne), Aubenas (Ardèche) et Fougères (Ille-et-Vilaine), qui ont dû réduire ou arrêter temporairement les IVG.
« Bâtons dans les roues »
Le phénomène ne concerne pas que les villes moyennes. A Paris, l’hôpital Tenon peine à recruter un médecin titulaire pour son centre IVG, qui fonctionne grâce à des vacataires. «Ca devrait être un acte médical comme un autre, mais force est de constater qu’il a toujours une connotation militante», observe Francis Pomey, gynécologue libéral installé dans le nord de la capitale. Dans son cabinet, où il prescrit la pilule abortive, il dit voir arriver «des femmes à qui on a mis des bâtons dans les roues». Pour lui, la médecine de ville «absorbe ce que l’hôpital ne peut pas faire».
Depuis 2004, l’IVG médicamenteuse (jusqu’à la 7e semaine de grossesse) a été progressivement autorisée aux médecins libéraux, aux centres de santé, aux centres de planification et d’éducation familiale (CEPF) et dernièrement aux sages-femmes. Elle représentait un tiers des avortements en 2001, contre deux tiers pour les actes chirurgicaux, une proportion qui s’est inversée en 15 ans.
« Chaque fois que vous avez une petite maternité qui ferme, vous avez un centre IVG qui ferme »
Cette tendance va de pair avec la fermeture de nombreuses maternités: sur la même période, leur nombre est passé de 679 à 497 en métropole, soit une baisse de 27%. «Chaque fois que vous avez une petite maternité qui ferme, vous avez un centre IVG qui ferme», souligne Mme Séhier. La coprésidente du Planning familial pointe par ailleurs l’activisme des sites internet anti-IVG, «toujours très présents». Une loi votée début 2017, censée sanctionner la «désinformation» en ligne sur l’avortement, s’avère en pratique inefficace.
Le discours de ces opposants trouve un relais chez certains gynécologues: dans un reportage diffusé début septembre sur TMC, le président du principal syndicat de cette profession, Bertrand de Rochambeau, justifiait sa «clause de conscience» par le refus de «retirer des vies».
A l’occasion de la journée internationale pour l’avortement, vendredi, un rassemblement ayant pour mot d’ordre «les femmes décident» est prévu en fin de journée à Paris.

http://www.lest-eclair.fr/83832/article/2018-09-28/clause-de-conscience-absence-de-medecin-l-acces-l-avortement-toujours-inegal-en

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Comment être un homme féministe au quotidien ? La réponse de Michael Kaufman,hommes,feminisme,societe

30 Septembre 2018, 08:30am

Publié par hugo

Comment être un homme féministe au quotidien ? La réponse de Michael Kaufman
 
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Interview de Michael Kaufman
 
Par Marguerite Nebelsztein
Publié le Mercredi 26 Septembre 2018

Il est parfois difficile de trouver sa place en tant qu'homme dans cette révolution féministe. Mais vous pouvez faire des choses au quotidien pour faire avancer l'égalité. L'auteur Michael Kaufman vous donne des pistes.

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Le guide du féminisme pour des hommes et par des hommes
 
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Peut-on parler du féminisme quand on est un homme ?
Michael Kaufman, co-auteur du livre Le féminisme expliqué aux hommes par des hommes nous explique les raisons qui l'ont amené à devenir féministe. Il est une grande figure de ce mouvement au Canada. Après le massacre en 1989 à l'École Polytechnique de Montréal de 14 femmes par le masculiniste Marc Lépine, il a co-fondé la campagne du Ruban blanc.
Elle tente de sensibiliser les hommes et les garçons à l'égalité et aux violences faites aux femmes. Michael Kaufman tente de déconstruire la masculinité et est aussi formateur sur les questions d'égalité.
 
Terrafemina : Pourquoi êtes-vous féministe ?
Michael Kaufman : Je suis féministe pour plusieurs raisons. La première est que je pense que c'est la bonne chose à faire. Je crois dans les droits humains, je crois en l'égalité. Je suis profondément concerné par les problèmes de violences des hommes envers les femmes.
Je pense que les femmes devraient avoir l'autonomie sur leur propre corps. J'ai des soeurs, j'ai une femme, j'ai une fille. Donc la première raison pour laquelle je soutiens le féminisme, est que les femmes ne méritent pas moins que l'égalité mais même plus que l'égalité, elles méritent des vies qui sont libres des demandes du patriarcat.
 
Mais il y a une deuxième raison pour laquelle je soutiens le féminisme, qui peut paraître étrange, mais c'est aussi que je pense que cela peut être bon pour les hommes. Vous savez, quand vous pensez aux types de changements qui sont imaginés par le féminisme, une société de plus grande égalité, une société de libération sexuelle et de libération. Une société où nos relations sont, je pense, plus fortes et où nous pouvons célébrer la diversité basé sur notre sexualité ou notre orientation sexuelle.
Vous savez, je pense que cette société est en fait meilleure pour les hommes, je vais vous donner un exemple : les femmes ont poussé depuis des années pour que les hommes jouent un rôle plus égalitaire à la maison, pour faire la moitié des tâches domestiques, pour faire la moitié de l'éducation des enfants.
Vous pouvez penser, ce n'est pas bon pour les hommes, c'est plus de travail. C'est plus de travail, mais les études montrent que les hommes qui réalisent un travail égal à la maison sont plus heureux, ils sont en meilleure santé, leurs enfants sont plus riches, leur relation est plus forte.
En d'autres termes, quelque chose dont les femmes ont poussé les hommes à faire, leur bénéficie en réalité. Vous savez, le féminisme rend notre économie et nos familles plus fortes. Donc cela peut paraître étrange, mais je soutiens le féminisme à la fois parce que c'est la bonne chose à faire de supporter l'égalité et les droits des femmes, mais aussi parce que je pense que cela peut permettre aux hommes d'être meilleurs.
Comment les hommes peuvent-ils être féministes au jour le jour ?
M.K : La première est d'écouter les voix des femmes. Quand avec mon co-auteur Michael Kimmel nous avons écrit ce livre, nous avons commencé par écouter les femmes. Cela ne veut pas dire que tout ce que disent les femmes est juste, mais les hommes doivent écouter les voix des femmes.
Après tout, une partie du contrôle exercé par les hommes de la société a été que nous avons contrôlé la parole publique, nous avons contrôlé les médias, nous avons contrôlé la religion, ce que le gouvernement dit ou le monde universitaire.
La voix des femmes a été abaissée. Donc la première chose que les hommes doivent faire, c'est écouter la voix et les préoccupations des femmes.
Dans notre cas en tant qu'écrivains, ce que nous avons fait c'est de prendre ces préoccupations et de dire aux hommes, voilà ce que nous entendons. Nous vous parlons maintenant de ce que les femmes ont dit. Notre travail n'est pas d'expliquer le féminisme aux femmes, cela serait idiot ou faux. C'était d'expliquer ces idées aux hommes. Donc la première chose que les hommes peuvent faire c'est d'écouter les voix des femmes.
La deuxième chose, c'est que les hommes peuvent apprendre à interrompre le sexisme, à s'élever contre ces blagues sexistes, à s'élever contre les blagues homophobes, à s'élever contre les commentaires qui sont dégradants pour les femmes, de parler contre les violences faites aux femmes, donc d'apprendre à dénoncer.
La troisième chose que les hommes doivent faire c'est à la maison, de s'assurer que nous faisons l'expérience d'une vie égalitaire dans nos maisons. Si nous vivons dans des relations hétérosexuelles, nous devons réaliser la moitié des tâches ménagères, la moitié de l'éducation, il n'y a aucun job que ma femme peut faire et que je ne puisse faire et vice-versa. Donc nous devons vivre cette égalité.
Nous devons aussi être sûrs que la violence n'entre pas dans nos vies, c'est la quatrième chose, que nous n'utilisons pas la violence physique, sexuelle ou émotionnelle contre les femmes
Nous devons également travailler tous les jours dans les organisations dans lesquelles nous sommes, les entreprises, les syndicats, les associations, les corps de l'État, de l'Église, n'importe lequel, pour faire avancer l'égalité. Nous devons prendre les idées des droits des femmes et nous devons faire en sorte que notre organisation soutienne ces droits.
Les hommes doivent travailler au côté des femmes, pas pour prendre le contrôle, mais pour une fois pour travailler comme des partenaires avec elles. Ce que nous disons c'est que nous voulons apporter un meilleur monde pour les femmes mais aussi un meilleur monde pour les hommes, mais le plus important nous apportons un monde meilleur pour nos enfants et nos petits-enfants.
Société féministes homme Livres Culture

http://www.terrafemina.com/article/comment-etre-un-homme-feministe-au-quotidien-la-reponse-de-michael-kaufman_a345448/1

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C'est quoi la théorie de l'attachement ?,articles femmes hommes,couples,amours,

30 Septembre 2018, 08:28am

Publié par hugo

 C'est quoi la théorie de l'attachement ?
 
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C'est quoi la théorie de l'attachement ?
 
Par Victoria Lasserre
Publié le Mercredi 26 Septembre 2018

Selon un psychologue anglais, nos comportements amoureux pourraient être définis par notre façon de s'attacher ou non aux autres. C'est ce qu'il explique dans sa théorie de l'attachement.

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Dans un couple, chacun va à son rythme. Si votre meilleure amie emménage avec son nouveau copain au bout de trois mois, ce n'est pas une raison pour faire exactement la même chose qu'elle. Si vous, vous êtes encore célibataire, ce n'est pas grave. Vous avez besoin d'y aller à votre rythme, tout simplement.
Mais alors, pourquoi personne n'avance de la même manière en terme de relation amoureuse ? Selon le psychologue anglais John Bowlby, cela aurait un rapport avec la théorie de l'attachement, qu'il a lui-même élaborée dans les années 1950.
 
Ainsi, vos échecs ou votre réussite amoureuse serait liés à votre façon d'aimer ou justement, de ne pas aimer certaines personnes.
À l'origine, cette théorie a été établie sur les liens qui unissent les nourrissons et leurs parents. Ensuite, elle a été développée pour convenir aux relations amoureuses et amicales, comme le dévoile le site Pure Wow.
 
C'est quoi la théorie de l'attachement ?
Pour établir cette théorie de l'attachement, John Bowlby a cherché à comprendre comment et pourquoi les individus réagissent au sein de leurs relations, qu'elles soient familiales, amoureuses ou amicales. Selon lui, il existe quatre types différents d'attachements, qui peuvent alors déterminer le choix des partenaires, de l'évolution des relations, etc.
Comme l'explique le site Psychology Today dans un article consacré à cette théorie, il faudrait donc réussir à déterminer son propre style d'attachement pour mieux se connaître et ainsi faire les bons choix sentimentaux. Une étude, menée par d'autres psychologues américain·es et publiée dans le Journal of Personality and Social Psychology en février 2000, appuierait cette idée.
Les quatre styles d'attachement sont le style d'attachement sécure, le style d'attachement insécure évitant, le style d'attachement insécure anxieux et le style d'attachement désorganisé.
Selon la théorie, chaque individu correspondrait à l'un de ces comportements et celui-ci serait établi dès l'enfance, en fonction des relations qu'il a pu nouer avec ses parents.
Le style d'attachement sécure
Ce sont les personnes les plus à l'aise dans les relations amoureuses, car elles ne ressentent pas la peur de l'abandon ou la crainte d'être déçues. Elles n'ont pas peur de s'attacher aux autres et font facilement confiance. Elles arrivent à comprendre l'importance d'une intimité à deux et le besoin d'avoir des intérêts séparés.
Évidemment, des disputes peuvent également surgir dans ces relations, mais elles seront gérées d'une manière différente, puisque les individus pourront exposer calmement leurs problèmes. Néanmoins, il arrive que deux personnes de types d'attachement différentes sortent ensemble.
Dans ce cas-là, certaines incompréhensions peuvent survenir au quotidien, mais avec un peu de chance, elles pourront trouver un équilibre rassurant pour les deux.
Le style d'attachement insécure évitant
Les personnes de ce type essayent d'éviter toute forme d'attachement profond et préfèrent se limiter à des sentiments superficiels. Elles se sentent en sécurité lorsqu'elles sont seules et prônent ainsi leur indépendance et leur liberté, car elles ont peur d'avouer leurs sentiments (si elles arrivent à en avoir).
Ainsi, ces personnes peuvent s'enfuir dès qu'une relation devient trop sérieuse, par peur d'être trop enchaînées à un ou une partenaire. Elles préféreront ne pas avoir à définir ou à nommer une relation, par exemple et éviteront d'être réellement "en couple".
Si vous rencontrez quelqu'un qui agit de cette façon, soyez patient·e. Avec le temps, les sentiments pourraient prendre le dessus sur le reste et la personne pourrait se livrer petit à petit. Attention cependant, restez vigilant·e et prenez soin de vous. Vous ne devez pas souffrir sans arrêt dans une relation de ce genre.
Le style d'attachement insécure anxieux
À l'inverse du style d'attachement insécure évitant, le style d'attachement insécure anxieux correspond aux personnes qui ont du mal à rester seules et qui vivent généralement au travers d'une relation. Elles sont totalement dépendantes de leur partenaire, au risque d'être excessives.
Ainsi, l'avis de leur partenaire sera très important pour elles, que ce soit sur le quotidien, les choix professionnels voire même vestimentaires. Elles cherchent généralement l'amour et la confiance, mais souvent à l'extrême. Par exemple, elles auront du mal à concevoir que leur partenaire sorte sans elles et seront très jalouses.
Si vous vous reconnaissez, prenez garde à ne pas étouffer votre partenaire. Si vous êtes célibataire, apprenez à prendre du temps pour vous et uniquement pour vous. Soyez conscient·e que vous devez d'abord apprendre à être heureux·se seule pour être ensuite bien en couple.
Le style d'attachement craintif ou insécure évitant et anxieux
En gros, ce type de personnes est un joli mélange des deux précédents. C'est-à-dire qu'elles peuvent tout à fait avoir besoin d'être constamment rassurée tout en ayant besoin d'espace et une peur de l'engagement.
Ces personnes sont paradoxales certes, mais seulement parce qu'elles n'ont aucune confiance en elles. Elles n'arrivent pas à trouver un réconfort dans leur couple et vivent alors dans le doute permanent. Elles pourront ainsi souffler le chaud et le froid, parfois dans la même journée.
Évidemment, il est très compliqué de vivre avec une personne ayant ce type de réactions. Pour autant, si vous l'aimez, vous pouvez essayer de la rassurer. Avec un peu de temps, tout pourrait s'arranger.
Alors, arriverez-vous à déterminer quel type d'attachement vous correspond ? Cela serait la meilleure façon de comprendre vos agissements et surtout, d'essayer de les changer s'ils ne vous conviennent pas.
couple amour relations News essentielles

http://www.terrafemina.com/article/en-fauteuil-roulant-on-lui-refuse-l-acces-a-la-cabine-handicapee_a345484/1

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Supression de la clause de conscience sur l'IVG : le débat qui divise les féministes,femmes,feminisme,ivg,

30 Septembre 2018, 08:20am

Publié par hugo

 Supression de la clause de conscience sur l'IVG : le débat qui divise les féministes
 
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Clause de conscience sur l'IVG : le débat qui divise les féministes
 
Par Le HuffPost
Publié le Vendredi 28 Septembre 2018
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La secrétaire d'état chargée de l'égalité femmes-hommes Marlène Schiappa s'oppose à la supression de la clause de conscience pour les médecins qui pratiquent l'interruption volontaire de grossesse. Cette mesure a été réclamée par l'ancienne ministre PS Laurence Rossignol.

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C'est une déclaration polémique d'un médecin qui a remis en lumière cette disposition. Chef de file du principal syndicat de gynécologues, Bertrand De Rochambeau s'était attiré les foudres de quasiment toute la classe politique -y compris le gouvernement- en affirmant qu'il n'est pas là pour "retirer des vies". Et d'ajouter devant la caméra de "Quotidien" : "la loi me protège et ma conscience aussi".
Depuis que l'Interruption volontaire de grossesse (IVG) a été légalisée, la loi pose en effet une clause de conscience qui permet à un médecin de ne pas pratiquer cet acte s'il est contraire à son opinion ou sa religion. Cela pose parfois de sérieux problèmes d'accès à l'avortement comme dans la Sarthe où un hôpital a dû stopper ces actes, trop de médecins mettant en avant leur clause de conscience.
 
Cette dernière est aujourd'hui dans le collimateur du Parti socialiste. La sénatrice Laurence Rossignol, ancienne ministre des Familles, a choisi ce vendredi de journée mondiale de l'accès à l'avortement pour déposer une proposition de loi qui vise à supprimer cette clause en matière d'IVG.
Cette préconisation a déjà été faite en 2013 par le Haut Conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes et en 2015 par le Défenseur des droits. Plus récemment une pétition signée par plus de 40.000 personnes demandait sa suppression.
 
"Un droit encore à part"
"La clause de conscience spécifique à l'IVG est un doublon dont la seule finalité est de culpabiliser et dissuader les femmes", dénonce le groupe PS qui veut adresser un message fort "aux adversaires de l'IVG et à la société: le corps des femmes appartient à elles seules".
Cette dernière phrase aurait pu être prononcée par Marlène Schiappa. Seulement la ministre chargée de l'égalité femme-homme n'est pas sur la même ligne que Laurence Rossignol, marquant un clivage au sein du camp féministe sur cette question.
"Je préfère, en tant que femme, que lorsqu'un gynécologue est contre l'avortement, il n'en pratique pas. On sait trop les violences psychologiques et physiques que peuvent ressentir des femmes lorsqu'elles sont en contact avec des médecins qui n'ont pas la volonté de le pratiquer", a-t-elle expliqué sur BFMTV.
Lire la suite sur le HuffPost

Société avortement droits des femmes Politique News essentielles

http://www.terrafemina.com/article/supression-de-la-clause-de-conscience-sur-l-ivg-le-debat-qui-divise-les-feministes_a345516/1

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En fauteuil roulant, on lui refuse l'accès à la cabine handicapée,handicap,

30 Septembre 2018, 08:15am

Publié par hugo

 En fauteuil roulant, on lui refuse l'accès à la cabine handicapée
 
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L'enseigne Pimkie accusée de discrimination
 
Par Marguerite Nebelsztein
Publié le Jeudi 27 Septembre 2018

Samedi, une mère et ses deux filles, dont l'une se déplace en fauteuil roulant, ont voulu aller faire du shopping chez l'enseigne Pimkie. Malheureusement, l'accès à la cabine d'essayage pour personnes à mobilité réduite leur a été refusée, au prétexte qu'elle servait de stockage.

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Philippe Croizon : son fauteuil roulant à 24 000 euros...
C'est un coup de gueule qui a été partagé plus de 64 000 fois sur Facebook depuis sa publication dimanche. Sur le réseau social, une mère a raconté le calvaire de sa fille Camille, âgée de 17 ans. Cette dernière est handicapée et se déplace en fauteuil roulant.
Le week-end dernier, Sandrine fait des courses avec ses deux filles, Zoé et Camille, dans le centre commerciale de Parly 2 dans la ville du Chesnay (Yvelines). Lors de leur séance de shopping, elles décident d'aller dans une boutique de la marque de vêtements Pimkie.
 
Camille repère quelques vêtements et se dirige vers le chemin de la cabine pour les essayer. Mais, problème, les trois femmes se rendent compte que la seule cabine prévue pour les personnes à mobilité réduite (PMR) n'est pas accessible : "Mes ados choisissent des vêtements et au moment de vouloir aller en cabine. Celle réservée aux handicapés n'est pas disponible. Non pas car une personne valide est dedans... non!!! Mais car c'est là où les vendeuses stockent leurs vêtements", s'insurge Sandrine sur Facebook.

http://www.terrafemina.com/article/en-fauteuil-roulant-on-lui-refuse-l-acces-a-la-cabine-handicapee_a345484/1

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Marie Msika-Razon, médecin : "L'IVG est un soin comme un autre",femmes,ivg,

30 Septembre 2018, 08:10am

Publié par hugo

 Marie Msika-Razon, médecin : "L'IVG est un soin comme un autre"
 21h00, le 29 septembre 2018
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FRED DUFOUR / AFP@ Une patiente en consultation au planning familial. Photo d'illustration.
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La praticienne Marie Msika-Razon, invitée de Philippe Vandel samedi, est favorable à la suppression de la clause de conscience qui permet aux médecins de refuser de pratiquer une IVG. 
INTERVIEW
Un tiers des femmes a connu une interruption volontaire de grossesse. Malgré cette réalité et les décennies passées depuis la loi Veil (1975) autorisant l'avortement, l'acte est régulièrement remis en question. Marie Msika-Razon, médecin au Planning familial et à l’hôpital des Bleuets à Paris, alerte au micro de Philippe Vandel sur la menace qui plane sur l'IVG.
"D'un cabinet à l'autre". "Certes, c'est un droit. Mais il y a des choses qu'on pensait complètement acquises et qui ne le sont pas", souligne le médecin au micro d'Europe 1. En témoignent selon elle les déclarations de Bertrand de Rochambeau, président d'un syndicat de gynécologues, qui, début septembre 2018, assimilait l'IVG à un homicide.
Sur le terrain, Marie Msika-Razon observe régulièrement les entraves au droit à l'IVG : "Le délai légal est de cinq semaines de grossesse pour la méthode par médicament et de douze semaines de grossesse pour la méthode par aspiration et ce temps-là passe très vite. Même à Paris, on entend des patientes qui ont été d'un cabinet à l'autre en continuant leurs examens sans avoir accès à l'IVG elle-même."
"Le sujet, c'est la femme". Des femmes ont ainsi eu plusieurs échographies sans suite "et ont perdu plusieurs semaines". Certaines "doivent aller à l'étranger pour pouvoir avoir recours à une IVG". Partant de ce constat, la praticienne se déclare favorable à la suppression de la clause de conscience qui permet à des médecins de refuser de pratiquer l'IVG. "Il n'y a aucune raison qu'il existe ça pour ce type d'acte alors que ça n'existe pas pour tous les autres actes médicaux. De toute façon, l'IVG est un soin comme un autre et c'est un soin capital pour protéger le droit des femmes et qu'elles aient accès à leur corps."
Le médecin le martèle, assimiler une IVG à un homicide "est très grave". "Il faut bien recentrer qui est le sujet dans une IVG. Le sujet, c'est la femme et c'est la femme qu'on va priver d'une certaine partie de sa vie si on l'oblige à poursuivre une grossesse qu'elle ne désirait pas. Ce n'est pas entendable", conclut Marie Msika-Razon.
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Par Aurélie Dupuy

http://www.europe1.fr/societe/marie-msika-razon-medecin-livg-est-un-soin-comme-un-autre-3767189

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