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Les Français·e·s fantasmeraient plus que jamais, d’après une nouvelle étude IFOP pour LELO

30 Janvier 2024, 01:56am

Publié par hugo 🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️

 Les Français·e·s fantasmeraient plus que jamais, d’après une nouvelle étude IFOP pour LELO
Anthony Vincent
 Publié le 29 janvier 2024 à 11h51
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MADMOIZELLE  LIFESTYLE  PSYCHO-SEXO  SEXO
L’Institut français d’opinion publique a mené pour le leader mondial des accessoires intimes de luxe LELO une étude sur les fantasmes des Français·e·s. En 24 ans, ils seraient en hausse de 30 % : signe qu’on y pense de plus en plus et/ou qu’on a de moins en moins honte de penser au sexe de temps en temps ?
Le faire dans un ascenseur, dans l’avion, à plusieurs… On a presque tou·te·s des fantasmes plus ou moins avouables. Et c’est justement l’objet de la dernière étude de l’Institut français d’opinion publique pour LELO, conduite entre le 29 décembre 2023 et le 2 janvier 2024, par questionnaire auto-administré en ligne auprès de 1 911 personnes majeures, censée former un échantillon représentatif de la population adulte française. Comme toujours avec ce genre d’études, il vaut mieux la prendre avec des pincettes et du recul critique, surtout quand elle est commandée par une marque. Mais elle s’avère particulièrement intéressante si on en compare les résultats contemporains avec ceux de l’année 2000.

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En France, on penserait au sexe au moins une fois par jour
Il résulte en effet de cette étude Ifop pour LELO qu’on penserait en moyenne au sexe 2 fois par jour en 2024, contre 1,5 fois en 2000. Puisqu’il s’agit de déclaratif, difficile de savoir si c’est parce qu’on y pense de plus en plus et/ou si c’est plutôt parce qu’on assume davantage d’y songer régulièrement.

En vidéo Le stealthing, le point du mari, la zone grise : que signifient ces mots du Q ?

À lire aussi : Comment #MeToo a changé l’esthétique de la mode, moins porno-chic, mais toujours charnelle

Évidemment, les résultats diffèrent aussi en fonction des genres : chez les hommes, on passe de 2,5 en 2000 à 3 fois par jour en 2024. Quant aux femmes, elles resteraient constantes entre 2000 et 2024, avec 1 pensée sexuelle quotidienne, officiellement. C’est donc clairement les hommes qui font monter cette moyenne, sans surprise. Le plus surprenant, en revanche, réside peut-être dans ce qu’ose déclarer la moyenne des femmes…

Et si le film que vous alliez voir ce soir était une bouse ? Chaque semaine, Kalindi Ramphul vous offre son avis sur LE film à voir (ou pas) dans l’émission Le seul avis qui compte.


https://www.madmoizelle.com/les-francais%c2%b7e%c2%b7s-fantasmeraient-plus-que-jamais-dapres-une-nouvelle-etude-ifop-pour-lelo-1617745

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À Lyon, un questionnaire sur les pratiques sexuelles des soignants crée le malaise

25 Janvier 2024, 03:22am

Publié par hugo 🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️

 À Lyon, un questionnaire sur les pratiques sexuelles des soignants crée le malaise
Elisa Covo
 Publié le 22 janvier 2024 à 13h11
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MADMOIZELLE  SOCIÉTÉ  ACTUALITÉS  ACTUALITÉS FRANCE
Une agente aurait été mise à l’écart après avoir dénoncé l’environnement de travail toxique du service de réanimation de l’hôpital lyonnais Édouard-Herriot où circulait un questionnaire sur les préférences sexuelles du personnel soignant.
Vendredi 19 janvier, l’antenne régionale de BFMTV a mis en lumière la circulation d’un questionnaire portant sur les pratiques sexuelles des soignants au sein du service de réanimation de l’hôpital lyonnais Édouard-Herriot. Selon les informations de la chaîne, la direction des Hospices Civils de Lyon (HCL) a reçu le 20 décembre un signalement en interne pour des faits de « harcèlement sexuel » de la part du syndicat FA-FPH (Fédération Autonome de la Fonction Publique Hospitalière).

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« Faire une petite blague »
Les auteurs de ce questionnaire, affiché également dans certaines salles de garde, ne seraient autres qu’un petit groupe d’agents du service de réanimation qui a expliqué vouloir « faire une petite blague » et « décompresser ».

« Pratiquez-vous la fellation, le cunnilingus, le sadomasochisme ou encore aimez-vous recevoir un doigt dans l’anus » ? Telles sont certaines des questions figurant sur le sondage, dont les résultats devaient être rendus publics le 31 décembre.

Dans un courrier à destination des Hospices Civils de Lyon, auquel BFM Lyon a eu accès, un membre du service justifie ces « blagues à connotation sexuelles » par le besoin « que certains soufflent » face à la « souffrance humaine » qu’ils affrontent quotidiennement « en accompagnant patients et familles ».

En vidéo Les freins au dépistage du cancer du sein #shorts

À lire aussi : 82 % des femmes médecins à l’hôpital se sont déjà senties discriminées dans leur parcours à cause de leur genre

Une agente dénonce et est prise à partie
Le signalement du syndicat FA-FPH a été émis suite au témoignage d’une agente du service dénonçant un « environnement de travail toxique, où il n’y a pas de respect ni de limite ». Quelques jours après avoir alerté, la soignante affirme avoir été prise à partie par ses collègues. « Il lui aurait été reproché son refus de signer une sculpture en plâtre en forme de pénis déposée par un aide-soignant du service ainsi que son alerte quant au questionnaire précité », explique la direction de l’hôpital dans un mail adressé au syndicat, consulté par BFM Lyon.

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Arrêtée pour raisons de santé, la soignante concernée dénonce sa placardisation à BFM Lyon : « Je suis très angoissée. Mon devenir est flou et je suis mise à l’écart. Je ne suis pas la bienvenue puisque la plupart des collègues sont contre moi ».

Interrogée par nos confrères, la responsable syndicale du FA-FPH a indiqué que « les affiches pour lutter contre le harcèlement sexuel et les violences sexistes ont été enlevées depuis un an, par des agents, qui seraient les mêmes auteurs de ce type d’enquête ». Ce petit groupe d’agents ferait la loi au sein du service de réanimation.

Une enquête administrative a été ouverte par la Direction des ressources humaines.

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Crédit photo de la une : Rodnae production de la p


https://www.madmoizelle.com/a-lyon-un-questionnaire-sur-les-pratiques-sexuelles-des-soignants-cree-le-malaise-1615319

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Sans surprise, le top 10 des positions sexuelles préférées des couples est…

29 Octobre 2023, 08:40am

Publié par hugo 🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️

 Couple dans un lit
SEXO
Sans surprise, le top 10 des positions sexuelles préférées des couples est…
Audrey Couppé de Kermadec
 Mis à jour le 28 octobre 2023 à 19h33
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MADMOIZELLE  LIFESTYLE  PSYCHO-SEXO  SEXO
Le Kamasutra, la bible du cul, renferme pas moins de 64 positions. Ce sont donc 64 possibilités pour faire varier ses parties de jambes en l’air. Pourtant, selon une récente étude, les couples ne semblent pas très aventureux… Ou alors ils et elles savent ce qui fonctionne le mieux !
Enfin, les vraies questions. La plateforme de consultation en ligne Zava a demandé à 2000 personnes d’Europe et des États-Unis de se confier sur leurs positions sexuelles préférées, leurs fantasmes inavoués ou encore qui était à l’origine de nouveauté dans le couple. 


Résultats ? Pas de grosses folies, mais un panel de positions qui semblent satisfaire la plupart des répondants et répondantes de l’enquête. Et c’est bien ce qui compte.

Selon l’étude, 35 % des personnes préfèrent la levrette, 22,5 % le missionnaire et 19,4 % l’andromaque

Zava
Des acrobaties plutôt sages
L’étreinte du panda, la brouette thaïlandaise, le petit pont… le Kamasutra propose 64 positions sexuelles toutes les plus improbables que les autres pour changer des sempiternels missionnaires et levrettes, souvent présentées comme des positions si classiques qu’elles en deviendraient ennuyeuses.

Tiens, c’est marrant, elles font pourtant partie du top 3 des acrobaties sexuelles favorites des personnes interrogées par la plateforme.


Fantasme-Zava-enquete-sexualite
Les positions sexuelles classiques sont plébiscitées
Selon l’étude, 35 % des personnes préfèrent la levrette (surtout en France, au Royaume-Uni, en Espagne, en Allemagne, en Autriche et en Roumanie), 22,5 % le missionnaire et 19,4 % l’andromaque (lorsque l’un des partenaire se trouve à califourchon sur l’autre). Suivent, de loin, les jambes en l’air (whatever that means), le 69, les cuillères, l’andromaque inversé, la fellation, l’anal et l’équerre. On est loin des acrobaties rocambolesques aux noms à rallonge !


Même du côté des positions qu’ils et elles aimeraient essayer, ça reste assez sage : les hommes voudraient tenter le 69 debout, l’anal (pas sur eux, je parie) et l’équerre et les femmes lorgnent sur l’équerre, la charrette et le 69 debout.

Ça, c’est pour les couples hétérosexuels. Et pour les personnes LGBTQIA+ ?

« Peu importe le genre et la préférence sexuelle, la levrette rafle encore une fois la première place. Et le sexe anal apparaît dans le top 5 chez les bisexuels et homosexuels. Le 69 quant à lui ne figure que dans les favoris des pratiques chez les homosexuel(le)s »

Et quand on demande aux répondants et répondantes où ils et elles ont eu vent des différentes positions sexuelles, plus de la moitié des hommes semblent s’inspirer du porno  alors que les femmes affirment avoir appris de leur partenaire.

Et les fantasmes sexuels ?
Et du côté des positions qu’ils et elles rêvent de tester sous la couette ?

« Il est surprenant de constater que si l’équerre est à la 10e place des positions préférées, nombreux sont ceux qui aimeraient l’essayer puisqu’elle arrive en première position de ce classement tous pays confondus, suivi du 69 pratiqué debout. Pour les Français en particulier, c’est le 69 debout qui vient en première position. »

L’étude révèle qu’il existerait « peu de différence entre ce que les hommes et femmes souhaiteraient tenter », mais que les femmes ne citent pas la pénétration anale contrairement aux hommes. Pas étonnant, quand on sait que la sodomie, mal pratiquée, peut être très douloureuse, et qu’au sein du couple hétérosexuel, c’est souvent la femme qui prend.


Quand on les interroge, 75 % des hommes prétendent que se sont eux qui sont à l’initiative de nouvelles positions contre 59 % des femmes.

Qu’est-ce qui peut donc freiner les 25 % d’hommes et les 41 % de femmes qui n’osent pas sauter le pas ? D’après Zava, 38 % des hommes se disent inquiets de faire mal à leur partenaire alors que les femmes sont 23 % à craindre d’avoir mal, 31 % ne pas être assez souples et 21 % d’être trop lourdes !

Tiens, tiens, les injonctions faites aux femmes se seraient-elles glissées dans le lit ? Shocker.

À lire aussi : Enfin un Kamasutra réaliste des positions sexuelles entres femmes

Crédits photos : Zava et cottonbro

Vous aimez nos articles ? Vous adorerez nos podcasts. Toutes nos séries, à écouter d’urgence ici.


https://www.madmoizelle.com/sans-surprise-le-top-10-des-positions-sexuelles-preferees-des-couples-est-1234403

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A partir de 15 ans, près d’un garçon sur trois est infecté par le papillomavirus humain (HPV)

17 Août 2023, 05:19am

Publié par hugo 🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️🏳️‍⚧️

 A partir de 15 ans, près d’un garçon sur trois est infecté par le papillomavirus humain (HPV)

A partir de 15 ans, près d’un garçon sur trois est infecté par le papillomavirus humain (M. Michiels, LP 16/08/23)
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hier à 11:03

Temps de lecture2 min
Par Johanne Montay
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Le HPV, les filles connaissent bien. Les garçons, moins. Et pourtant, ils ont toutes les raisons de savoir ce qu’est le papillomavirus humain (HPV). Certains types de ce virus sont la voie royale pour provoquer un cancer du col de l’utérus chez la fille, mais aussi un cancer du pénis, de l’anus, de la bouche ou de la gorge chez le garçon.

Une nouvelle étude publiée aujourd’hui dans The Lancet Global Health sous forme de méta analyse montre que près d’un homme sur trois, âgé de 15 ans ou plus, est infecté avec au moins un type de papillomavirus humain. Un sur cinq est infecté par au moins un HPV à risque élevé de provoquer un cancer.

L’épidémiologie du HPV chez la femme était bien documentée. Cette revue systématique de la prévalence de l’infection génitale par le HPV dans la population masculine comble une lacune du côté des garçons.

Au total, les auteurs ont identifié 5685 publications à partir de recherches dans des bases de données, dont 65 études (comprenant plus de 44.700 hommes) incluses dans 35 pays. Les résultats montrent que 31% des garçons étaient porteurs de ce virus, et 21%, de la forme la plus cancérogène. C’est surtout entre 25 et 29 ans que la prévalence était élevée.

Chaque année, 70.000 cas de cancers masculins dus au HPV
Il existe plus de 200 types de HPV qui peuvent être transmis sexuellement, dont au moins 12 peuvent provoquer des cancers. La majorité des infections chez les hommes et les femmes sont asymptomatiques, mais elles peuvent entraîner des séquelles à long terme et même être mortelles.

En effet, chaque année, plus de 340.000 femmes meurent du cancer du col de l’utérus, d’après les "Statistiques mondiales sur le cancer 2020". Pour les garçons, l’étude se réfère à une publication de 2018, citant le chiffre de 69.400 cas de cancer dus au HPV en 2018.

La prévalence du HPV génital est donc élevée chez les hommes, comme le montre cette étude, et elle demeure élevée tout au long de la vie sexuelle des hommes hétérosexuels.

Vaccination gratuite pour les garçons depuis 1 an
Depuis le 1er août 2022, en Belgique, les adolescents comme les adolescentes ont le même accès au remboursement du vaccin contre le papillomavirus humain. Jusqu’alors, seules les filles avaient droit à la gratuité. Le changement a été effectué suite à une plainte introduite par un adolescent – soutenue par l’Institut pour l’Égalité des femmes et des hommes – estimant qu’il était discriminatoire de devoir payer son vaccin.

En Belgique, la vaccination peut se faire soit via l’école, en 2e année secondaire ou en 1re différenciée, soit par l’intermédiaire du médecin généraliste. Elle doit être terminée de préférence avant le premier rapport sexuel. En dehors de la médecine scolaire, les jeunes de 12 à 19 ans ne paieront que le ticket modérateur (12,10 euros par dose, le remboursement étant limité à 3 injections par bénéficiaire.

La vaccination ne protège pas contre tous les types de HPV. Il faut donc continuer à réaliser des dépistages régulièrement. La recommandation pour les femmes entre 25 et 65 ans est de réaliser un dépistage tous les 3 ans.


https://www.rtbf.be/article/a-partir-de-15-ans-pres-dun-garcon-sur-trois-est-infecte-par-le-papillomavirus-humain-hpv-11241128

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Trop sexualisées, dénudées, stéréotypées : les femmes à la télé, c'est pas encore ça

20 Mars 2023, 05:23am

Publié par hugo


Trop sexualisées, dénudées, stéréotypées : les femmes à la télé, c'est pas encore ça
Publié le Mardi 14 Mars 2023
Clément Arbrun
Par Clément Arbrun Journaliste
Passionné par les sujets de société et la culture, Clément Arbrun est journaliste pour le site Terrafemina depuis 2019.

Trop sexualisées, dénudées, stéréotypées : les femmes à la télé, c'est pas encore ça
Un nouveau rapport accablant de l'Arcom tire la sonnette d'alarme : les femmes sont encore très, autrement dit TROP, sexualisées, dénudées, mais aussi stéréotypées, à la télévision, et plus précisément dans la pub. Qui est étonné ?
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Balance ton spot. Pub et féminisme ne feraient pas bon ménage, selon le dernier rapport de l'ARCOM, autrement dit l'Autorité publique de régulation de la communication audiovisuelle et numérique - la fusion entre le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) et la Haute Autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur internet (Hadopi).

L'organisation a examiné 2 310 publicités diffusées entre octobre 2021 et mai 2022, et son constat est limpide : les pubs qui se succèdent tous les jours sur notre téléviseur seraient encore bien trop sexistes. Non seulement les stéréotypes de genre ne seraient pas rares sur nos écrans, mais plus encore, les femmes seraient encore très, et surtout trop, dénudées et sexualisées... Beaucoup plus que les hommes en tout cas.


En effet, précise le rapport, il y a plus de publicités présentant "uniquement" des femmes sexualisées ou dénudées que de pubs présentant des hommes sexualisés ou dénudés : 49 % pour les unes et 24 % pour les autres. Et ce alors que la nudité à l'écran est en baisse de 2 % par rapport à 2017.

Par-delà la nudité, des pépites sexistes
Mais l'Arcom ne s'est pas contentée d'épingler ces contenus qui sexualisent. Elle s'est également penchée sur les "pépites sexistes", pour reprendre l'expression du compte Twitter (féministe) éponyme : cette banalisation des clichés garçons/filles les plus tenaces que nous propose encore la pub...


Concrètement, ça veut dire quoi ? Que la répartition femmes-hommes au sein des différentes catégories de produits est toujours porteuse de stéréotypes de genre : les publicités pour des produits associés à un univers féminin présentent beaucoup plus de personnages féminins et inversement pour les hommes. Par exemple ? Une majorité de femmes se retrouvent dans les pubs pour les produits d'entretien du corps, et une majorité d'hommes pour les jeux d'argent... Pas besoin de mater la téléréalité pour observer ces clichés.

Mais derrière ce côté pubs à papa, un soupçon d'espoir : en 2022, 48 % des sujets abordés par les chaînes d'information portaient sur les violences faites aux femmes. Pus d'un tiers présentaient même des exemples de "solutions aux discriminations faites aux femmes", et notamment des modèles de femmes "brisant les stéréotypes sexistes", se réjouit l'Arcom. Et ce alors que le nombre d'expertes en plateau (47% à la télévision) s'est de nouveau avéré être en augmentation. C'est d'ailleurs le cas chaque année depuis cinq ans.

Et si les femmes politiques sont toujours moins présentes sur un plateau que leurs collègues masculins, on observe désormais du côté des pubs plus de femmes s'adonnant à des activités scientifiques... De quoi lutter contre "l'effet Matilda" : la minimisation ou la négligence chronique du rôle des femmes dans les découvertes scientifiques. Allez, on y croit.


https://www.terrafemina.com/article/television-les-femmes-sont-encore-trop-sexualisees-denudees-et-stereotypees-a-la-tele-previent-l-arcom_a368858/1

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LA NORME GYNECOLOGIQUE

2 Octobre 2022, 22:13pm

Publié par hugo

 
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Fiche technique
Format : Broché
Nb de pages : 288 pages
Poids : 356 g
Dimensions : 14cm X 20cm
Date de parution : 16/09/2022
ISBN : 978-2-35480-253-0
EAN : 9782354802530
La norme gynécologique
ce que la médecine fait au corps des femmes
de Aurore Koechlin
chez Amsterdam
Paru le 16/09/2022 | Broché 288 pages

Public motivé

20.00 € Disponible - sous 3 à 6 jours ouvrés
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Quatrième de couverture
Une enquête ethnographique sur le suivi spécifique et régulier des femmes, qualifié de norme gynécologique, menée auprès de praticiens et de patientes. En féministe, la sociologue interroge la pathologisation du corps féminin qu'il implique. Elle retrace le vécu des femmes, ses effets, les relations médicales, l'inégale qualité des soins selon la classe et la race et les formes de résistance.
Avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis


https://www.librest.com/livres/la-norme-gynecologique--ce-que-la-medecine-fait-au-corps-des-femmes-aurore-koechlin_0-8704358_9782354802530.html

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« Tout Sexplique » : En quoi la bisexualité féminine est-elle « un puissant vecteur d’affirmation » ?

24 Septembre 2022, 04:18am

Publié par hugo

 « Tout Sexplique » : En quoi la bisexualité féminine est-elle « un puissant vecteur d’affirmation » ?
PODCAST Dans notre rendez-vous sexualité et santé « Tout Sexplique », Mathilde Ramadier, essayiste, analyse la bisexualité et la pansexualité

Anne-Laëtitia Béraud
Publié le 23/09/22 à 12h49 — Mis à jour le 23/09/22 à 13h18
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Dans notre podcast Minute Papillon !, retrouvons notre rendez-vous hebdo Tout Sexplique, qui parle de sexualité, de santé et de société. Aujourd’hui, on évoque la bisexualité, la pansexualité, avec Mathilde Ramadier. Cette autrice, journaliste, scénariste de bandes dessinées, a publié l’essai Vivre fluide, Quand les femmes s’émancipent de l’hétérosexualité, aux éditions du Faubourg (19,90 euros). Un ouvrage dans lequel elle évoque cette orientation sexuelle longtemps taboue, mais aussi les stéréotypes sur les personnes bisexuelles. Elle affirme que « vivre fluide » est « un puissant vecteur d’affirmation de soi, d’ouverture vers l’autre », et constitue « un nouvel horizon féministe ».

« La fluidité va au-delà de la sexualité »
Dans cet entretien, à écouter ci-dessus, Mathilde Ramadier revient d’abord sur les termes de bisexualité, de pansexualité, et de fluidité. Reprenant la thèse freudienne qui affirme « qu’on est toutes et tous bi psychiquement », elle revient aussi sur les limites de celle-ci.

Les personnes bisexuelles affrontent de nombreux détracteurs issus « des deux camps [hétérosexuel et homosexuel] », selon l’autrice. Parmi eux, celles et ceux qui considèrent cette orientation comme « le signe d’une indétermination tiède », ou qu’elle représente « un hiatus dans l’histoire récente de la sexualité féminine ».

Mathilde Ramadier estime par ailleurs que la bisexualité, ou la pansexualité, permet de découvrir une plus large diversité et liberté des rapports, humains comme sexuels, car « la fluidité va au-delà de la sexualité ».

Vos questions à audio@20minutes.fr
Tout Sexplique est un rendez-vous hebdomadaire d’entretiens où l’on échange sur la sexualité, la santé et la société. Si vous avez des questions sur ces thèmes, on les transmet à des professionnels de santé et des experts pour qu’ils y répondent en podcast. Comment faire ? Nous écrire un message à l’adresse : audio@20minutes.fr

Vous pouvez écouter gratuitement Minute Papillon ! et Tout Sexplique sur toutes les applications et plateformes d’écoute en ligne, comme Apple podcast, Spotify ou Podcast addict par exemple. Pour faire grandir notre communauté, n’hésitez pas à partager nos épisodes sur les réseaux sociaux, à vous abonner à notre podcast, à nous évaluer et nous laisser des commentaires sur votre appli d’écoute favorite.

PODCAST
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SOCIÉTÉ
Les personnes bisexuelles subissent plus de violences que les lesbiennes et gays, selon l’étude Virage de l'Ined
Tout SexpliquePodcastSexeSociétéMinute Papillon20 Minutes Podcast


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Elle dessine un kamasutra lesbien : Instagram la censure

10 Juillet 2022, 23:11pm

Publié par hugo

 Elle dessine un kamasutra lesbien : Instagram la censure
Publié le Vendredi 06 Décembre 2019
310Partages
Clément Arbrun
Par Clément Arbrun Journaliste
Passionné par les sujets de société et la culture, Clément Arbrun est journaliste pour le site Terrafemina depuis 2019.
Le sexe lesbien censuré par Instagram
Le sexe lesbien censuré par Instagram
On finira par le savoir, la sexualité n'a pas (toujours) droit de cité sur Instagram. Mais quelle(s) sexualité(s) au juste ? La récente censure d'un très beau dessin de l'illustratrice Agathe Sorlet nous donne un début de réponse...
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Sur Instagram, Laura Daniel dessine nos rêves confinés avec poésie
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Élégance, sensualité, tendresse : sur Instagram, le style de l'illustratrice Agathe Sorlet émerveille. D'une planche à l'autre, l'artiste saisit aussi bien les bribes de couples - et les petits chats - que la beauté des corps des femmes. C'est avec amour et délicatesse qu'elle esquisse l'intimité féminine. De quoi ravir son demi-million de followers. Oui mais voilà, il n'est pas toujours évident de dépeindre la sexualité féminine sur Instagram...

Pas toutes en tout cas. Et Agathe Sorlet l'a appris à ses dépens. Son kamasutra lesbien, mis en ligne le 4 décembre dernier, a effectivement été supprimé par Instagram. Le réseau social considère ce contenu comme "inapproprié". Étrange décision. Sur le fil de la dessinatrice, on trouve des représentations explicites de galipettes hétéros, des poitrines dénudées, des plaisirs solitaires, des cunnilingus... C'est à se demander pourquoi ce dessin-là n'est pas passé.

Une curieuse censure

Et Agathe Sorlet, elle aussi, se pose la question. "Instagram a supprimé mon dernier dessin. Si je comprends bien, le kamasutra hétérosexuel est autorisé sur Insta mais pas le kamasutra gay ?", a-t-elle demandé le temps d'une story. Pourtant, ce sont des positions similaires qui se retrouvent de l'un à l'autre. Il faut croire que le fait de réunir deux femmes nues en une image est "too much" pour la plateforme. Une aberration qui n'a pas échappé aux fans, exprimant à l'unisson leur désarroi et leur soutien - en repostant sur leur page la publication supprimée.

Si les dessins érotiques abondent sur Insta (sous la plume de Suzie Q, Petites Luxures, Darling Kink), rares sont les comptes à mettre en avant la sexualité des femmes lesbiennes, cantonnant celle-ci aux images (trop !) hétéronormées des vidéos pornographiques. Triste à savoir quand on se souvient qu'il y a peu encore, taper le mot "lesbienne" sur Google ne vous renvoyait que... vers des sites pornos (une tare des algorithmes depuis "réparée"). A ces insuffisances, la plateforme rétorque par la suppression.

Comme le souligne le Huffington Post, il arrive même qu'Instagram filtre les contenus lesbiens, gays et bisexuels en masquant ou supprimant les images réunies sous des hashtags précis (#lesbian, #gays, #lesbians, #bi). "Nous devons nous méfier de la censure des mots et images qui peuvent avoir un impact sur les jeunes, lesquels sont quotidiennement confrontés à des insultes et des brimades homophobes, biphobes et transphobes", déplore en ce sens Elly Barnes, la fondatrice d'Educate & Celebrate, une organisation dédiée à la mise en oeuvre d'un programme d'études LGBTQ.

Cette année encore, le site i-d nous mettait lui aussi en garde, interrogeant cinq illustrateurs et illustratrices sublimant les relations queer : "Cette plateforme est connue pour censurer l'iconographie féminine et trans".

 


Ce qu'approuve Cat, créatrice du compte Pussycats : "De nombreux artistes queer, y compris moi-même, ont largement recours aux réseaux sociaux pour partager leur travail et gagner leur vie. Mais Insta ne prend pas en charge les personnes queer, elle cible et censure régulièrement nos voix sous prétexte du "règlement de la communauté". A l'écouter, il faut prendre en compte le fait que ces publications peuvent tout à fait être signalées par d'autres utilisateurs, peu enclins à "liker" ce genre de posts...

Cependant, la lutte des illustratrices pour des représentations plus inclusives ne s'arrête pas. Par-delà les esquisses d'Agathe Sorlet, les instigatrices militantes de Sapphosutra se plaisent à défier la censure en esquissant les multiples positions de leur kamasutra lesbien. Aussi éducatif que transgressif.

Et qu'on le sache, il en faut bien plus pour déprimer Agathe Sorlet. "Merci encore de partager cette ridicule censure de mon Kamasutra gay ! C'est très important de changer les mentalités !", s'est ainsi réjouie l'artiste dans une autre de ses stories, emojis poing levé et arc en ciel à l'appui - une allusion au fameux "rainbow flag" des communautés LGBTQ. Espérons que ces bonnes vibrations se diffusent massivement.


https://www.terrafemina.com/article/kamasutra-lesbien-instagram-censure-un-dessin-erotique-d-agathe-sorlet_a351619/1

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Violences gynécologiques : Elisabeth Borne a saisi le Comité national d'éthique

10 Juillet 2022, 22:36pm

Publié par hugo

 Violences gynécologiques : Elisabeth Borne a saisi le Comité national d'éthique
Par Maëlys Peiteado Publié le 08/07/2022 à 13:42
Elisabeth Borne
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Une membre du gouvernement, gynécologue de profession, est accusée de viols par deux patientes lors d'examens. Ces dénonciations à l'encontre de Chrysoula Zacharopoulou relancent la question du consentement en médecine et celle des violences gynécologiques.
Les violences gynécologiques vont-elles, enfin, être prises au sérieux par les institutions françaises ? Les accusations visant la secrétaire d'État Chrysoula Zacharopoulou ont poussé Elisabeth Borne à saisir, dans un courrier daté de lundi 4 juillet 2022, le Comité consultatif national d’éthique (CCNE) sur la question du consentement dans le cadre médical.

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Le recueil du consentement est "très important"
La docteure mise en cause, spécialiste de l'endométriose, est visée par deux plaintes pour "viols" et une troisième plainte pour "violences". Les plaignantes dénoncent des faits qui se seraient déroulés lors d'examens gynécologiques.

La Première ministre regrette, dans les colonnes du Elle, que "des femmes qui ressortent d’examens médicaux en ayant souffert et avec le sentiment de ne pas avoir été respectées". Ainsi, a-t-elle admis, elle s'engage à "traiter le sujet". Elisabeth Borne rappelle qu'il est "très important, lorsqu’il y a des examens intrusifs, de prendre le temps de recueillir le consentement".

Les gynécologues réfutent le terme viol
Les accusations portées à l'encontre de la membre du gouvernement ont provoqué "l'inquiétude" du Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF) concernant "l'usage du mot viol pour qualifier des examens médicaux, notamment gynécologiques, réalisés sans la moindre intention sexuelle".

À ce sujet, la cheffe du gouvernement a assuré au magazine féminin qu'elle comprenait la défiance des praticiens : "J’entends aussi un certain nombre de médecins qui se sont exprimés pour dire qu’il fallait faire attention aux mots employés."

Vidéo du jour :

Elle distingue d'ailleurs l'affaire Zacharopoulou de celle de Damien Abad, ancien ministre évincé lors du remaniement du 4 juillet dernier et accusé de "viol" ou de "tentative de viol" par quatre femmes. Ce dernier fait également l'objet d'une enquête.

Les recommandations du CCNE sont attendues à l'automne.

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Théo Bourrieau : « La contraception masculine reste un sujet peu traité, non seulement par les médias, mais aussi par la science »

13 Juin 2022, 20:36pm

Publié par hugo

 
Média
Matrimoine
9 JUIN 2022
France \ Société
Théo Bourrieau : « La contraception masculine reste un sujet peu traité, non seulement par les médias, mais aussi par la science »
Photo de Théo Bourrieau auteur du podcast sur la contraception masculine
Théo Bourrieau, un jeune diplômé en journalisme, s’est lancé dans la conception d’un podcast sur la contraception masculine. Il a recueilli les témoignages d’une dizaine de personnes aux profils variés pour parler des attentes et des enjeux politiques de cette contraception encore trop peu développée. 

Pourquoi avoir choisi le sujet de la contraception masculine pour faire un podcast ? 

J’ai toujours été très intéressé par la cause féministe mais, étant un homme cis blanc hétérosexuel, je ne voyais pas vraiment ma légitimité dans beaucoup de débats autour de ce mouvement. Quand nous avons commencé à parler contraception avec ma copine, nous nous sommes rendu·es compte que nous n’étions pas très renseigné·es sur la contraception masculine. Toutes les options qui nous venaient naturellement en tête étaient de la contraception féminine. Nous avons donc fait quelques recherches. Là, j’ai très vite compris que je pouvais faire quelque chose de tous ces questionnements grâce à ma formation de journaliste. Ce podcast est donc parti de quelque chose de très personnel. Les recherches étaient, de base, pour mon couple. J’avais donc enfin un sujet aux enjeux féministes certains où ma voix pouvait apporter quelque chose.

Comment a été le processus de production ? 

Ce podcast est le fruit de beaucoup de recherches. Les informations étaient parfois difficiles à trouver mais j’ai beaucoup aimé me perdre dans les archives de l’INA. J’ai créé le jingle grâce à quelques pépites que j’y ai trouvées : “ Jamais. Je ne veux pas. Parce que l’homme il doit rester homme toute la vie ! ”, “ C’est certain, ça libérera la femme. Seulement, jusqu’à quel point ça la libérera ? Après, il ne faut pas que ça la libère trop non plus parce que… ” ou encore “ N’existe-t-il encore rien pour les hommes ? ”. Toutes ces citations viennent de vieilles émissions et pourtant je sens que rien n’a encore bougé, que le stigma est encore bien présent. 

Comment le podcast a-t-il été reçu ?

Jusqu’ici j’ai eu la chance de ne recevoir que des retours positifs. Cependant, en fonction des âges, on ne me dit pas du tout la même chose. De la part des quarantenaires et plus, je reçois surtout des félicitations sur l’originalité du projet. Elles/ils me disent presque tou·tes qu’elles/ils n’ont jamais entendu parler d’une contraception masculine. La plupart me disent même ne jamais y avoir vraiment pensé. Chez les plus jeunes, entre 20 et 30 ans, ce n’est clairement pas pareil. Elles/ils me disent surtout que c’est important d’en parler. La jeunesse souligne que depuis un ou deux ans, c’est un sujet présent dans leurs sphères mais qu’il y a encore beaucoup de zones d’ombre. En soi, c’est une bonne chose, mais je trouve tout de même cela inquiétant. Entre les années 80, quand on a commencé à en parler, et aujourd’hui, il n’y a pas grand chose qui a bougé. La contraception masculine reste un sujet peu traité, non seulement par les médias, mais aussi par la science. 

Propos recueillis par Eva Mordacq 50-50 Magazine

Les cinq épisodes du podcast sont à retrouver sur Soundcloud. 

Lire notre dossier : Contraception masculine, encore un effort messieurs


https://www.50-50magazine.fr/2022/06/09/theo-bourrieau-la-contraception-masculine-reste-un-sujet-peu-traite-non-seulement-par-les-medias-mais-aussi-par-la-science/

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