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Le blog de hugo,

ELSE LASKER SCHULLER, ECOUTE, poeme allemand

25 Septembre 2019, 00:04am

Publié par hugo

 ELSE LASKER SCHULLER
 
 ECOUTE
 
Pendant les   nuits je  derobe
Les  roses de  ta  bouche ,
Pour qu  aucune  femme y  trouve a  boire.
Celle qui t embrasse
Me  depouille de mes  frissons,
Que j ai peints autour de  tes menbres.
je suis ton bord de chemin
Qui  t effleure,
Bascule.
Sens tu ma vivance
Partout
Comme une lisiere  au loin ?
 

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Les applis de suivi menstruel partagent vos données perso avec Facebook (entre autres),femmes,sante

24 Septembre 2019, 23:14pm

Publié par hugo

 Le Cheek Point
Les applis de suivi menstruel partagent vos données perso avec Facebook (entre autres)
Publié le 13 septembre 2019 à 11:54
On a lu pour vous cet article de BuzzFeed News sur les applis de suivi menstruel et on vous le conseille fortement. 
 
 
DR
“Un nouveau rapport a révélé que les applications de suivi de cycle menstruel envoyaient des informations personnelles sur la santé des femmes et leurs pratiques sexuelles à Facebook. Le groupe de défense des droits britannique Privacy International a découvert que des applications comme MIA Fem et Maya communiquaient à Facebook des informations rentrées par les utilisatrices sur les moyens de contraception utilisés, les dates de leurs cycles ou encore les symptômes physiques ressentis durant les règles comme les crampes ou les ballonnements.
Les femmes utilisent ces applications pour différentes raisons, allant du suivi de leurs cycles menstruels à la maximisation de leurs chances de concevoir un enfant. Sur Google Play, Maya, détenue par Plackal Tech, basée en Inde, comptabilise plus de 5 millions de téléchargements. De son côté, MIA Fem, détenue par Mobapp Development Limited, basée à Chypre, affirme qu’elle a plus de deux millions d’utilisatrices dans le monde. […] Le partage de données avec Facebook se fait par l’intermédiaire du kit de développement logiciel du réseau social qui permet aux développeurs d’applications d’intégrer des fonctionnalités particulières et de recueillir des données personnelles d’utilisateur·rice·s pour que Facebook puisse notamment leur montrer des publicités ciblées.”
Dans cette enquête publiée sur le site BuzzFeed News, la journaliste Megha Rajagopalan s’est penchée sur le rapport de l’ONG britannique Privacy International, qui milite notamment contre la violation de la vie privée, qui révèle que les applications utilisées par les femmes pour suivre leurs cycles menstruels transmettent leurs données personnelles à Facebook sans les avoir informées au préalable.
À lire le plus rapidement possible sur le site de BuzzFeed News.

https://cheekmagazine.fr/societe/applis-suivi-menstruel-donnees-personnelles-facebook/

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Les enfants de mères lesbiennes vont très bien, merci pour eux,enfants,

24 Septembre 2019, 22:57pm

Publié par hugo

 Les enfants de mères lesbiennes vont très bien, merci pour eux

Publié le 24 septembre 2019 à 1:30

Alors que l’élargissement de l’aide à la procréation médicale à toutes les femmes fait actuellement débat en France, la PMA pour toutes est une réalité aux États-Unis depuis les années 1980. Une étude au long cours montre que cette première génération d’enfants de mères lesbiennes se porte à merveille et qu’elle est en aussi bonne santé mentale que les enfants du même âge ayant grandi dans des couples hétérosexuels.
 
 
Photo extraite du film “The Kids Are Alright”, DR
L’Assemblée nationale examine ce jour le projet de loi de bioéthique, qui comprend notamment l’extension de la procréation médicalement assistée (PMA) à toutes les femmes. Mais outre-Atlantique, cela fait plus de trente ans que les femmes célibataires et les couples de femmes lesbiennes bénéficient déjà de cette possibilité: en 1982, la féministe Barbara Raboy crée la banque de sperme de Californie (The Sperm Bank of California) pour permettre à chacune, indépendamment de son statut matrimonial et de son orientation sexuelle, de fonder une famille légalement et dans un cadre médical sûr. La psychiatre Nanette Gartrell, qui enseignait alors à la faculté de médecine de Harvard, a connaissance par le bouche-à-oreille de ce “phénomène social” et met sur pied une équipe de chercheur·se·s en 1986. Leur étude nationale longitudinale sur les familles lesbiennes (NLLFS) doit permettre de récolter des données sur les familles lesbiennes et le développement psychologique des enfants qui y naissent et y grandissent.
 
Un taux de réussite scolaire supérieur à la moyenne
33 ans plus tard, Nanette Gartrell, actuellement professeure invitée à l’université de Californie, récapitule les derniers résultats de l’étude publiés dans le prestigieux New England Journal of Medicine: “Nous suivons ces familles depuis l’insémination ou la grossesse des mères et nous constatons maintenant que leurs filles et fils âgés de 25 ans ont des résultats aussi bons en matière de santé mentale que les autres adultes du même âge.” Grâce à un questionnaire standardisé, les chercheur·se·s ont comparé le comportement adaptatif de ces jeunes adultes par rapport à un échantillon équivalent d’États-Uniens du même âge, ainsi que leurs relations sociales, leur réussite scolaire et professionnelle, et leurs éventuels problèmes émotionnels ou comportementaux: il n’y a aucune différence significative entre les deux groupes. Et comme 92 % des familles ayant pris part à l’étude à la fin des années 1980 sont encore impliquées aujourd’hui, les chercheur·se·s estiment que ces résultats sont fiables et rendent bien compte du devenir de cette première génération de familles lesbiennes.
“Ces résultats montrent que les affirmations selon lesquelles il est préjudiciable pour les enfants d’être élevés par des couples de même sexe sont totalement infondées.”
Les enfants de mères lesbiennes ont même un taux de réussite scolaire et professionnel supérieur à la moyenne nationale. “Je ne dirais pas que c’est un résultat prédictif pour toutes les familles dont les parents sont membres d’une minorité sexuelle, explique Nanette Gartrell. La première génération de mères lesbiennes était une génération très spéciale. On peut généraliser l’étude en disant que les enfants dont les parents sont très impliqués, très aimants, très attentifs à leur éducation ont d’excellents résultats.” Cette première génération s’était en effet largement préparée aux réticences de la société à son encontre en formant des groupes de parents et en faisant un travail d’information auprès de l’entourage des enfants, des pédiatres aux instituteur·rice·s.
 
La moitié des jeunes a fait l’expérience de l’homophobie
À 17 ans, la moitié des enfants suivis par les chercheur·se·s avait fait l’expérience d’une stigmatisation liée à l’orientation sexuelle de leurs mères, le plus souvent dans un cadre scolaire. Cette homophobie a été source de souffrance chez les enfants qui y ont été confrontés. Mais parmi celles et ceux qui l’ont vécue, avoir une relation étroite avec leurs mères les a protégés et a atténué ses effets négatifs. Dans un processus de résilience répondant à l’hostilité à laquelle ils ont pu faire face à différents âges, les enfants devenus adultes, soucieux de la prochaine génération, ont par la suite entamé eux aussi un processus d’éducation de leur entourage. Les entretiens avec ces jeunes montrent également que l’absence de modèle masculin n’a pas d’impact négatif sur le développement psychologique des enfants et sur la construction de caractéristiques genrées. Les chercheur·se·s notent en particulier que lors des entretiens réalisés avec les enfants lorsqu’ils avaient 17 ans, aucune maltraitance venant d’un parent n’est rapportée, alors que dans l’ensemble des États-Unis, 26 % des jeunes du même âge signalent des cas de violences physiques et 8 % des cas de violences sexuelles.
“Ces résultats montrent que les affirmations selon lesquelles il est préjudiciable pour les enfants d’être élevés par des couples de même sexe sont totalement infondées”, insiste l’une des chercheuses, Henny Bos, professeure en développement et éducation de l’enfant à l’université d’Amsterdam. Et Nanette Gartrell de s’interroger: “Les données de nos études sont accessibles partout dans le monde. Pourquoi a-t-il fallu si longtemps pour que ça ne devienne ne serait-ce que le sujet d’un débat parlementaire en France?”
Quant à la question complexe du statut du donneur de sperme, Nanette Gartrell estime que l’étude ne fournit pas de réponse définitive: “Parmi celles et ceux qui connaissent leur donneur, beaucoup sont satisfait·e·s mais certain·e·s ne le sont pas. Parmi celles et ceux qui ont un donneur anonyme, certains enfants le regrettent et pour d’autres ça n’a aucune importance. Il n’y a pas de règle.”
Adèle Cailleteau

https://cheekmagazine.fr/societe/enfants-lesbiennes-bonne-sante-mentale/

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Besançon : l’homme accusé d’avoir traîné son ex-femme agrippée au rétroviseur de sa voiture reste en détention en attendant son procès le 25 octobre,femmes,

24 Septembre 2019, 22:54pm

Publié par hugo

 Besançon : l’homme accusé d’avoir traîné son ex-femme agrippée au rétroviseur de sa voiture reste en détention en attendant son procès le 25 octobre
Le couple est en instance de divorce et l'homme, déjà condamné en 2018 pour violences sur sa femme, avait interdiction d'entrer en contact avec elle.
Audience au tribunal de grande instance de Besançon dans le Doubs (photo d'illustration). (SAMUEL COULON / MAXPPP)
avec France Bleu Besançon
franceinfo
Radio France
Mis à jour le 23/09/2019 | 20:03
publié le 23/09/2019 | 18:15
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Etats-Unis : les élus démocrates annoncent l'ouverture d'une enquête en vue d'une destitution de Donald Trump
Le conducteur de 40 ans qui devait être jugé ce lundi 23 septembre en comparution immédiate pour avoir traîné vendredi son ex-femme sur plusieurs mètres, agrippée au rétroviseur de sa voiture à Besançon, a demandé un délai pour préparer sa défense et restera en détention en attendant son procès le 25 octobre, rapporte France Bleu Besançon. Pour le parquet, "il faut éviter le risque de récidive et le risque de pressions sur la victime comme sur les témoins de la scène".
L’homme est accusé d’avoir traîné son ex-femme sur une dizaine de mètres, vers 7h45 vendredi, devant le collège Stendhal à Besançon. La victime de 38 ans tentait d’empêcher son ancien mari d’emmener leur fille de 13 ans, qu’elle-même venait de déposer au collège. Elle a été blessée au pied et au cuir chevelu. Elle s’est vu prescrire un arrêt de travail de trois jours.
L'ex-mari avait déjà été condamné pour violences conjugales en 2018
Son ex-mari avait déjà été condamné le 21 décembre 2018 pour violences conjugales, avec une interdiction d’entrer en contact avec son ex-femme. Il n'avait pas de droit de garde depuis la séparation du couple qui est en instance de divorce. La mère de famille a donc la garde de leurs deux filles de 7 et 13 ans. Elle avait de nouveau porté plainte contre lui pour "harcèlement" et "insulte" le 4 septembre dernier.
Un homme "manipulateur", selon le parquet
Le quadragénaire a été incarcéré à la maison d'arrêt de Besançon, mais la présidente du tribunal a demandé un transfert rapide dans une autre prison puisque cet homme, de nationalité kosovare, a été interprète pour le tribunal jusqu’à sa condamnation en 2018. Il a indiqué qu’il était à l’isolement à la maison d’arrêt de Besançon et qu’il connaissait des personnes dans toutes les prisons de la région. Ce mari est "dans toute la puissance, il est intelligent et manipulateur, a relevé la procureure. Pour preuve, il dit dans sa déposition que sa femme s'est jetée sur la voiture, ce qu'infirment de nombreux témoins".
A lire aussi

https://www.francetvinfo.fr/societe/violences-faites-aux-femmes/besancon-lhomme-accuse-davoir-traine-son-ex-femme-agrippee-au-retroviseur-de-sa-voiture-reste-en-detention-en-attendant-son-proces-le-25-octobre_3628845.html

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Doubs : un homme bientôt jugé pour avoir traîné son ex-femme qui s'était agrippée au rétroviseur de sa voiture,femmes,violences,

24 Septembre 2019, 22:53pm

Publié par hugo

 Doubs : un homme bientôt jugé pour avoir traîné son ex-femme qui s'était agrippée au rétroviseur de sa voiture
Cet homme, qui n'avait plus le droit de garde, tentait de fuir avec son enfant. Pour s'y opposer, son ex-compagne s'est accrochée au rétroviseur de la voiture.
Besançon (Doubs) (GOOGLE MAPS)
France Bleu Besançon
franceinfo
Radio France
Mis à jour le 22/09/2019 | 11:46
publié le 22/09/2019 | 11:46
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Etats-Unis : les élus démocrates annoncent l'ouverture d'une enquête en vue d'une destitution de Donald Trump
Un homme de 40 ans doit être jugé lundi 23 septembre en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Besançon pour avoir traîné son ex-femme sur quelques mètres, au volant de sa voiture, rapporte France Bleu Besançon.
Les faits se sont déroulés vendredi 20 septembre vers 7h45, devant le collège Stendhal à Besançon. L'homme a obligé sa fille, qui venait d'être déposée par sa mère à l'école, à monter dans sa voiture. La femme de 38 ans a alors tenté de stopper son ex-mari qui partait avec leur fille. Elle s'est accrochée au rétroviseur de la voiture et a été traînée sur une dizaine de mètres sur la chaussée.
Une précédente condamnation il y a deux mois
D'après les premiers éléments de l'enquête, l'homme ne l'a pas vue quand il a avancé avec son véhicule. Il a été interpellé et placé en garde à vue vendredi. La femme s'est vu délivrer une ITT de trois jours pour des brûlures au niveau du pied et du cuir chevelu. Son ex-mari avait déjà été condamné en juillet dernier pour violences conjugales sur son ex-femme. Il n'avait pas de droit de garde depuis la séparation du couple.
A lire aussi

https://www.francetvinfo.fr/societe/violences-faites-aux-femmes/doubs-un-homme-bientot-juge-pour-avoir-traine-son-ex-femme-qui-s-etait-agrippee-au-retroviseur-de-sa-voiture_3627241.html

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Tarn-et-Garonne : une femme meurt à l’hôpital de Montauban après avoir reçu plusieurs coups de couteau, son mari interpellé,femmes,violences,

24 Septembre 2019, 20:00pm

Publié par hugo

 
Tarn-et-Garonne : une femme meurt à l’hôpital de Montauban après avoir reçu plusieurs coups de couteau, son mari interpellé
L'homme a été placé en garde à vue.
 Montauban (Tarn-et-Garonne) (GOOGLE MAPS)
franceinfo
Radio France
Mis à jour le 20/09/2019 | 10:55
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Etats-Unis : les élus démocrates annoncent l'ouverture d'une enquête en vue d'une destitution de Donald Trump
Une femme de 39 ans est morte à l’hôpital de Montauban, dans le Tarn-et-Garonne, après avoir été poignardée, a appris franceinfo de source policière vendredi 20 septembre. Cette femme a été déposée à l’hôpital par sa famille vers 3 heures du matin, où elle est morte peu de temps après. Elle avait plusieurs traces de coups de couteau dans le dos, l’abdomen et l’avant-bras. Son mari a été interpellé.
Des traces de sang dans la caravane qu'elle partageait avec son mari
La Brigade de sûreté urbaine de Montauban s’est rendue dans un camp de gens du voyage sédentarisé à Montauban où elle vivait. Des traces de sang ont été retrouvées à l’intérieur et à l’extérieur de la caravane où elle habitait avec son mari. L’homme a pris la fuite au moment de l’arrivée des policiers pour se rendre à l’hôpital où il a été interpellé. Il a été placé en garde à vue.
A lire aussi

https://www.francetvinfo.fr/societe/violences-faites-aux-femmes/tarn-et-garonne-une-femme-meurt-a-lhopital-de-montauban-apres-avoir-recu-plusieurs-coups-de-couteau-son-mari-interpelle_3624593.html
 

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"Cela n’aurait servi à rien" : 78% des victimes ne se signalent pas aux autorités, selon une enquête sur les violences sexuelles,femmes,violences

24 Septembre 2019, 19:57pm

Publié par hugo

Cela n’aurait servi à rien" : 78% des victimes ne se signalent pas aux autorités, selon une enquête sur les violences sexuelles
L'enquête révèle par ailleurs que 43% des victimes estiment que "ce n'était pas assez grave".
Un message écrit sur un mur dédié à la mémoire des femmes tuées par leur conjoint ou ex-conjoint, le 6 septembre 2019 à Paris. (LIONEL BONAVENTURE / AFP)
franceinfo
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publié le 19/09/2019 | 12:40
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DIRECT. Regardez le discours d'Emmanuel Macron à l'assemblée générale de l'ONU
78% des victimes de violences sexuelles ne se sont pas déplacées pour le signaler à la police ou à la gendarmerie, car pour une grande majorité (72%), "cela n’aurait servi à rien", indique une enquête "Cadre de vie et sécurité" de l'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales, que franceinfo a pu se procurer jeudi 19 septembre. En moyenne, chaque année, 235 000 personnes âgées entre 18 et 76 ans ont été victimes de violences sexuelles entre 2011 et 2017.
Parmi les autres raisons évoquées pour justifier ce non-signalement, 69% "préfèrent trouver une autre solution". Dans un peu plus de la moitié des cas (56%), les victimes veulent s’éviter des "épreuves supplémentaires", 44% veulent éviter que "ça se sache", 43% estiment que "ce n’était pas assez grave" et 35% n'ont rien dit "par peur de représailles, d’une vengeance".
Une peur des représailles en cas de signalement
Les raisons diffèrent selon le lien avec l’agresseur. Lorsque la victime et l’agresseur vivaient ensemble, le principal motif évoqué pour ne pas s’être déplacé devant les autorités compétentes est d’avoir "préféré une autre solution" (76%). A l’inverse, les victimes qui ne connaissent pas leur agresseur disent moins souvent avoir préféré une autre solution, ou vouloir éviter que cela se sache ou avoir peur des représailles.
Enfin, parmi les victimes de violences sexuelles, celles ayant subi un viol ressentent davantage de peur à aller déclarer les faits subis aux autorités que les autres. Près de la moitié d’entre elles ne sont pas allée signaler leur agression par peur de représailles (49% contre 30% pour les victimes de violences sexuelles d’autre nature). Elles sont également plus nombreuses à ne pas s’être déplacées pour éviter que l’affaire se sache (53% contre 40% pour les autres victimes d’agressions sexuelles) et pour éviter des épreuves supplémentaires (65% contre 54%).
A lire aussi

https://www.francetvinfo.fr/societe/harcelement-sexuel/cela-naurait-servi-a-rien-78-des-victimes-ne-se-signalent-pas-aux-autorites-selon-une-enquete-sur-les-violences-sexuelles_3623139.html

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ADELBERT VON CHAMISSO,POEME,

24 Septembre 2019, 19:56pm

Publié par hugo

ADELBERT VON CHAMISSO
 
QUE  DIRE  ?
 
Mes  yeux son ternes , mes levres son muettes,
Tu  me dis  de parler , et qu il en soit  ainsi.
Tes yeux sont  clairs, et tes  levres sont  rouges,
Et ton moindre  desir est  un commandement.
Mes cheveux sont gris , mon coeur est blesse,
Et  toi , tu es si  jeune en  si bonne sante.
Tu  me dis  de parler , et   tu me rend cela  si difficile ,
 voila , je te regarde, et tremble tellement.
 
 

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CATHERINE POEME DE HEINRICH HEINE ,poesie

24 Septembre 2019, 01:35am

Publié par hugo

CATHERINE  POEME  DE  HEINRICH  HEINE 
 
UNE  BELLE ETOILE   s eleve dans la  nuit
Une etoile souriante qui me console
ET  me promet une  vie  nouvelle -
JE   t  en  supplie , ne me  ment pas !
Tout comme la mer qui se  tend vers la lune ,
Les  flots joyeux et  dechaines de mon ame
Tendent vers ta  douce lumiere -
Je  t en supplie , ne me ment pas !
      II
<< NE Desirez  vous point  etre presente , <<
ME glissa la  duchesse. -
<< Non , non de grace ,je n ai  rien d un hero ,
deja sa  simple vue  m egare la  raison. <<
Cette  femme si belle me  fait trembler !
Je le pressens , a  ses  cotes
Commence pour moi une   vie  nouvelle ,
Plaisir nouveau et  nouvelle douleur.
Quelque chose m en eloigne qui ressemble a la peur ,
Le  front serein. Y couve pourtant l orage
Et  les eclairs  futurs , la   futur tempete
Dont les secousses m ebranleront
Au plus  profond de moi
La  bouche est sage .Mais sous les   roses
Je   vois deja avec  effroi
Les   serpents qui un jour me  feront  blessure
D un baiser  perfide et  dun mepris  suave.
Le  desir me pousse -IL  faut que je m approche
De ce  lieu a la  fois si  charmant et fatal -
Deja j entend sa  voix -
Ses mots : des  flammes qui resonnent.
Elle me  demande << Monsieur , dites moi donc le  nom
De la chanteuse qui chantait a l instant ? <<
Je n ai   rien entendu de  ce chant.<<
                 III
Tout comme le sage et vaniteux Merlin
JE   suis  un pauvre necromant
Pris au bout du compte au piege
De mes propres  envoutement.
Pris  au piege et  a  ses  pieds
Me  voila , Et pour  toujours
Je plonge mon regard dans  ses yeux ;
Et les heures passent.
Heures, journee, semaines  entieres ,
Passent comme passerait un reve
Je  ne sais guere ce  que je dis ,
Ni ne sait de  quoi elle parle.
 IL   me semble parfois sentir
Ses levres effleurer les  miennes -
jusqu au  trefond de  mon ame
 J en sens alors me  bruler les  flammes.
                 IV
Tu  aimes tant  etre dans mes bras ,
Tu aimes tant  etre sur mon coeur !
JE suis tout  ton firmament,
Tu es ma plus chere etoile.
Tres loin, en dessous de nous
Fourmille le  genre humain,
Une sotte engeance qui  crie, tempete, se  fache,
Et tous ils ont  raison.
ILS  agitent les grelots  de leur  bonnet  fou ,
SE CHamaillent sans  raison ;
Et s enfoncent dans le crane
Leur sceptre de  bouffon.
comme nous sommes heureux tous les deux
D etre blottis dans le ciel,
O ma plus chere etoile.
      v
Que j aime ce  corps laiteux,
Le svelte ecrin d une ame tendre,
Ces yeux sauvages et grands et  ce  font
Caresser de vagues de  boucles  noires !
Tu  es bien de  cette espece
Que j ai cherchee  sous tous les cieux.
Ma valeur aussi , les femmes de ton rang
Ont , comme il se doit , su la reconnaitre.
En moi tu as  su  trouver  l homme
Qu il te  fallait .Par tes caresses et tes  baissers
Tu sauras me combler de bonheur,
Puis  me trahir , comme de   coutume .
            VI
Aux portes de la ville le printemps
Semblait deja m attendre .
La contree tout  entiere
Est en  fleur comme un jardin joli.
A mon cote ma bien aimee
Dans  la caleche rapide
Me  regarde tendrement
Je  sens battre mon coeur
ET  ca  gazouille ,et ca embaume, et ca  rit au soleil !
Ca scintille revetu de  sa verte livree !
L  arbriseau incline sa  petite  tete ,
De  fleurs blanches joyeusement pare.
LES  fleurs pointent leur nez de  leur  couche de  terre
Et observent , curieuses ,
La belle femme que j ai  choisie ,
Et  votre serviteur , et sa bonne fortune.
Ah bonheur ephemere ! Demain deja
La faux sifflera a travers les  semis ,
LE  printemps si gracieux sera fletri
Et la  femme m aura  trahi.
         VII
Juste hier je fis ce  reve :
J y allais me promenant au royaume des cieux ,
J y  etait avec  toi - car sans  toi
Le  ciel me  serait un enfer .
J y croisais les  elus ,
Les justes et  les pieux ,
Qui sur terre mortiferent
Leur corps pour  sauver leur  ame :
Des peres  de  l eglise et des apotres,
Des ermites , des  capucins ,
De vieilles chouettes , des jeunes aussi
ET  les jeunes etaient pires !
De  tres saints visages moroses
Des  cranes chauves , des barbes grises ,
(parmis eux  des  juifs  aussi )
Nous  croissaient  d un air  severe ,
Sans  t accorder le moindre regard
Quand bien meme , ma toute  jolie ,
Tu allais a mon bras , caline ,
Calinante , souriante , et faisant ta coquette!

Un seul d entre eux te regarda,
Et  c etait le seul bel homme ,
Un  seul bel homme dans  ce  cortege ,
Merveilleuse etait sa face .
Bonte humaine dans le  sourire
Calme divin dans le regard,
Comme naguere sur madeleine
IL porta ses  yeux  sur toi .

Honni soit  qui mal y pense !
Nul n est aussi  noble et pur -
ET pourtant je fus saisi
Par  une  jalousie -
ET j avoue que j ai trouve
Le ciel bien inconfortable -
Dieu me pardonne , j etait gene
PAR  JESUS  DE NAZARETH.
           VIII
Tout un chacun a  emmene
A  cetet fete sa bien aimee
Se rejouit de cette  nuit fleurie
Et moi tout seul me manque le meilleur .
Je vais tout seul  comme un malade !
Je  fuis les plaisirs , je fuis la danse ,
La   belle musique et l eclat des lumieres ; ----
Mes pensees  sont  en angleterre .
Je  cueille des roses et des  oeillets,
L esprit distrait , le coeur  chagrin ,
Sans savoir a  qui les donner ;  --
Mon coeur se  fletrit , les  fleurs se fanent .
            IX
J avais perdu mon chant , j avais perdu mon souffle
pendant longtemps - Me  revoila poete !
Tout  comme les  larmes nous viennent subitement ,
Les chants aussi  reviennent sans prevenir .
Voici que  de nouveau mes plaintes sonr melodieuses ,
JE  chante les grandes amours et les amours et les souffrances plus  grandes
De coeurs qui ne s entendent guere
Et se brisent quand la vie les   separe.
IL me semble parfois sentir bruiser les chenes
Au dessus de ma tete , les  chenes d allemagne -
Leur murmures me promet meme des retrouvaillent -
Ce ne sont que des reves - Ils  s effacent .
IL me semble parfois entendre les rossignols,
Ces  rossignols d  antan du pays  allemand -
Combien  leur chant m enlace tendrement !-
Ce ne sont que  des reves-evanescents.
OU sont les roses dont l amour jadis
Me  rendit si heureux ? -Depuis longtemps leur floraison
Est fanee- Seul le  triste fantome
De leur parfum me hante encore.

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Les "Millenials" découvrent la poésie grâce aux réseaux sociaux,poesie

24 Septembre 2019, 01:33am

Publié par hugo

Les "Millenials" découvrent la poésie grâce aux réseaux sociaux
 

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Les réseaux sociaux ravivent la flamme des Britanniques pour la poésie - © Tous droits réservés
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Décès de Samba Diabaré Samb, "Trésor humain vivant" du Sénégal
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Marion Jaumotte et AFP
 Publié le lundi 23 septembre 2019 à 18h33

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Qui l’aurait cru ? Les réseaux sociaux sont en train de donner un second souffle à la poésie… Les millenials sont de plus en plus nombreux à suivre des comptes proposant des poèmes et ça se ressent dans la vente de recueils de poésie.
L’an dernier, au Royaume-Uni, 1,3 million de recueils de poésie ont été vendus, cela équivaut à une hausse de 12% sur un an, selon Nielsen BookScan, qui fournit des données sur le secteur de l’édition. Deux tiers des acheteurs étaient âgés de moins de 34 ans. Les "millennials" (personnes nées entre 1980 et 2000) sont en effet de plus en plus nombreux à (re) découvrir la poésie.
Grâce aux réseaux sociaux, c’est toute une nouvelle génération qui se prend de passion pour la poésie, un art redécouvert grâce aux réseaux sociaux. Danique Bailey, une jeune Londonienne de 18 ans publie de la poésie sur Instagram. "Je le fais pour m’amuser mais, qui sait, je pourrais peut-être en vivre plus tard". L’an dernier, cette adolescente a été récompensée lors d’un concours international, le "Foyle Young Poets of the Year Awards", qui a distingué cent jeunes de 11 à 17 ans parmi quelque 6000 candidats de 83 pays. Elle s’était fait remarquer pour un texte évoquant avec espièglerie la prononciation de la "banane plantain". "Beaucoup plus de gens, y compris moi, se sont intéressés à la poésie avec les réseaux sociaux", affirme à l’AFP la jeune fille qui y voit une façon "amusante" de s’exprimer "dans un volume limité".
Pour Judith Palmer, directrice de l’association Poetry Society qui promeut cet art, "les gens se tournent vers la poésie car elle soulève des questions existentielles dans une époque d’incertitudes". Mais la forme compte tout autant : "Il y a bien sûr de longs poèmes, mais surtout des poèmes courts, très faciles à lire sur un téléphone et à partager sur les réseaux sociaux". Selon Judith Palmer, la force des "Instapoètes" est de faire prendre conscience aux adolescents que "les poèmes ne sont pas tous écrits par des hommes blancs morts il y a deux siècles".
Parmi les stars de ce réseau social, on retrouve la Canadienne d’origine Indienne, Rupi Kaur. A 26 ans, ses poèmes postés sur Instagram sont lus par près de 3,7 millions d’abonnés. Nous vous avons déjà présenté son travail dans un précédant article. Son recueil, "Milk and Honey" ("Lait et Miel"), mêlant poésie, prose et illustrations, s’est arraché au Royaume-Uni, tirant les ventes globales de poésie vers le haut.
La poésie est partout, pas uniquement sur Instagram
Il n’y a pas que sur Instagram que la poésie connaît un regain d’intérêt. Les aficionados partagent des enregistrements audio ou vidéos sur Twitter ou Youtube et "nombreux sont ceux qui se font des playlists de poèmes à écouter sur leurs téléphones ou leurs tablettes", explique Judith Palmer, directrice de l’association Poetry Society.
Surfant sur le phénomène, la Bibliothèque nationale de poésie à Londres a organisé l’an dernier une exposition consacrée aux poèmes sur Instagram, une première. "Nous avons été submergés de candidatures" de poètes soumettant leurs œuvres, se souvient Chris McCabe, documentaliste qui a été surpris par leur créativité : poèmes à tonalité politique ou inspirés par la nature, écrits avec des lettres magnétiques ou à la machine à écrire, accompagnés de photos, de vidéos ou encore d’illustrations.
Par rapport à la poésie traditionnelle, "le langage sur Instagram est souvent plus simple et beaucoup plus visuel", décrit-il. "Ce qui est totalement nouveau, c’est la façon dont le poète interagit avec ses lecteurs".
L’auteure Nikita Gill, 32 ans, très populaire sur Instagram, apprécie cette interaction avec ses 547.000 abonnés : "La plupart du temps, je partage quelques lignes et ça a immédiatement un impact", témoigne-t-elle auprès de l’AFP. Pour cette Britanno-Indienne auteure de "Great Goddesses" (Grandes Déesses), un recueil de poésie et de prose revisitant mythes et légendes, cette nouvelle façon de communiquer a "en quelque sorte balayé l’idée qu’on ne peut lire de la poésie que si l’on est diplômé de littérature".
Qu’ils adoptent la forme très codifiée du haïku (bref poème né au Japon) ou livrent leurs émotions dans de longs textes, les "Instapoètes" ont une chose en commun, selon Nikita Gill : "nous ajoutons tous notre touche personnelle à ce que nous partageons". La jeune femme accompagne ses textes d’illustrations qu’elle réalise elle-même, tout comme Raupi Kaur. "Partager quelque chose de très personnel touche vraiment les gens", ajoute-t-elle, encourageant les poètes en herbe à "ne pas avoir peur" et à se lancer.

https://www.rtbf.be/culture/article/detail_les-reseaux-sociaux-ravivent-la-flamme-des-britanniques-pour-la-poesie?id=10321848

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