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Le blog de hugo,

Hymne des femmes (L'),femmes,feminisme,

8 Août 2017, 02:28am

Publié par hugo

Antifascisme Révoltes ouvrières Femmes Luttes actuelles


Hymne des femmes (L')

Nous qui sommes sans passé, les femmes
Nous qui n'avons pas d'histoire
Depuis la nuit des temps, les femmes
Nous sommes le continent noir.

Refrain :
Levons-nous femmes esclaves
Et brisons nos entraves
Debout, debout, debout !

Asservies, humiliées, les femmes
Achetées, vendues, violées
Dans toutes les maisons, les femmes
Hors du monde reléguées.

Seules dans notre malheur, les femmes
L'une de l'autre ignorée
Ils nous ont divisées, les femmes
Et de nos soeurs séparées.

Le temps de la colère, les femmes
Notre temps, est arrivé
Connaissons notre force, les femmes
Découvrons-nous des milliers !

Reconnaissons-nous, les femmes
Parlons-nous, regardons-nous,
Ensemble, on nous opprime, les femmes
Ensemble, Révoltons-nous !

Dernier refrain :
Levons-nous femmes esclaves
Et jouissons sans entraves
Debout, debout, debout !

 

http://www.alternatifs.org/76/chorale/hymne.php

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Ces hommes qui s'engagent dans le combat ,féministe,femmes,

8 Août 2017, 02:08am

Publié par hugo

 Hors-Série “Génération Féministe” / En kiosque
Ces hommes qui s'engagent dans le combat féministe
Publié le 7 août 2017 à 6:03
De la campagne HeForShe pour l’égalité des sexes de l’ONU aux associations militantes, nombreuses sont les initiatives qui tendent à inclure les hommes dans le combat féministe.
Campagne HeForShe avec Ruben Alves, DR

Campagne HeForShe avec Ruben Alves, DR

Souvenez-vous. Nous sommes en novembre 2015, Justin Trudeau présente le nouveau gouvernement canadien. Parmi ses membres, des représentants de toutes les religions du pays, des handicapés, et autant de femmes que d’hommes: on n’avait encore jamais vu autant d’inclusion à la tête d’un pays. Une journaliste l’interroge: “Pourquoi c’est important, pour vous, la parité au gouvernement?” Et le nouveau Premier ministre canadien de répondre, en haussant les épaules: “Parce qu’on est en 2015 ?!” La séquence a fait le tour des réseaux sociaux. Après lui, c’est Barack Obama qui s’est fendu d’une véritable profession de foi féministe.

Côté culture, on a vu l’acteur de Friends, David Schwimmer, produire une série de vidéos contre le harcèlement sexuel, ou, plus proches de nous, les dessinateurs Joann Sfar et Riad Sattouf s’insurger publiquement, en 2016, contre l’absence d’auteures de BD dans la sélection officielle du Festival d’Angoulême. Depuis quelque temps, les hommes s’engagent de plus en plus souvent en faveur des femmes, et certains se revendiquent même ouvertement féministes.

 
Ne pas reproduire le sexisme

L’idée n’est pourtant pas toujours allée de soi, comme l’explique le sociologue Alban Jacquemart: “S’ils étaient environ un tiers des effectifs militants à la fin du XIXème siècle, les hommes sont largement minoritaires depuis les années 70. Les femmes ont gagné en autonomie et les hommes ne leur paraissent plus comme des militants ‘nécessaires’. Au contraire, les militantes sont devenues attentives à ce que le sexisme ne se reproduise pas au sein de leurs collectifs, participant ainsi à les rendre moins attractifs pour les hommes.”

Réjane Sénac, chercheuse CNRS au Centre de recherches politiques de Sciences Po et présidente de la commission parité du Haut Conseil à l’Egalité entre les femmes et les hommes, va plus loin: “Si le fait de subir des discriminations -en raison de son sexe, de son orientation sexuelle, de sa couleur de peau ou de son handicap- rend leur dénonciation plus probable et plus rationnelle, cela n’a cependant rien d’automatique.” Le risque, continue-t-elle, c’est que les populations dominant.e.s confisquent la parole des premier.e.s concerné.e.s. Et c’est précisément pour l’éviter que les féministes des années 70 se sont d’abord organisées en non-mixité. Mais, ajoute la chercheuse, “on peut dénoncer et combattre les inégalités sans nécessairement les subir. Ce qu’il faut, c’est être très vigilant.e.s à ne pas reproduire de la domination au sein même des luttes pour l’égalité.”

 
Passeurs de relais

Dont acte: l’association #JamaisSansElles a été fondée par sept chefs d’entreprises -hommes, donc-, parmi lesquels on trouve Benoît Thieulin, fondateur de La Netscouade, ou Jean-Michel Blanquer, l’actuel ministre de l’Éducation nationale. Dans un autre genre, Lucas Bolivar, l’initiateur d’une autre association, Ville sans relou, admet que s’il n’est pas “une personne concernée directement”, il peut toutefois “être un auxiliaire, un passeur de relais. Je dois pouvoir m’effacer pour laisser la parole aux premières concernées par le sexisme. Je dois prendre conscience de mes privilèges, et je dois être prêt à comprendre que je ne suis pas le bienvenu à certains endroits, notamment lors de réunions non mixtes”.

Dans tous les cas, ces hommes engagés ne le sont jamais par hasard. Pour Alban Jacquemart, leur implication est même le résultat de “la combinaison de deux principaux facteurs: d’une part, le fait d’avoir été sensibilisé à la cause des femmes dans son enfance ou sa jeunesse, et d’autre part, les engagements féministes des hommes font quasi systématiquement suite à d’autres engagements militants”. Soit exactement le parcours de François Fatoux, seul garçon dans une famille de quatre enfants, et doté d’une expérience de quinze ans dans le monde syndical.

Pour cet ancien membre du Haut Conseil à l’Egalité entre les femmes et les hommes, il est important que des hommes s’engagent pour l’avancée de l’égalité: “Il existe encore une force de résistance, mais l’on peut justement transformer ces hommes en ambassadeurs de la cause. Si on vient leur dire que le féminisme est une nécessité tactique, si on parvient à leur montrer qu’ils peuvent y gagner, alors on se rapprochera de l’égalité. Et puis, ajoute-t-il, cela permettra aussi de mettre en débat l’injonction à la virilité.”

 
Une éducation à repenser

Le féminisme est donc utile à tous. Mais pour inclure toujours plus d’hommes dans la lutte, il faut parvenir à éduquer la population dans son ensemble, à la sensibiliser à la question. Pour Anne-Cécile Mailfert, à la tête de la Fondation des femmes, les hommes politiques ont justement une responsabilité énorme: “Leur parole est imitée par beaucoup de gens, elle a un poids pour faire évoluer l’opinion publique, c’est très symbolique. Quand un.e président.e se dit féministe, cela montre qu’il s’agit d’un combat pour les droits humains. Et que c’est normal d’être féministe quand on est un minimum progressiste.” Encore faut-il, admet-elle, que le discours soit suivi par les actes, notamment dans la constitution des gouvernements.

Outre l’espace public, il existe aussi d’autres lieux de socialisation où travailler pour lutter contre les clichés de la division des sexes, à l’instar de l’école. Pour Anne-Cécile Mailfert, “ce qui est très important, c’est la mixité, notamment dans les jeux. Cela permet de réaliser que l’autre est un.e camarade de jeu, un.e égal.e”. Une idée partagée par Rokhaya Diallo, journaliste et auteure féministe, qui estime que l’Éducation nationale a un rôle à jouer dans la réduction des inégalités: “Il faut travailler sur la vision de la femme dans les manuels scolaires, assure-t-elle. Ouvrir aux enfants le champ des possibles, afin de permettre qu’ils ne participent pas d’eux-mêmes à l’assignation qui est celle des hommes et des femmes une fois adultes.” Comprenez: faire des petits garçons et des petites filles citoyens de demain, des porteurs de l’idéal égalitaire qui anime le courant féministe.

Manon Michel et Mathilde Saliou

Cet article a été initialement publié dans le hors-série Génération Féministe des Inrocks et de Cheek Magazine, en kiosque depuis le 27 juillet.


http://cheekmagazine.fr/societe/hommes-feminisme/

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Place de la Nation, à Paris, le 28 avril 2016, lors d'une journée d'action contre le projet de réforme du code du travail (Courtesy Valérie Dubois) Actualité Photographes engagés, ils illustrent l’état d’urgence sociale de la France,france,violence,

8 Août 2017, 01:08am

Publié par hugo

  

     Place de la Nation, à Paris, le 28 avril 2016, lors d'une journée d'action contre le projet de réforme du code du travail (Courtesy Valérie Dubois)
Actualité
Photographes engagés, ils illustrent l’état d’urgence sociale de la France
Le dimanche 6 août 2017
 Manifestations contre la loi Travail, cortèges de tête, ZAD de Notre-Dame-des-Landes, réfugiés en exil perpétuel, mineurs isolés… Un collectif de photographes publie une revue qui fait le point sur l’ « état d’urgence » sociale de la France. Ils commentent pour nous certains de leurs clichés durant les grandes mobilisations de l’année 2016.
 
“Dans l’émeute, il y a production et affirmation d’amitiés, configuration franche du monde, possibilités d’agir nettes, moyens à portée de main”, écrit le Comité invisible dans son dernier livre, Maintenant. Les six photographes qui ont mis en commun leur travail dans la revue Etats d’urgence (éd. Libertalia) sont peut-être loins de partager toutes les opinions de ce club révolutionnaire anonyme, mais c’est bien dans le tumulte des cortèges de tête du printemps 2016 que leur amitié s’est affirmée.

Pour la plupart, Yann Levy, Vincent Palmier, Valentina Camu, Julien Pitinome, Valérie Dubois et Nnoman ne se connaissaient alors pas encore. Mais après des mois d’immersion entre rangées de CRS et manifestants, à essuyer les tirs croisés et à traverser les nuages de gaz lacrymogène pour documenter le mouvement, une solidarité s’est créée entre eux.

    “On faisant un travail de documentation sociale de manière plus ou moins isolée, mais cette activité nous liait a priori, explique Yann Levy, qui a coordonné la revue. Le métier de photographe est assez individuel en temps normal, mais la violence des manifestations et la récurrence des événements nous ont amené à nous croiser, à nous connaître, et parfois à nous protéger mutuellement. Une dynamique collective s’est créée d’elle-même.”

“Nous pointons des dysfonctionnements, avec l’espoir qu’ils soient médiatisés”

Résultat : ils publient à froid cet ouvrage collectif, fruit de leurs travaux respectifs dans le mouvement social contre la loi Travail, auprès des zadistes de Notre-Dame-des-Landes, des réfugiés ou encore des mineurs isolés. “On voulait parler des états d’urgence sociale en France, en sortant du cadre contraignant de la breaking news”, résume Valentina Camu.

A la manière de La Misère du monde de Bourdieu – qui misait déjà sur “l’intellectuel collectif” – Etats d’urgence prend le pouls d’un pays qui s’est subrepticement remis à construire des barricades. “C’est de la photographie sociale au sens historique du terme, proche des sujets photographiés, détaille Yann Levy. Ça ne veut pas dire photographie de propagande : nous pointons des dysfonctionnements et des problématiques sociétales, avec l’espoir qu’ils soient médiatisés.” Illustration par quelques clichés, commentés par leurs auteurs.
Le 31 mars 2016, manifestation contre la loi El Khomri (Photo : Yann Levy)

Yann Levy – Cette photo a été prise le 31 mars 2016, juste avant Nuit debout. La mobilisation avait déjà dépassé le cadre syndical, et le “cortège de tête” avait déjà émergé, à côté des drapeaux syndicaux. Cette manifestation était intéressante parce que malgré les trombes d’eau, il y avait énormément de monde. Elle était aussi révélatrice d’un climat qui allait perdurer : le cordon de CRS qui encadrait la tête de manifestation a fait tout l’itinéraire Place d’Italie – Nation à reculons. C’était une situation hallucinante. Il pleuvait des cordes, mon téléphone m’a même lâché, mais malgré tout, Nuit debout a bien commencé ce soir-là. On peut s’interroger sur la surdité du gouvernement par rapport à cette journée. Malgré la mobilisation, il a dit “non, on ne recule pas”, quitte à utiliser le 49-3. C’était symbolique.
L’esplanade des Invalides, à Paris, le 14 Juin 2016, lors d’une manifestation contre la loi El Khomri (Photo : Valentina Camu)

Valentina Camu – Cette manifestation du 14 juin était l’une des plus violentes auxquelles j’ai assisté. J’ai remarqué que souvent, il est difficile de prendre les “K-way” en photo quand il ne se passe pas grand-chose, mais quand on passe à l’action, l’adrénaline fait qu’ils ne nous remarquent pratiquement plus. Il y avait un camion juste devant, et ce groupe de black bloc avançait pour faire des barricades, avec des containers.

Yann Levy – Le black bloc n’est pas homogène, c’est une somme d’individus qui ont des rapports différents aux photos. Le danger pour nous, ce sont surtout les policiers qui se déguisent en photographes ou en journalistes pour ficher les manifestants. Ça créé de la confusion en plus, à un moment où il y en a déjà pas mal.
Place de la Nation, à Paris, le 28 avril 2016, nouvelle journée d’action contre le projet de réforme du code du travail (Photo : Valérie Dubois)

Valérie Dubois – C’était à Nation, je leur ai demandé si je pouvais les prendre en photo. Avant, il y avait toujours une désolidarisation entre les manifestants et les groupes un peu plus violents. Mais cette fois-ci, j’ai presque tout le temps observé une espèce de solidarité entre les manifestants lambda et les “K-way”. Sur une autre photo, on voit par exemple un couple de personnes âgées assis sur un banc, qui ont une pancarte qui dit : “Tenez bon”.

Yann Levy – La radicalisation de la rue n’est pas spontanée. Elle témoigne d’une réorganisation en dehors des partis et des syndicats, en raison du discrédit de la parole politique. Le fait que la mobilisation n’ait pas été écoutée et que le mandat socialiste ait été perçu comme une trahison participe à la recomposition du paysage politique. Nuit debout était un écho à cela, une réponse à ce fossé entre le besoin de démocratie et l’absence de réponse démocratique de la part de nos structures institutionnelles.
Des réfugiés arrivent à la caserne abandonnée pour l’occupation, ils sont applaudis par des soutiens, le 11 juin 2015 à Paris (Photo : Valentina Camu)

Valentina Camu – J’ai commencé à suivre les réfugiés lors de l’expulsion du camp de La Chapelle. Je les ai suivis pendant trois mois en tout, dans les différents lieux d’occupation qu’ils trouvaient. Une relation de confiance s’est créée entre eux, les soutiens et moi. J’ai pris cette photo à la caserne des pompiers de Château-Landon. Les migrants arrivaient. Dehors, il y a des soutiens qui applaudissent, c’est le début de l’occupation du lieu. Plus tard ils seront expulsés par les forces de l’ordre et iront à la Halle Pajol, puis au lycée Jean-Quarré. Pour après être finalement dispatchés.
A Notre-Dame-des-Landes lors de la construction d’un lieu de vie, les 25 et 26 juin 2016 (Photo : Yann Levy)

Yann Levy – La série que j’ai réalisée sur Notre-Dame-des-Landes est partie d’un constat : les médias ne s’y intéressent généralement que quand il y a des manifestations ou des affrontements à Nantes, de manière ponctuelle. Rares sont ceux qui ont pris le temps de savoir ce qui se passe vraiment là-bas. Or la ZAD dépasse largement le cadre de la “cagoule”. Ce sont des gens qui au quotidien construisent quelque chose de différent. Lutter contre les grands projets inutiles, c’est dire non à plein de choses : à la confiscation des terres agricoles, au bétonnage, à l’urbanisation telle quel l’UE la définit… Ce sont aussi des gens qui sont venus s’installer pour résister, mais qui au fil du temps se sont ruralisés et qui cultivent désormais la terre. C’est aussi une forme de résistance. On a tendance à l’oublier.
Keita Y., pensif devant une vitrine de baskets du boulevard Barbes (Photo : Valérie Dubois)

Valérie Dubois – J’ai passé un an avec trois mineurs isolés étrangers, après avoir assisté à une manifestation de RESF. L’histoire commence en face de l’arrêt de métro Jaurès, à la Paomie [Permanence Accueil Orientation Mineurs Isolés Etrangers, ndlr]. C’est le point de ralliement pour les mineurs, où ils se font conseiller. Ils viennent confiants, en espérant être orientés, mais l’Etat a délégué sa mission de filtrage à cette association. Ils font donc passer des questionnaires pour savoir d’où ils viennent, déterminer s’ils sont mineurs ou non, ils les inscrivent à des tests osseux, etc. Le soir, on voit des gamins en sortir, perdus parce qu’ils n’ont pas été reconnus comme mineurs, alors qu’ils le sont. Ils se réfugient sous le métro aérien. C’est là que je les rencontre.

Il y a beaucoup d’associations et de structures politiques qui leur tombent dessus à ce moment-là. Elles se réapproprient politiquement leur situation, quitte à ne pas bien les orienter. Il fallait les amener dans un gymnase d’urgence, mais non, on leur fait perdre leur temps. Souvent, le 115 ne les accueille pas, car ils ne peuvent pas mélanger adultes et mineurs. Parmi ceux que j’ai suivis, deux viennent du Mali – Drissa et Keita Y. –, et le troisième vient de Côte d’Ivoire – Keita F. Ils m’ont tous parlé d’absence de perspectives de vie économique dans leurs pays pour expliquer leur départ, plus que de guerre. Ils sont connectés comme nous. Un ado n’a pas envie d’être porteur d’eau ou de glaçons toute sa vie.

Propos recueillis par Mathieu Dejean


http://www.lesinrocks.com/2017/08/06/actualite/photographes-engages-ils-illustrent-letat-durgence-sociale-de-la-france-11971452/

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Ces cinq ados kényanes s'attaquent à l'excision avec une appli,femmes,violences,

8 Août 2017, 00:49am

Publié par hugo

 
Ces cinq ados kényanes s'attaquent à l'excision avec une appli
 
Publié le Lundi 07 Août 2017
Pour dire stop à l'excision, 5 jeunes femmes kényanes ont lancé l'application I-Cut. Une innovation qui entend mettre fin à cette pratique cruelle et barbare.
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Elles ne sont qu'au lycée mais déjà activement engagées dans la lutte pour le droit des femmes de leur pays. Stacy Owino, Cynthia Otieno, Purity Achieng, Macrine Atieno et Ivy Akinyi fréquentent des amies qui ont subi une excision lorsqu'elles étaient enfants. Cette pratique consiste en une ablation partielle ou totale du capuchon clitoridien, et est traditionnellement employées pour empêcher les femmes d'avoir des relations sexuelles avant le mariage. Afin de dénoncer le barbarisme et la cruauté de cette pratique chirurgicale, les cinq adolescentes ont développé I-Cut, une application pouvant aider à mettre fin à ce cruel rituel, rapporte CNN.

Leur objectif ? Permettre aux femmes de s'informer et de les mettre en contact avec des centres de secours. L'application I-Cut offre aussi une aide médicale et légale à celles qui ont déjà subi ces mutilations. Cinq boutons sont présents sur l'interface : aide, secours, témoigner, informations sur les mutations génitales et commentaires.

Selon un rapport de l'Unicef publié en février 2016, 200 millions de femmes et de filles seraient victimes de mutilations génitales dans le monde. Un chiffre malheureusement encore en trop grande hausse et ce malgré tous les combats portés par de nombreuses personnes comme Antoine Griezmann, nouvelle figure de la campagne "White Ribbon for Women", ou Josephine Kulea, une Kényane de 32 ans qui lutte contre cette pratique féminicide.

Ces ados âgées de 15 à 17 ans ont présenté leur projet au Technovation, une programme d'innovations technologiques américain sponsorisé par Google et les Nations Unies. Ces jeunes femmes sont les premières Africaines à avoir été sélectionnées par ce programme. Technovation permet d'aider les femmes du monde entier à acquérir les compétences nécessaires pour devenir des entrepreneures dans le domaine des technologies.

"Cette application est un bon moyen d'amener les gens à parler de l'excision. C'est un début de débat et cela montre que tout le monde peut être impliqué dans la lutte contre les mutilations génitales", explique Dorcas Adhiambo Owino, mentor du groupe kényan au Technovation. Au mois d'août, les cinq ados affronteront onze autres équipes du monde entier pour présenter leur projet à la Sillicon Valley et tenter de remporter le premier prix.


http://www.terrafemina.com/article/ces-cinq-ados-kenyanes-s-attaquent-a-l-excision-avec-une-appli_a333692/1

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i-Cut, l'application qui veut en finir avec les mutilation génitales ,femmes,violences,sexes,

8 Août 2017, 00:40am

Publié par hugo

 
i-Cut, l'application qui veut en finir avec les mutilation génitales
Par Mylène Bertaux | Le 07 août 2017
i-cut mutilations génitales
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Cinq lycéennes kényanes ont imaginé une application, i-Cut, pour protéger et informer les victimes d'excision. Le projet sera présenté lors d'une compétition en Californie.
En ce moment

    Grand jeu concours Instagram #summermadame
    Grand jeu concours Instagram #summermadame

Elles se sont donné un surnom, «les restauratrices», et une mission, celle de «restaurer l’espoir chez les filles en proie au désespoir». Stacey Owino, Cynthia Otieno, Purity Achieng, Mascrine Atieno et Ivy Akinyi sont Kényanes. Elles ont entre 15 et 17 ans et sont bien décidées à éradiquer les mutilations génitales dans leur pays, où une fille sur quatre est condamnée a subir l'excision, rapporte la fondation Thomson Reuters News.

Elles ont imaginé une application, i-Cut, rapporte la fondation, pour alerter les forces de police en cas de danger via le bouton «Sauvez». L'interface permet aussi, pour les survivantes, de rapporter les faits aux autorités ou d'être orientées vers des centres d'accueil grâce à la touche «Raconter». Enfin, deux options supplémentaires sont disponibles : «Informations sur les mutilations génitales» et «Faire des dons et réagir».
Un projet présenté en Californie

Les cinq adolescentes présenteront leur projet lors du Technovation Challenge le 4 octobre prochain. Ce concours international offre chaque année la possibilité à des groupes de filles de présenter une idée pouvant résoudre un problème grâce à la technologie. Les gagnantes remporteront 10.000 dollars (environ 8 400 euros).

En France, la peine encourue pour avoir pratiqué l'excision ou pour les parents des victimes est de trente ans et 150.000 euros d’amende. La victime a a vingt-cinq ans pour porter plainte, et ce à partir de sa majorité.
Les stars engagées contre les mutilations sexuelles féminines


http://madame.lefigaro.fr/societe/application-lycennes-contre-mutilation-genitales-i-cut-070817-133540

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Non, les femmes n'ont pas envie de faire l'amour pendant des heures,articles femmes hommes,couples,amours,sexes,

8 Août 2017, 00:39am

Publié par hugo


Non, les femmes n'ont pas envie de faire l'amour pendant des heures
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La durée "idéale" d'un rapport sexuel ? Entre 7 et 13 minutes.
La durée "idéale" d'un rapport sexuel ? Entre 7 et 13 minutes.
Par Léa Drouelle
Publié le Jeudi 03 Août 2017
Contrairement à l'idée reçue, les relations sexuelles à rallonge ne font pas nécessairement le bonheur des femmes... ni celui des hommes.
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Au lit, votre homme redouble d'efforts pour vous procurer un maximum de plaisir et, ce, le plus longtemps possible. Mais comment lui dire délicatement que l'amour qui dure des plombes n'est pas nécessairement le fantasme de toutes les femmes ?

Selon le site Métro , les ébats sexuels qui se prolongent au-delà de 15 minutes ne seraient appréciés que par un faible pourcentage de personnes. Pour parvenir à cette conclusion, le site britannique a réalisé un petit sondage sur Twitter auquel 175 internautes ont répondu. La question était simple : " pour vous, combien de temps doit durer un rapport sexuel ? ".

Les internautes pouvaient choisir entre plusieurs fourchettes soit 5-10 minutes, 10-20 min, 20-30 min ou plus d'une demi-heure. Résultats des courses : les rapports sexuels d'une durée de 5-10 minutes sont plébiscités à 42%. Une part importante (38%) estime également qu'un bon rapport doit durer entre 5 et 10 minutes.

En clair, cela signifie que 78% des personnes sondées ne sont pas fanas des rapports sexuels qui excèdent les 20 minutes. En effet, seules 10% apprécient quand cela dure plus de 20 minutes, tandis que 12% aimeraient que leur partenaire les maintiennent au septième ciel pendant plus d'une demi-heure.

De quoi faire tomber les vieux préceptes qui consistent à dire que les femmes mettent trop de temps à avoir un orgasme et qui rangent automatiquement les hommes qui " finissent " trop vite dans la case des éjaculateurs précoces.
Durée idéale : entre 7 et 13 minutes

Une étude scientifique publiée dans The Journal of Sexual Medicine présente des résultats similaires. Réalisées par des psychiatres de l'Université Behrend en Pennsylvanie, les recherches ont suscité la participation de 50 volontaires. Ces derniers devaient évaluer la qualité de leurs relations sexuelles (hors préliminaires) en se basant sur leur durée.

Selon l'étude, la majorité estime "suffisant" un rapport sexuel qui dure entre 3 et 7 minutes et "satisfaisant" lorsqu'il s'inscrit entre 7 et 13 minutes. En revanche, un coït est estimé "trop court" lorsqu'il n'excède pas les 2 minutes et "trop long" s'il dépasse les 30 minutes.
Rassurer les couples qui souffrent de troubles sexuels

Les auteurs de l'étude voient dans ces résultats un bon moyen d'aider les couples souffrant de troubles sexuels en les aidant à relativiser l'importance de la durée "normale" d'un rapport sexuel. Ils estiment aussi que ces données peuvent conduire à une approche plus sereine de l'orgasme (masculin comme féminin) au moment des ébats.

Finalement, c'est une bonne nouvelle pour tout le monde. Plus besoin pour ces messieurs de faire des prouesses et de battre des records de longévité. Quant à vous mesdames, n'ayez pas peur de dire à votre partenaire (si cela s'avère nécessaire) que vous trouvez vos ébats trop longs.


http://www.terrafemina.com/article/non-les-femmes-n-ont-pas-envie-de-faire-l-amour-pendant-des-heures_a333617/1

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Et si le soutien-gorge était mauvais pour la santé ?,sante,femmes,

8 Août 2017, 00:24am

Publié par hugo

Et si le soutien-gorge était mauvais pour la santé ?
 
par Mazarine Vertanessian le 30 mars 2015
4 609 partages
 
 

Selon des experts sollicités par la marque Triumph, l’inexpérience des femmes et leurs mauvaises habitudes d’achat pourraient avoir des conséquences néfastes sur leur santé. Une étude qui n'est pas la première à remettre en cause notre sous-vêtement préféré...

76 % des femmes portent des soutien-gorges qui ne leur vont pas

Si vous souffrez de douleurs au niveau des trapèzes dorsaux, de raideur à la nuque, d’indigestion ou de maux de tête fréquents, il est temps de vous interroger. Peut-être devriez-vous penser à changer l’intégralité de votre tiroir à lingerie. En effet, porter un soutien-gorge inadapté ou à la mauvaise taille pourrait avoir des conséquences non négligeables sur notre santé.

L’enquête a démontré que 76% des femmes ne sauraient pas acheter les dessous qui leur conviennent. Une majorité des interrogées ont déclaré n’avoir jamais réellement mesuré leur tour de poitrine. D’autres ont admis avoir déjà acheté un soutien-gorge de la mauvaise taille pour obtenir le modèle qui leur plaisait. Certaines choisissent même régulièrement des sous-vêtements trop petits ou trop grands pour amplifier ou dissimuler le volume de leur poitrine. Une habitude qui aurait des répercussions graves sur la santé. Des bretelles trop serrées ou un bonnet mal ajusté pourrait avoir de surprenantes conséquences.

 
 
 

Faut-il arrêter d'en porter ?

Le kinésithérapeute, Sammy Margo, porte-parole de l’Association des Kinésithérapeutes Agréés anglaise s’est notamment exprimé sur le sujet. Interrogé par le Daily Mail, le médecin affirme régulièrement trouver un lien direct entre le port du soutien-gorge et les problèmes de dos, de cou et de posture de ses patientes : "Si un soutien-gorge est trop serré, il peut créer une pression sur les nerfs, les muscles et les vaisseaux sanguins autour des épaules, le haut du dos et la cage thoracique. Ce qui peut conduire à des douleurs ou des maux de tête.".

D’ailleurs, les bonnets de soutien-gorge ont aussi leur importance : "Le port d'un soutien-gorge qui ne supporte pas les seins efficacement peut conduire à des problèmes de posture " . Les femmes auraient tendance à se voûter petit à petit. Ces mauvaises postures conduiraient à des problèmes respiratoires voire digestifs tels que des brûlures gastriques.

Ce n’est pas la première fois que le port du soutien-gorge est remis en cause par la profession médicale. Certains médecins vont même assez loin en le déclarant totalement inutile. Le professeur Jean-Denis Rouillon du CHU de Besançon, a notamment mené une enquête pendant 15 ans, mettant ce sous-vêtement sur la sellette. Le scientifique a notamment constaté que les femmes qui ne portent pas de soutien-gorge ont un sein plus ferme en vieillissant et adoptent une bien meilleure posture. Sortir sans soutien-gorge n’aurait donc que des avantages : faire des économies et protéger votre santé. Il s’agirait même d’un acte féministe, puisque selon le professeur, si les femmes s’obstinent, ce serait la conséquence d’un conditionnement social obligeant la population féminine à dissimuler sa poitrine.

A lire aussi sur aufeminin :
Comment connaître sa taille de soutien gorge ?

Notre sélection de lingerie sexy :

 

http://www.aufeminin.com/news-societe/et-si-le-soutien-gorge-etait-mauvais-pour-la-sante-s1314622.html

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Cette mannequin britannique a été kidnappée pour être vendue comme esclave sexuelle,femmes,violences,

7 Août 2017, 15:26pm

Publié par hugo

Cette mannequin britannique a été kidnappée pour être vendue comme esclave sexuelle
par Anais Moine aujourd'hui à 12:25
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Chloe Ayling s’était rendue en Italie début juillet en pensant y réaliser une séance photo. Malheureusement, ce shooting n’était qu’une couverture et la jeune femme s’est retrouvée prise au piège. Aujourd’hui libérée de ses bourreaux, la police italienne mène l’enquête.
Suivie par plus de 166 000 personnes sur Instagram, le modèle Chloe Ayling jouit d’une jolie notoriété qui lui permet de voyager à travers le monde pour réaliser des photos dans des lieux à couper le souffle. C’est d’ailleurs dans cette optique que le mannequin s’était rendue en Italie le 11 juillet dernier.
Le rendez-vous avait été fixé aux alentours de la gare de Milan, mais quand la jeune femme est arrivée sur place, rien ne s'est passé comme elle l’avait prévu. Les médias italiens révèlent ainsi les dires de la police, Chloe aurait reçu une injection de kétamine, un analgésique puissant notamment utilisé par les vétérinaires. Le mannequin aurait confié à la police : "quelqu’un avec des gants noirs est arrivé derrière moi et a mis une main sur ma bouche, l’autre sur mon cou pendant qu’un deuxième (…) m’a injecté quelque chose dans le bras droit."
 
  © instagram chloeayling
Quand elle reprend conscience, la jeune femme se retrouve en enfer. Ses ravisseurs l’ont déshabillée et lui ont laissé pour seuls vêtements son "body et ses chaussettes". Ligotée aux poignets et aux chevilles, sa bouche est également "scotchée", "J'étais dans un sac de voyage avec un petit espace pour respirer".
La Britannique de 20 ans est alors transportée en voiture de Milan jusqu'à une maison dans le village de Borgial qui se situe dans la région du Piémont, un trajet de près de 2 heures ! Elle sera détenue dans ces conditions terribles jusqu’au 17 juillet, soit près d’une semaine, avant d’être ramenée à Milan et relâchée près du consulat britannique. Les ravisseurs avaient comme projet de la vendre sur internet en tant qu'esclave sexuelle ou d'essayer d'extorquer de l'argent à son agent et sa famille.
Alors que le mannequin vient tout juste de regagner l’Angleterre, la police italienne a quant à elle déjà interpellé un homme qui serait impliqué dans son enlèvement. Lukasz Pawel Herba, un Polonais de 30 ans qui réside en Grande-Bretagne vient d’être inculpé. D'après les enquêteurs, l'homme appartiendrait à un réseau occulte surnommé "La Mort Noire" et ce dernier lui aurait dit de relâcher le mannequin car Chloe est maman d'un enfant en bas âge et que le réseau interdit de telle pratique. Cela dit, la police a indiqué n'être pas certaine de l'existence de ce réseau.
Bien que l’homme soit considéré comme le "cerveau" du kidnapping, les enquêteurs seraient à la recherche d’au moins un autre complice.
Voir aussi : Les violences faites aux femmes


http://www.aufeminin.com/news-societe/mannequin-kidnappee-vendue-esclave-s2337251.html

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Les Pourquoi. Pourquoi la mariée est-elle toujours en blanc ?,femmes,mariage,histoire,

7 Août 2017, 00:48am

Publié par hugo

Les Pourquoi. Pourquoi la mariée est-elle toujours en blanc ?
Le blanc, la couleur du mariage pour la femme...
 
franceinfoPhilippe VandelRadio France
Mis à jour le 06/08/2017 | 09:34
publié le 06/08/2017 | 09:34
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 Photo d'illustration. (LAURENCE MOUTON / MAXPPP)
C’est l’été, la saison des blés murs et des mariages
Peut-être êtes-vous "de mariage" ce week-end, comme invité(e), ou comme marié(e) ! Et vous l’avez remarqué en sortant de la messe, juste avant que le cousin Victor ne pique une cuite à la réception, les belles mariées sont toujours en blanc. Et même les moins belles. Cela n’a donc rien à voir avec un quelconque souci esthétique. Alors pourquoi ce monochrome ?
On me dira que le blanc incarne la pureté et la virginité. Mmouais… Reste à prouver que mademoiselle soit vierge à l’heure du mariage (ce qui devient exceptionnel). Mais admettons. Surgit alors une seconde interrogation : pourquoi le marié, lui, est-il en noir ? Il est impur ? Bref, l’explication sexiste ne tient pas.
Oublions les clichés
Jusqu’au milieu du XIXe siècle, la mariée était plutôt vêtue de couleurs vives, voire criardes : rouge, jaune, bleu vif, orange. Festif, et prometteur, façon lampions.
Jusqu’à ce jour de février 1858. Le 11. À Lourdes, une jeune paysanne de 14 ans, Bernadette Soubirous, voit la Vierge Marie en apparition dans la grotte de Massabielle. Et pas qu’un peu : 18 fois jusqu’au 16 juillet de la même année. Elle le fait savoir à qui veut bien l’entendre : au curé, aux parents, aux amis, à tout le village.
La "révélation" de Bernadette à Lourdes
Les prêtres, puis les bigots, puis les journalistes, puis la France entière partagent la révélation de Bernadette. Elle a vu l’Immaculée Conception ! Et la Vierge était habillée... de blanc. La pure enfant raconte : "J’ai aperçu une dame vêtue de blanc. Elle portait une robe blanche, un voile blanc également, une ceinture bleue, et une rose jaune sur chaque pied".
La mode était lancée, elle dure toujours. Le monde se passionne pour l’histoire de Bernadette. Le grand Émile Zola va même consacrer un roman à l’événement et à la ville de Lourdes, après une longue enquête sur place. Bernadette n’est morte que 13 ans plus tôt, âgée de 35 ans, célibataire. Le roman Lourdes parait en août 1894. Le premier tirage de 121.000 exemplaires est épuisé en deux mois.
On n’a pas fini de parler des robes blanches.
Et vive la mariée !
Jusqu’à preuve du contraire…
A lire aussi


http://www.francetvinfo.fr/replay-radio/les-pourquoi/les-pourquoi-pourquoi-la-mariee-est-elle-toujours-en-blanc_2256941.html

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Sexe : où les Français rêvent-ils de faire l'amour ?,coupls,amours,sexes,

6 Août 2017, 18:18pm

Publié par hugo

  Sexe : où les Français rêvent-ils de faire l'amour ?
TÉMOIGNAGES - Entre le paradis sur terre et le 7ème Ciel, les envies des internautes en matière d'endroits où faire l'amour sont teintés d'exotisme, de tranquillité mais aussi d'insécurité.
 Plage de sable fin ou cabane au fond des bois ?Crédit : Unsplash/Tom Pumford
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publié le 02/08/2017 à 14:05 mis à jour le 02/08/2017 à 15:42
Un cadre idyllique, une plage de sable fin, dans un coin perdu dans la nature, un bateau ou un avion... Girls s'est associé à Happy Couple, l'application mobile pour mieux connaître son couple, afin de savoir dans quels endroits son audience rêverait de faire l'amour.
Qu'ils s'agissent d'un véritable fantasme ou d'une simple curiosité, plus de 20.000 personnes ont répondu à deux questions : "Où rêveriez-vous le plus de faire l'amour?" ainsi que "Où pensez-vous que votre partenaire rêverait de faire l'amour ?".
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C'est le "cadre idyllique entre plage paradisiaque et hôtel de luxe" qui remporte haut les suffrages avec 39% des voix. Viennent ensuite, au coude à coude, "un coin perdu au beau milieu de la nature" (27%) et "sur un bateau, bercé(e) par les vagues de l'océan" (25%). Loin derrière, seulement 7% des utilisateurs se disent attirés par l'amour en avion.
En creusant un peu plus les données fournies par Happy Couple, on découvre alors que plus de la moitié des utilisateurs français (51,3% contre 31,1% des Américains et Britanniques) rêvent de s'unir avec leur partenaire dans un cadre idyllique et qu'ils sont les moins enclins à expérimenter une partie de jambes en l'air dans un avion (4,9% contre plus de 10% pour les internautes du Royaume-Uni et 9,4% des Australiens).
À noter également que les utilisateurs de Happy Couple doivent prédire les réponses de leurs partenaires. Avec cette question, seulement 42,5% des utilisateurs ont deviné la réponse de leur partenaire. De quoi engager la conversation et préciser ses envies à sa moitié ? Girls a pris les devants en demandant à plusieurs femmes inscrites sur Happy Couple de préciser leurs réponses.
 "Savoir que l'ont peut être surpris à n'importe quel moment rend la chose encore plus excitante !"Crédit : Unsplash/Everton Vila
Adeline, 23 ans, "dans un coin perdu dans la nature"
Qu’est-ce qui vous attire dans le lieu que vous avez choisi ? J'ai répondu dans la forêt, en pleine nature. Dans l'idéal, ce serait pendant une balade, juste à deux, un peu "seuls au monde" mais quand même tout en sachant que l'ont peut être surpris à n'importe quel moment parce que cela rend la chose encore plus excitante !
Votre partenaire idéal ? Mon chéri. Il n'est pas trop trop partant pour ce genre d'expérience car justement lui a vraiment "peur" que quelqu'un puisse nous surprendre (rires). Mais ça rend la chose drôle aussi et c'est une peu un challenge du coup pour moi, le fait que ce ne soit pas "trop facile".
Un détail qui pourrait rendre l’expérience encore plus folle ? Que mon chéri prenne cette initiative !
Un autre lieu dans lequel vous aimeriez faire l’amour ? Alors déjà il faut savoir que je ne suis pas fan de lieux en particulier et que pour moi tout ce passe dans l'intensité des choses, du moment, etc. Cela peut être n'importe où et n'importe quand, même juste dans la voiture et le moment sera mémorable, car nous aurons passé une bonne journée, bien ri, et surtout que ce ne sera pas prémédité !
Un autre lieu insolite où vous avez déjà fait l’amour ? J'ai déjà eu une expérience dans un avion, on revenait d'un voyage à Berlin et il y avait un mec à côté de nous. On n'a pas réellement fait l'amour, (dans ces conditions on s'est contenté des préliminaires !) mais c'était sympa, car il était un peu fou comme moi et impulsif !
Germine, 25 ans, "dans un cadre idyllique"
Qu’est-ce qui vous attire dans le lieu que vous avez choisi ? Le romantisme et l'exotisme du lieu.
Votre partenaire idéal ? Mon mari actuel car nous sommes sur la même longueur d'onde et on se comprend sans se parler.
Un détail qui pourrait rendre l’expérience encore plus folle ? Qu'on prenne un risque de le faire sachant que nous ne sommes pas loin d'une foule car ça rendrait la chose risquée.
Un détail qui pourrait virer le tout à la catastrophe ? Qu'on se fasse choper par les policiers car j'aurai trop honte.
Un autre lieu dans lequel vous aimeriez faire l’amour ? Dans l'avion, juste par curiosité
Un autre lieu insolite où vous avez déjà fait l’amour ? Dans un restaurant, qui était sur deux étages, nous étions à l'étage du bas, comme il se faisait tard nous nous sommes retrouvés seuls donc nous sommes passés à l'acte.
Yuna, 19 ans, "dans un coin perdu dans la nature"
Qu’est-ce qui vous attire dans le lieu que vous avez choisi ? J'ai choisi "dans un coin perdu au beau milieu dans la nature", et je précise que j'aimerais que ce soit dans un camping sauvage, rarement fréquenté, et dans un van aménagé pour l'occasion. Ce qui m'attire c'est le retour à la nature, la symbiose entre amour et nature, le fait que cela soit assez original et excitant !
Je ne recommande à personne la plage car le sable ça rentre partout !
Yuna, 19 ans
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Votre partenaire idéal ? Mon amoureux, c'est avec lui et personne d'autre que j'aimerais le faire car c'est l'amour de ma vie tout simplement.
Un détail qui pourrait rendre l’expérience encore plus folle ? Un orage, une tempête, faire l'amour sous les éclairs, ça serait tellement beau et excitant !
Un détail qui pourrait virer le tout à la catastrophe ? Une bête sauvage qui viendrait nous faire un coucou (rires), ou alors un accident du type fracture du pénis, aie aie aie...
Un autre lieu dans lequel vous aimeriez faire l’amour ? Dans un avion, pour pouvoir s'envoyer en l'air et atteindre le septième ciel littéralement.
Un autre lieu insolite où vous avez déjà fait l’amour ? La plage ! Et je ne recommande à personne car le sable ça rentre partout, mauvaise idée je vous le dis !
Rosillaz, 19 ans, "dans un cadre idyllique"
"Mon ex copain et moi avions un désir sexuel assez insatiable et parfois l'impossibilité de se rendre chez l'un ou chez l'autre. Comme la fin justifie les moyens, j'ai souvent été amenée à faire l'amour dans des endroits pour le moins insolites", précise d'emblée Rosillaz à Girls.
Qu’est-ce qui vous attire dans le lieu que vous avez choisi ? Le fait que l'endroit soit peu fréquenté pour éviter d'être surpris ou même entendu.
Votre partenaire idéal ? Une personne que j'aime en qui j'ai confiance et avec qui je suis en couple depuis longtemps.
Un détail qui pourrait rendre l’expérience encore plus folle ? Que l'endroit se prête au mieux à la situation et que je puisse être libre de mes mouvement, que je sois en parfaite confiance.
Un détail qui pourrait virer le tout à la catastrophe ? Que quelqu'un nous surprenne ! Aucune envie qu'on me voit à moitié nue dans un endroit pas du tout approprié !
Un autre lieu dans lequel vous aimeriez faire l’amour ? Un hôtel chic.
Un autre lieu insolite où vous avez déjà fait l’amour ? Un ascenseur qu'il s'était arrangé pour bloquer au moins le temps de faire ce que nous avions à faire, le lycée au dernier étage complètement vide alors que nous finissions nos cours, un parking sous terrain vide et en travaux, un parc un soir sur un banc.
 Faire l'amour à la belle étoile ?Crédit : Unsplash/Matheus Ferrero
Julie, 23 ans, "dans un cadre idyllique"
Qu’est-ce qui vous attire dans le lieu que vous avez choisi ? Le sentiment de liberté, n'avoir personne autour et ne pas avoir à se cacher ou se retenir.
Votre partenaire idéal ? C'est mon copain parce que nous avons une vrai complicité, que au lit ça se passe très bien et que je le trouve magnifique. Je fantasme sur lui et on les réalise même de temps en temps.
Un détail qui pourrait rendre l’expérience encore plus folle ? Que mon copain ait tout organisé de lui-même pour me faire plaisir (pique nique, chalet, cabane ou tente...).
Un détail qui pourrait virer le tout à la catastrophe ? L'inconfort dû à la nature (herbes qui gratte, petits cailloux, poussière...).
Un autre lieu dans lequel vous aimeriez faire l’amour ? Dans des thermes pour se baigner dans une eau chaude, trouver un bassin un peu caché ou peu fréquenté... pour faire l'amour dans l'eau, en apesanteur, et pour le petit frisson du risque d’être surpris.

Un autre lieu insolite où vous avez déjà fait l’amour ? Le rooftop d'une auberge de jeunesse, à ciel ouvert. On avait commencé par une soirée entre amis sur le toit, on s'est bien amusés et puis les gens partaient tour à tour se coucher. On s'est retrouvé discrètement avec mon amoureux de l'époque à l’arrière du rooftop, et on s'est allongés à la belle étoile.
RTL Girls et Happy Couple s'associent pour vous faire voir la vie de couple du bon côté. Si vous avez envie d'en savoir plus sur votre partenaire avec un quiz quotidien et ultra rapide, téléchargez l'application sur votre smartphone via ce lien et vous bénéficierez de 10 questions bonus <3
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http://www.rtl.fr/girls/love/sexe-ou-les-francais-revent-ils-de-faire-l-amour-7789555430

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