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Le blog de hugo,

Etude scientifique : des résidus de roundup plus importants dans l'alimentation OGM,ecologie,

24 Avril 2014, 21:18pm

Publié par hugo

Etude scientifique : des résidus de roundup plus importants dans l'alimentation OGM


24 AVRIL 2014 | PAR BENJAMIN SOURICE






© sima/Shutterstock via Mother Jones
Une nouvelle étude scientifique tend à démontrer que le soja OGM, modifié pour tolérer un ou des herbicides, contient des doses importantes de résidus d'herbicide à base de glyphosate (Roundup), dont l'impact sur la santé reste mal évalué.





Le soja aux États-Unis représente la deuxième plus grande récolte américaine après le maïs et couvre environ un quart des terres agricoles. Le pays est en passe de se faire ravir la place de premier producteur et exportateur mondial par le Brésil, qui a dopé sa production à coup de déforestation massive. Selon le Département américain de l'Agriculture (USDA), plus de 90% du soja cultivé a été génétiquement modifié pour tolérer un ou plusieurs herbicides, dont la quasi-totalité résiste au Roundup, à base de glyphosate, de Monsanto. En revanche, la production biologique de soja reste marginale, représentant moins de 1% de la superficie totale consacrée au soja, les 9% restant étant consacrés aux cultures conventionnelles.


Si les Américains, comme les Européens, ne mangent pas directement ces légumineuses, cela ne signifie pas pour autant qu'ils n'y sont pas exposés. Après la récolte, le soja est broyé et divisé en deux parties : principalement l'alimentation pour animaux afin de produire hors-sol la viande qui finira dans nos assiettes ; et de la production de graisse végétale, utilisée comme huile de cuisson ou dans les produits alimentaires (lécithine de soja). Selon l'US Soy Board, le soja représente 61% de la consommation d'huile végétale américaine, suivi du colza, lui aussi OGM, pour 11% et l'huile de palme pour 8%.


Des résidu de roundup dans le soja GM


Compte tenu de la centralité du soja dans nos systèmes alimentaires et agricoles, les conclusions d'une nouvelle étude publiée dans la revue scientifique Food Chemistry laissent songeurs. Des chercheurs du Centre de Biosécurité de l'université de Tromsø (GenØk) en Norvège ont constaté que les graines de soja GM Roundup Ready (RR) de Monsanto contiennent plus de résidus d'herbicides que leurs homologues non-OGM. L'équipe a également constaté que les grains génétiquement modifiés sont d'une qualité nutritive inférieure.


Dans l'étude , les chercheurs ont examiné des échantillons de trois types de soja cultivé dans l'Iowa : 1 ) ceux qui sont cultivés à partir de semences génétiquement modifiées tolérantes aux herbicides (RR) ; 2 ) ceux qui sont cultivés à partir de semences non génétiquement modifiées, mais dans un régime conventionnel de production à base de produits agrochimiques ; et 3 ) le soja biologique, c'est à dire, non-GM et cultivés sans pesticides.


Ils ont trouvé des résidus de glyphosate (l'ingrédient dit « actif » dans le Roundup) et de l'acide aminométhylphosphonique , ou AMPA , un résidu de décomposition chimique du glyphosate, sur les dix échantillons OGM analysés, mais dans aucun des non-GM ou bio.


Le soja OGM avait un total de résidus en moyenne de 11,9 parties par million (ppm), avec une valeur maximale de 20,1 ppm- c'est à dire dans la limite des taux fixés par l'Agence de protection de l'environnement (EPA) à 20 ppm pour la Limite Maximale de Résidus, un seuil partagé par l'Union européenne et l'OMS (Codex alimentarius). Pourtant, comme le notent les auteurs, en 1999, Monsanto signalait que l'analyse maximale enregistrée de résidus de glyphosate trouvé sur le soja Roundup Ready était de 5,6 ppm - un niveau que la compagnie jugeait alors « extrême » et « beaucoup plus élevé que celles qu'on trouve habituellement ». Depuis les normes ont été arbitrairement revues à la hausse pour atteindre 20 ppm.


Controverse sur les doses admissibles


Comme le notent les auteurs, il existe une forte controverse scientifique quant aux effets à faible dose du glyphosate, et des résidus du Roundup. En fixant la limite maximale de résidus à 20 parties par million et une dose journalière admissible à élevée à 0,3 mg/kg/jour, les États-Unis comme les régulateurs européens de l'EFSA écartent tout simplement ces risques à faible dose, plus particulièrement le risque de perturbation du système endocrinien (hormones).


Pourtant, une étude de 2012 menée par le biologiste Rick Relyea de l'Université de Pittsburg constatait que le Roundup dans l'eau à 3 ppm induisait des changements morphologiques chez les grenouilles. Dans un autre article scientifique, des chercheurs allemands ont soumis différentes souches bactériennes, que l'on trouve généralement dans les intestins de volailles, au glyphosate à des niveaux de 5 ppm et moins, soit des doses inférieures à la moyenne du soja GM servant à nourir les volatiles en batterie. L'équipe allemande a ainsi constaté que le glyphosate avait tendance à nuire aux bactéries bénéfiques comme Lactobacillus, tandis que les agents pathogènes comme la salmonelle (Salmonella Enteritidis) avaient tendance à présenter une « très forte résistance ». Les résultats suggèrent donc que le glyphosate peut aussi modifier l'équilibre de la flore intestinale – des résultats peu rassurants, compte tenu de récentes conclusions scientifiques tendant à démontrer que des changements subtils dans l'équilibre bactériologique de notre corps peuvent avoir un impact important sur notre santé.


La nouvelle étude norvégienne a également constaté de faibles mais statistiquement significatives différences dans la qualité nutritionnelle des différents types de soja : les fèves de soya biologiques ont des niveaux de protéines légèrement plus élevés que les deux autres, et des niveaux plus bas d'acides gras Oméga-6, tandis que les Oméga-3 ne montrent aucune différence significative.


"Une exposition la plus élévée jamais observée"


La nourriture n'est pas seulement la voie d'entrée du glyphosate et de ses résidus dans notre corps. Dans une étude de 2011, les chercheurs de l'US Geological Survey ont « détectés fréquemment » du glyphosate dans les eaux de surface dans le bassin du fleuve Mississippi, une source majeure d'approvisionnement en eau pour les populations. En France également, le lgyphosate se retrouve dans le eaux de surfaces au point de contaminer la production de lentilles vertes au-délà de limite maximale de résidus (LMR) comme s'en alarmait l'ANSES en 2011. Des traces de glyphosate, ou de son dérivé l'AMPA, ont été trouvées dans des doses supérieures à la limite de qualité en vigueur, démontrant leur capacité d'infiltration vers les nappes contrairement aux dires des producteurs. En 2013, l'association écologiste Les Amis de la Terre publiait une analyse européenne concluant que des traces de glyphosate avaient été détectées dans les urines de 43,9 % des personnes testées dans 18 pays européens. Dernière découverte en date, et pas la moins inquiétante, en avril 2014 des résidus de glyphosate ont été dépistés dans des échantillons de lait maternel de femmes américaines, laissant suggérer un possible effet bio-accumulateur le long de la chaine alimentaire !


Charles Benbrook , un chercheur de l'Université d'État de Washington qui a documenté la hausse de la consommation de glyphosate liée à l'explosion des cultures GM Roundup Ready, affirme que « l'exposition alimentaire humaine au glyphosate est sans doute aujourd'hui la plus élevée jamais observée, tout pesticide utilisé aux États-Unis confondu. ». Benbrook s'alarme face au cumul des expositions et des effets cocktail : « Quand vous considérez les doses supplémentaires que nous recevons à travers l'eau et parfois l'air, cette substance chimique se trouve réellement dans une classe à part en termes d'exposition humaine. » Avec une consommation annuelle de pesticide à base de glyphosate supérieure à 30 millions de tonnes, cela représente une moyenne de 100kg/an par Américains.


En cours de réévaluation, le Roundup n'est pourtant pas soumis à de nouvelles études officielles de toxicologie, tandis que les découvertes des chercheurs indépendants sont systématiquement écartées. Les autorités sanitaires, en particulier l'EFSA, persistent à ne vouloir évaluer que son composé dit « actif », le glyphosate, alors que la formulation commercialisée, tant pour les professionnels que les jardiniers, contient des adjuvants chimiques (POEA) dont les effets toxiques sont tout aussi inquiétants, mais dont la composition reste protégée par le « secret industriel ». Dans leur dernière étude publiée sur les pesticides (Mesnage & al., janvier 2014), l'équipe du Pr Séralini s'était justement penché sur la toxicité réelle des pesticides dans leur formulation commerciale, mettant à jour un toxicité in-vitro bien plus élévée comparée aux principes actifs testés seuls. "Nos résultats remettent en question la pertinence de la dose journalière admissible (DJA) pour les pesticides" expliquent les chercheurs, ajoutant que "les essais concernant la toxicité des pesticides peuvent ne pas refléter les expositions environnementales pertinentes."Aux vues de la contamination généralisée des aliments OGM par les pesticides, mais aussi de plus en plus de l'eau et de l'air, le véritable secret de l'industrie pourrait bien être celui de l'impact sur la santé de ces herbicides sous-évalués.








Cet article est partiellement tiré du magazine d'investigation américain Mother Jones, Monsanto GM Soy Is Scarier Than You Think par Tom Philpott, mercredi 23 avril 2014. Benjamin Sourice, collabore depuis mars 2014 avec l'équipe de chercheurs du Criigen qui a publié de récents travaux sur la toxicité cachée des pesticides et du Roundup. Les propos et informations émis sur ce blog n'engage que leur rédacteur. Il est également l'auteur de Plaidoyer pour un contre-lobbying citoyen, sortie en février 2014, aux Editions Charles Léopold Mayer.

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Gérard Filoche : « Ce qu’ils veulent, c’est la suppression pure et simple des Prud’hommes ! »,droit de l homme,droits,

24 Avril 2014, 21:12pm

Publié par hugo

Gérard Filoche : « Ce qu’ils veulent, c’est la suppression pure et simple des Prud’hommes ! »
L'ancien inspecteur du travail dénonce un déni de démocratie sociale
EUGÉNIE BARBEZAT
JEUDI, 24 AVRIL, 2014
photo de Pierre Trovel
Le projet de réforme dont le vote à marche forcée aura lieu fin mai, prévoit la désignation des conseillers Prud’hommes, non plus sur une élection, mais sur la mesure de l’audience des organisations syndicales. Un grave recul démocratique dénoncé, entre autres, par la CGT.
Élus tous les 5 ans au suffrage universel, les conseillers Prud’hommes sont une force inestimable pour les salariés qui veulent obtenir réparation d’un préjudice subi de la part de leur employeur, qu’ils soient précaires, privés d’emploi ou retraités. Cela représente 200 000 affaires par ans, dont 80% sont jugées en première instance et confirmées en appel. Malgré le fait que les employeurs aient généralement tendance à « jouer la montre » en multipliant les recours et en tardant indemniser les salariés lésés, cette juridiction constitue un contre-pouvoir important et un élément majeur de la démocratie sociale.


D’ailleurs, quand elle était encore à la tête du MEDEF, Laurence Parisot avait déclaré que les Prud’hommes étaient « générateurs d’insécurité pour les patrons », preuve s’il en fallait de leur utilité pour les salariés !


L’actuel projet de réforme des élections prud’homales initialement abordée dans le projet de loi sur la formation professionnelle, puis retirée, est finalement de retour devant le Parlement. Un nouveau projet de texte a été déposé fin mars par le gouvernement. Le projet de loi sera soumis aux sénateurs le 14 mai et examiné par l’Assemblée Nationale dans la foulée en procédure accélérée, pour une adoption définitive fin mai. S’il est adopté la loi fondera désormais la désignation des conseillers prud’hommes, non plus sur une élection, mais sur la mesure de l’audience des organisations syndicales de salariés et d'employeurs (reposant sur les résultats du premier cycle de mesure de l'audience syndicale, disponible depuis 2013). Pire, dans un deuxième temps (à l'horizon 2017), les sièges de conseillers employeurs seraient attribués aux organisations patronales via la mesure de la représentativité patronale, qui vient tout juste d’être introduite par la loi sur la formation professionnelle.


« Il s’agit d’un énorme recul de la démocratie sociale», dénonce à l’unisson les représentants de Force Ouvrière, de la CGC, la FSU, de Solidaires, et bien sûr de la CGT, à l’initiative d’une pétition, pour défendre cette juridiction unique en Europe. « Cette suppression de l’élection des conseillers prud’hommes au suffrage universel est une attaque à la citoyenneté et un déni de démocratie car 5 millions de chômeurs, ainsi que les travailleurs précaires, se verraient privés de toute expression vis-à-vis de leurs juridictions prud’homales, ne participant pas aux élections des représentants du personnel au sein des entreprises, scrutin sur lequel la représentativité syndicale est désormais mesurée … De même, 5,4 millions de salariés ne pourraient pas faire entendre leur voix en 2015 n’ayant pas été pris en compte dans la mesure de la représentativité actuelle », explique l’organisation syndicale(CGT) sur son site.


Les arguments avancés par le gouvernement pour justifier une telle mesure sont d’une part, le cout de ces élections, qui représente 91 millions, par scrutin (une fois tous les 5 ans). « En réalité c’est 4,77 € par votant ! Un cout légèrement inférieur à celui de toutes les autres élections. C’est un prix modique quand il s’agit de démocratie sociale, bondit l’ancien inspecteur du travail Gérard Filoche. Pourquoi ne pas plutôt supprimer les élections consulaires aux chambres des métiers et d’industrie, s’il faut vraiment faire des économies. »


Quant au second argument, celui de la faible participation (elle était de 34,5% au dernier scrutin, en 2010), il est tout simplement absurde pour la CGT : « Va-t-on bientôt supprimer les élections politiques au motif d'une augmentation de l'abstention ? Faut-il casser le thermomètre ou bien prendre les mesures pour relancer la participation aux élections de la juridiction la plus populaire de ce pays ? »


D’autant, rappelle Gérard Filoche, que « ce sont les seules élections auxquelles peuvent participer les travailleurs immigrés ! Après de 6 mois de présence dans une entreprise, un salarié, même de nationalité étrangère, peut voter à cette élection nationale»


Il alerte aussi sur les conséquences graves pour les salariés en difficultés qui seraient moins bien informés de leurs droits et surtout coupé de tout contact avec leurs représentants : « Avec la suppression de ce scrutin, le but c’est de supprimer purement et simplement les prudhommes. »


La méthode est classique, on vide un élément de sa substance, puis on dénonce son inutilité… avant de le supprimer.


L’heure est donc plus que jamais à la mobilisation de toutes et tous pour éviter la destruction pure et simple d’un élément fondamental de notre démocratie. D’ailleurs, le mot prud'homme vient de prode homme, dont la racine latine est dérivée du verbe latin prodesse : « être utile ». CQFD !

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Amoureux comme au premier jour!,amour,couples,articles femmes hommes,

24 Avril 2014, 04:03am

Publié par hugo

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Amoureux comme au premier jour!
Amoureux comme au premier jour!
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11.02.14 - Cinq couples racontent pourquoi leur amour a tenu bon, pendant plusieurs décennies de vie commune. Portraits.
Mariel (70 ans) et Michel (74 ans), mariés depuis 50 ans
Mariel et Michel sont un couple haut en couleurs. Leur couple est à l’image de leur maison, l’un des grands projets de leur vie : à la fois construit dans le respect de l’existant et enrichi d’ajouts nouveaux. «Au départ, nous regardions dans la même direction, puis nos cheminements nous ont conduits à beaucoup d’adaptations», se souvient Mariel. Et d’ajouter : «Nous n’avançons pas à la même vitesse et les centres d’intérêts changent. Il faut en tenir compte». Tous deux étaient cependant d’accord pour faire de la famille une priorité, «ce qui nous a permis de dépasser beaucoup de difficultés», raconte Mariel.
Leurs 34 années de vie professionnelle commune auraient pu les séparer, mais elles leur ont plutôt appris l’équilibre des forces. Si Mariel tient à sa part de liberté, on ne sent jamais d’arrière-plan revendicatif. Et si Michel se dit rancunier, la place qu’il accorde au pardon dans le couple témoigne de son attachement à Mariel.
«Et puis», ajoute-t-il en pensant aux problèmes de santé qu’a connus sa femme, «la vie nous rappelle qu’il n’est pas facile de s’en sortir seul.


Nous avons conscience que nous avons besoin l’un de l’autre».


Sigrid (81 ans) et Jean (84 ans), mariés depuis 58 ans
Leur vie est une longue marche, leurs horizons communs. Si vous leur demandez comment c’est possible, ils vous répondront que la certitude que Dieu soutient leur projet les porte encore. C’est ce qui imprègne leur maison, puisqu’il est pasteur, d’une chaleur et d’une paix célestes. Pourtant, leur chemin n’a pas été fait que d’un bonheur tranquille !
Jean et Sigrid se rencontrent en Suisse, mais c’est en Afrique qu’ils fondent leur famille : cinq enfants ! Ils perdront le sixième à la naissance. Des années marocaines, ils tirent une première leçon de vie : l’acceptation de soi, de l’autre, d’une situation, et le besoin de s’adapter pour avancer. «J’étais conscient que je ne m’installais pas dans un préfabriqué, mais que tout était à construire», raconte Jean.
Passer du temps ensemble, avec et sans les enfants, est essentiel. «Nous avons partagé la lecture de beaucoup de livres à voix haute, à deux ou en famille», se souvient Sigrid. Surtout, «il ne faut jamais cesser de se témoigner de l’amour», insiste Jean. Et Sigrid d’ajouter : «Sentir les bras de mon mari, c’est ce qui me fait vivre !». Alors, on n’est pas étonné de les voir s’éloigner main dans la main...


Frédérique (59 ans) et Jean-Jacques (66 ans), mariés depuis 41 ans
«Avoir parfois envie de tout plaquer, c’est normal !», affirme Frédérique. Son secret pour persévérer? L’importance accordée à une intimité partagée. Mais aussi : «Ne pas rester replié sur soi, s’ouvrir aux autres». Ce qui ne signifie pas, pour elle, de se répandre en plaintes auprès de ses amies sur ses difficultés de couple. «Au contraire, trop parler de certains problèmes peut les amplifier».

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L’humour, pour nourrir l’amour,amour,couples,articles femmes hommes,

24 Avril 2014, 04:00am

Publié par hugo

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L’humour, pour nourrir l’amour
L’humour, pour nourrir l’amour
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11.02.14 - Le travail, les enfants, les factures, le ménage, les courses, la voiture, les vacances... Comment gèrerions-nous tout cela sans rire un peu? Développer l’humour peut contribuer à rendre votre quotidien plus agréable.
«L’humour rend la vie plus légère et permet une prise de distance avec le côté sérieux de la vie». Même si ce n’est pas le cas chez tous, le conseiller conjugal Christian Reichel pense qu’idéalement, l’humour devrait faire partie de la vie de couple.


Rire plutôt que s’énerver
Pour Gaëlle et Cédric, 35 et 37 ans, «rire constitue la stratégie pour lutter contre l’agacement». Le couple apprécie de rire ensemble de leurs différences et de leurs petits travers : «Nous avons décidé de nous en amuser plutôt que d’en être agacés.


Cela rend le quotidien plus agréable à vivre». En résumé, si l’un a tendance à égarer toutes ses affaires, il vaut mieux vous en amuser. Mais attention ! Il s’agit de rire avec l’autre et non de l’autre. Les sensibilités varient. Donnez-vous mutuellement le droit de rire de vos petites manies et précisez ce qui ne vous fait pas rire.
«Il faut trouver la limite entre ce qui est drôle et ce qui est blessant», complètent Fiona et Gilles. Cela passe par la connaissance de l’autre et de ce qui l’amuse. Le couple a d’ailleurs dû apprendre à construire un humour commun, parce qu’à la base, ils ne possédaient pas du tout «le même humour».
(...)

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Grossesse : carence en vitamine D et caries chez le bébé liées,sante,bebes,grossesse,

24 Avril 2014, 03:19am

Publié par hugo

Grossesse : carence en vitamine D et caries chez le bébé liées
dents bébé Un faible taux de vitamine D chez la mère a un impact direct sur les dents de lait du bébé22/04/2014
Selon une nouvelle étude canadienne, une carence en vitamine D pendant la grossesse augmenterait les risques de caries chez le bébé…
Attention au manque de vitamine D pendant la grossesse. Selon une récente étude canadienne, publiée dans la revue Pediatrics, une carence en vitamine D pendant la grossesse augmenterait les risques de caries chez le bébé plus tard.
Pour dresser ce constat, les chercheurs de l'école dentaire de l'Université du Manitoba ont suivi plus de 200 femmes habitant en zone urbaine, dans des conditions plutôt précaires. Après avoir mesuré leurs niveaux de vitamine D, les scientifiques ont examiné les dents de 135 de leurs enfants avant l’âge de 2 ans. Ils se sont aperçus que près d’un tiers des futures mamans affichaient une carence en vitamine D et leurs bébés souffraient davantage de défauts de l'émail des dents. Et 23 à 36 % des enfants des femmes carencées avaient des caries à 16 mois, en moyenne. Au regard de ces résultats, les auteurs de l’étude estiment qu’un faible taux de vitamine D chez la mère a un impact direct sur les dents de lait du bébé.
« Les efforts de prévention des caries doivent commencer pendant la grossesse par le renforcement de la nutrition maternelle, soit par l'amélioration de l'apport alimentaire, soit par une supplémentation en vitamine D », expliquent-ils.
Auteur : Elodie Moreau > COMMENTER0
Plus d'actus23/04/2014 Drew Barrymore a accouché !22/04/2014 Vaccins : une semaine pour se mettre à jour

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Vaccins : une semaine pour se mettre à jour,enfants,sante,

24 Avril 2014, 02:34am

Publié par hugo

Vaccins : une semaine pour se mettre à jour
Vaccins : une semaine pour se mettre à jour Chaque année, la vaccination permet de sauver 2 à 3 millions de vies 22/04/2014
Aujourd’hui débute la Semaine européenne de la vaccination. L’occasion pour chacun de faire le point sur ses vaccins et se mettre à jour…
La Semaine européenne de la vaccination, organisée en France par l’Inpes et le ministère de la Santé, débute aujourd’hui. Il s’agit de la 8e édition. Du 22 au 26 avril prochain, chacun est invité à vérifier s’il est à jour dans ses vaccins. Pour l’occasion, plusieurs actions sont organisées dans toute la France pour aider la population à mieux comprendre les bénéfices individuels et collectifs de la vaccination et l’importance de se protéger contre certaines maladies infectieuses. Rappelons que cette Semaine européenne est une initiative de l’Organisation mondiale de la santé. D’ailleurs, la campagne mondiale débutera ce jeudi.
Le but : sensibiliser davantage le public à l’utilité de la vaccination mais aussi remédier au manque de connaissances en matière de vaccins. Pour l’OMS, peu importe le lieu de résidence, tout le monde doit savoir quels vaccins existent pour se protéger contre la maladie et doit contrôler le calendrier vaccinal de ses proches. Autre objectif : inciter les populations à se procurer les vaccins dont elles ont besoin auprès de leur professionnel de santé local.
Selon l’OMS, la vaccination permet de sauver 2 à 3 millions de vies, chaque année. Néanmoins, un enfant sur cinq n’y aurait pas accès. En 2012, près de 23 millions de nourrissons n’ont pas bénéficié d'une vaccination systématique. Plus de la moitié de ces enfants vivent dans trois pays seulement : l’Inde, l’Indonésie et le Nigéria. Le manque d’informations, l’approvisionnement insuffisant en vaccins, les difficultés d’accès au personnel de santé et les politiques sanitaires quasi-inexistantes expliquent en grande partie cette absence de vaccinations.



Sources : Inpes et OMS
Auteur : Elodie Moreau La méningite sous l’objectif d’Anne Geddes > COMMENTER0
Plus d'actus22/04/2014 Grossesse : carence en vitamine D et caries chez le bébé liées22/04/2014 Very Bad Trip : Justin Bartha papa pour la première fois

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Enfants hospitalisés : les parents mieux informés,enfants,sante,

24 Avril 2014, 01:12am

Publié par hugo

Enfants hospitalisés : les parents mieux informés
bébé opération 22/04/2014
Afin de mieux guider les parents avant l’hospitalisation de leur enfant, l’association SPARADRAP met désormais à leur disposition deux nouveaux documents pédagogiques présentant les consignes préopératoires…
L’hospitalisation d’un enfant n’est jamais facile à gérer pour les parents. Et même lorsque l’opération est programmée, les familles n’appliquent pas toujours les consignes transmises par les services d’anesthésie et de chirurgie. Le plus souvent par manque de compréhension. Pourtant, le respect de ces règles est essentiel pour la sécurité de l’enfant, la qualité de sa prise en charge, mais aussi pour éviter une éventuelle annulation de l’intervention chirurgicale.
Afin de mieux guider les familles, l’association SPARADRAP a décidé de réaliser deux fiches pédagogiques portant sur « les consignes à respecter », et « ce qu’il faut apporter à l’hôpital ». Ces documents, validés par des experts, s’appuient sur les recommandations internationales. La première fiche rappelle les conseils d’hygiène, les médicaments autorisés et l’organisation de la sortie. Les parents y trouveront également les informations concernant le jeûne. Il est précisé que l’enfant peut boire un liquide clair jusqu’à 2 heures avant l’opération. Une hydratation importante pour le confort de l’enfant mais aussi des professionnels. En effet, un patient bien hydraté est plus facile à perfuser et a moins de risque de faire une hypoglycémie.
La seconde fiche liste les affaires à apporter pour le bien-être de l’enfant (vêtements, doudou, jeux…) et les différents documents administratifs et médicaux nécessaires.
Pour toucher le plus grand nombre, les consignes sont expliquées dans un langage simple, avec des illustrations et des pictogrammes. Par ailleurs, ces livrets sont disponibles en 8 langues (anglais, arabe, chinois, espagnol, roumain, russe et turc...) afin d’aider les familles qui ne maîtrisent pas ou peu le français.
Ces fiches sont téléchargeables gratuitement sur le site www.sparadrap.org.
Source : SPARADRAP
Auteur : Elodie Moreau > COMMENTER0
Plus d'actus22/04/2014 Bill Clinton : sa fille Chelsea est enceinte18/04/2014 La prime de naissance pourrait être supprimée

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Comment Christ est-il ressuscité ?,protestants,

24 Avril 2014, 01:09am

Publié par hugo

Service protestant Syndiquer le contenu
par Michel Schaeffer
Le site de l'émission
Emission Service protestant
le dimanche de 8h30 à 9h
Ecoutez l'émission
30 minutes
Pâques
20.04.2014 - 08:30 Ajouter à ma liste de lecture


Louis Pernot MS © RADIO FRANCE
Comment Christ est-il ressuscité ?

« Christ est ressuscité, il est vraiment ressuscité ! » c’est la bonne nouvelle de Pâques. Cette affirmation est la base de la prédication chrétienne depuis l’antiquité. Mais nous ne sommes plus dans l’antiquité, et il n’est pas toujours facile de s’approprier cette bonne nouvelle au XXI siècle en Europe.
Replongeons dans ce cœur de la foi chrétienne pour voir comment ce message peut être encore bien vivant et palpitant pour nous aujourd’hui!
En bon protestants, retournons à l’Écriture.
Mais là l’affaire n’est pas simple. Parce que, les Évangiles concordent assez bien pour ce qui est de la vie de Jésus, mais pour ce qui suit la résurrection, pour la manière avec laquelle Jésus apparaît, plus aucun ne sont d’accord, ils décrivent chacun des choses différentes, comme si l’on sortait d’une sorte d’objectivité contraignante. Sans doute le Christ ressuscité apparaît-il différemment à chacun selon sa foi... et on remarquera que dans l’Évangile, il n’apparaît pas du tout aux incroyants !
Le seul point qui met d’accord tous les évangiles, c’est le tombeau trouvé vide le jour de Pâques.
Télécharger le texte de l'émission (à partir du 21/04/2014)
Liste des musiques
Prélude J.S.Bach joué au luth par Louis Pernot
Ps 128 : "Dieu béni ceux qu’il aime." par la Chorale de l’Étoile
Courante François Dufaut Luth par Louis Pernot
Chaconne Robert de Visée Théorbe joué au luth par Louis Pernot
34.02 "Chantez à Dieu d’un même cœur." par la Chorale de l’Étoile
A toi la Gloire (34.18) par la Chorale de l’Étoile
Invité(s) :
Louis Pernot, pasteur de l’Eglise protestante unie de France à Paris-Etoile
Thème(s) : Idées| Religion

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La société, la vieillesse et la mort,protestants,sante,

24 Avril 2014, 01:03am

Publié par hugo

La société, la vieillesse et la mort





Noël dans un hospice de vieillards en Australie. Tiré du film Life before Death . www.lifebeforedeath.com © Moonshine Agency
La « fin de vie » est devenue un sujet préoccupant car la société s’est transformée au cours des siècles. Grâce aux progrès de la médecine on vit plus vieux. La famille a évolué, le travail, le logement aussi. La société réclame la performance, la rentabilité.


Dans le débat actuel revient souvent le mot de « dignité ». Cette notion a des dimensions multiples, philosophiques, religieuses, et juridiques. Pour le philosophe Paul Ricoeur, ce terme renvoie à l’idée que « quelque chose est dû à l’être humain du fait qu’il est humain ». Tout humain mérite un respect inconditionnel, quels que soient l’âge, le sexe, la santé physique ou mentale, la religion, la condition sociale ou l’origine ethnique.


« Aujourd’hui, on place trop [la] dignité dans une image de l’Homme, qui est celle de l’individu moderne, assuré de sa forme physique et de sa formation professionnelle, de sa conscience, sujet maître de ses objets et mesure du monde. Jamais morale ne fut plus impérieuse et plus normative que celle-là ! » (Olivier Abel, Réforme, 29 Juin 1991). De ce fait l’image de la vieillesse, dans notre société et contrairement à d’autres, est habituellement perçue comme dégradante et angoissante.


En Afrique sub-saharienne, par exemple, vieillesse rime avec spiritualité, expérience, sagesse. D’un point de vue économique les personnes âgées sont considérées comme des producteurs de biens immatériels : connaissances, conseils, règlement de différends...


Dans le vocabulaire occidental moderne, le mot « vieux » désigne ce que l’on ne veut surtout pas devenir. On est hanté par la dépendance, la perte d’utilité sociale, la dégradation de l’apparence physique…, une défiguration inacceptable qu’on appelle « perte de dignité », c’està- dire mort avant terme ; on peut alors vouloir devancer celle-ci grâce à l’euthanasie. Aujourd’hui la façon d’envisager la mort reste marquée par le sceau du déni. L’une des manières d’exorciser la mort consiste à la rendre omniprésente dans les médias… « Auparavant, on gardait nos aïeux à la maison, on s’en occupait jusqu’à leur dernier souffle. La mort était vécue aux yeux de tous […].


Aujourd’hui, la mort est sortie de la sphère de l’intime et de notre quotidien. Trois personnes hospitalisées sur quatre meurent sans un proche à leur côté », remarque Marie de Hennezel, psychothérapeute qui dit aussi : « Parler de la mort aide à vivre. »


À l’occasion des débats actuels on peut se réjouir de ce que la mort ne soit plus considérée comme l’échec d’une technique médicale, mais que l’on puisse en parler, comme d’une limite aux pouvoirs de la médecine. La mort n’est pas une maladie : les soins palliatifs ne visent pas à guérir, mais à alléger les souffrances.


Éric Hernandez, médecin et biologiste, présente les dispositions actuelles et discute les propositions de la « commission Sicard » sur la fin de vie.

Marie-Noële Duchêne

La fiche auteur de Marie-Noële Duchêne

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Pâques selon Marc,protestant

23 Avril 2014, 23:15pm

Publié par hugo

Liste des prédications > vidéo de la prédication





Pâques selon Marc


( Marc 16 )
(voir le texte de la prédication)


Culte du jour de Pâques 2014 à l'Oratoire du Louvre
prédication à deux voix par les pasteurs James Woody &Marc Pernot




Pâques : le redressement de la nouvelle économie du salut (Marc 16:1-8) , par James Woody (début à 07:30)
Quelle crédibilité ont nos expériences de foi ? (Marc 16:9-20), par Marc Pernot (début à 22:35)





film : Soo-Hyun Pernot


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Lecture de la Bible


Marc 16


Lorsque le sabbat fut passé, Marie de Magdala, Marie, mère de Jacques, et Salomé, achetèrent des aromates, afin d’aller embaumer Jésus.
2 Le premier jour de la semaine, elles se rendirent au sépulcre, de grand matin, comme le soleil venait de se lever.
3 Elles disaient entre elles: Qui nous roulera la pierre loin de l’entrée du sépulcre?
4 Et, levant les yeux, elles aperçurent que la pierre, qui était très grande, avait été roulée.
5 Elles entrèrent dans le sépulcre, virent un jeune homme assis à droite vêtu d’une robe blanche, et elles furent épouvantées.
6 Il leur dit: Ne vous épouvantez pas; vous cherchez Jésus de Nazareth, qui a été crucifié; il est ressuscité, il n’est point ici; voici le lieu où on l’avait mis.
7 Mais allez dire à ses disciples et à Pierre qu’il vous précède en Galilée: c’est là que vous le verrez, comme il vous l’a dit.
8 Elles sortirent du sépulcre et s’enfuirent. La peur et le trouble les avaient saisies; et elles ne dirent rien à personne, à cause de leur effroi.





(Ici se termine l'Evangile selon Marc dans les plus anciens manuscrits.
D'autres manuscrits ont une finale plus longue, ajoutant les versets 9 à 20 )


9 Jésus, étant ressuscité le matin du premier jour de la semaine, apparut d’abord à Marie de Magdala, de laquelle il avait chassé sept démons.
10 Elle alla en porter la nouvelle à ceux qui avaient été avec lui, et qui s’affligeaient et pleuraient.
11 Quand ils entendirent qu’il vivait, et qu’elle l’avait vu, ils ne le crurent point.
12 Après cela, il apparut, sous une autre forme, à deux d’entre eux qui étaient en chemin pour aller à la campagne.
13 Ils revinrent l’annoncer aux autres, qui ne les crurent pas non plus.
14 Enfin, il apparut aux onze, pendant qu’ils étaient à table; et il leur reprocha leur incrédulité et la dureté de leur coeur, parce qu’ils n’avaient pas cru ceux qui l’avaient vu ressuscité.
15 Puis il leur dit: Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la création.
16 Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné.
17 Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: en mon nom, ils chasseront les démons; ils parleront de nouvelles langues;
18 ils saisiront des serpents; s’ils boivent quelque breuvage mortel, il ne leur feront point de mal; ils imposeront les mains aux malades, et les malades, seront guéris.
19 Le Seigneur, après leur avoir parlé, fut enlevé au ciel, et il s’assit à la droite de Dieu.
20 Et ils s’en allèrent prêcher partout. Le Seigneur travaillait avec eux, et confirmait la parole par les miracles qui l’accompagnaient.


Traduction NEG

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