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Le blog de hugo,

Ce que l'on sait du meurtre de Vanesa Campos, prostituée tuée au bois de Boulogne,femmes,violences,

30 Août 2018, 12:04pm

Publié par hugo

 
Ce que l'on sait du meurtre de Vanesa Campos, prostituée tuée au bois de Boulogne
La prostituée transexuelle, arrivée du Pérou il y a deux ans, a été abattue d'une balle dans le thorax. Cinq personnes sont mises en examen.
Une marche blanche a été organisée vendredi 24 août 2018 en mémoire de Vanesa Campos.  (LIONEL BONAVENTURE / AFP)
Mahaut Landaz
franceinfo
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publié le 29/08/2018 | 18:51
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Vanesa Campos, une prostituée transgenre de 36 ans, arrivée du Pérou en 2016, a été tuée dans la nuit du 16 au 17 août, au bois de Boulogne, à Paris. Franceinfo résume ce que l'on sait de ce meurtre dénoncé par plusieurs associations de travailleurs du sexe.
Vanesa Campos est morte en tentant d'empêcher des hommes de dépouiller un client
Le déroulement des faits n'est pas complètement éclairci mais, selon les témoignages recueillis par Libération, Vanesa Campos aurait appelé à l'aide vers 23 heures, depuis l'intérieur du bois. "Elle a crié pour nous avertir qu'un groupe d'hommes armés étaient en train de débarquer au niveau de sa zone de travail, raconte au quotidien l'une de ses collègues. A ce moment précis, nous étions une grande majorité à être déjà occupées avec nos clients, mais on s’est toutes mises à courir pour lui venir en aide. C’est là qu’on a entendu un premier coup de feu."
Le corps dénudé de Vanesa Campos est retrouvé sans vie moins d'une heure plus tard. Elle avait tenté d'empêcher plusieurs hommes de dépouiller un client, mais les agresseurs se sont "acharnés sur elle", affirme un policier au Parisien. L'autopsie a révélé qu'elle n’avait pas été tuée par arme blanche mais par balle, précise le journal, ainsi qu'une source proche du dossier à l'AFP.
Selon Le Canard enchaîné, le pistolet qui a tué la prostituée appartenait à un policier. L'agent avait laissé son arme avec un chargeur dans sa voiture au bois de Boulogne et se l'est fait voler quelques jours plus tôt, affirme le journal satirique. Contactés par franceinfo, ni le préfecture de police ni le parquet de Paris n'ont souhaité commenter cette information du journal.
Des associations signalent "d'autres agressions antérieures"
Selon le communiqué du Syndicat du travail sexuel et d'Acceptess-T, cette attaque "fait suite à d'autres agressions antérieures". D'après l'une des témoins interrogée par Libération, "ils étaient deux ou trois hommes à être là quasiment tous les soirs, à venir nous racketter ou voler dans la voiture de nos clients". Mais Vanesa Campos ne se laissait pas faire et "était une meneuse dans le combat" contre ces bandes qui sévissent "depuis trois ans" dans le bois, explique à l'AFP son "amie et collègue" Romina, une femme trans qui vient d'Equateur.
Des associations mettent en cause la loi qui pénalise les clients des prostitués – ils sont désormais passibles d'une amende de 1 500 euros. Elle "est responsable à 100% de la mort de Vanesa", expliquent des organisations présentes lors d'une marche blanche organisée vendredi 24 août, car elle pousse les prostituées à exercer dans des endroits plus isolés, à l'écart de la police, où elles sont plus exposées aux agressions.
Cinq personnes ont été mises en examen
Huit personnes ont été interpellées le 21 août et placées en garde à vue dans le cadre de l'enquête diligentée par la brigade criminelle. Cinq d'entre elles, âgées de 16 à 30 ans, ont été mises en examen et placées en détention provisoire pour "meurtre commis en bande organisée" et "vols en réunion avec dégradation" après l'ouverture de l'information judiciaire.
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https://www.francetvinfo.fr/societe/prostitution/ce-que-l-on-sait-du-meurtre-de-vanesa-campos-prostituee-tuee-au-bois-de-boulogne_2916049.html

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Agression filmée à Paris : Marie Laguerre a formellement identifié son agresseur sur photo, l'homme a reconnu les faits,femmes,violences,

30 Août 2018, 12:01pm

Publié par hugo


Agression filmée à Paris : Marie Laguerre a formellement identifié son agresseur sur photo, l'homme a reconnu les faits
Le suspect va être déféré au parquet de Paris en vue de sa comparution jeudi devant le tribunal.
La jeune femme a été frappée au visage à Paris, le 24 juillet 2018. (CAPTURE ECRAN / MARIE LAGUERRE)
franceinfo
Radio France
Mis à jour le 29/08/2018 | 16:59
publié le 29/08/2018 | 16:26
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Marie Laguerre, l'étudiante parisienne de 22 ans qui avait publié sur les réseaux sociaux cet été les images de vidéosurveillance de son agression survenue à Paris, a affirmé mercredi 29 août sur franceinfo avoir formellement "reconnu sur photos" son agresseur plus tôt dans la journée. L'homme était en garde à vue depuis lundi, il va être déféré au parquet de Paris en vue de sa comparution jeudi devant le tribunal, a appris franceinfo de source judiciaire.
La confrontation dans les locaux du commissariat du 19e arrondissement de la capitale n'a pas été nécessaire, l'homme ayant "reconnu les faits" dans sa déposition, selon la jeune femme.
"J'étais censée l'identifier dans une pièce, pour voir si j'étais capable de le reconnaître, mais étant donné qu'il a reconnu les faits et que je l'avais déjà reconnu sur photos, je n'ai pas eu besoin de l'identifier dans une pièce, sa déposition a suffi", a déclaré Marie Laguerre.
"Il reconnaît les faits et il les explique par le fait qu'apparemment - je cite ses mots - je me dandinais dans la rue et que je suis passée exprès devant lui, ou quelque chose comme ça. Je pense qu'il aura la chance de s'exprimer jeudi pendant le jugement, donc il expliquera très certainement avec ses mots", a assuré Marie Laguerre.
Pas de justification ni d'explication
Les faits remontent au 24 juillet dernier, devant un café du 19e arrondissement de la capitale. Sur les images de vidéo surveillance, on voit un homme lancer un cendrier à la jeune femme puis venir la frapper en plein visage, devant plusieurs témoins médusés qui assistent à la scène depuis la terrasse du bar.
Interrogée sur les motivations de son agresseur, Marie Laguerre a simplement ajouté: "J'ai juste relu sa déposition pour voir si ça concordait avec la mienne, ce qui était le cas, mais je n'ai pas eu de justification sur pourquoi il a réagi comme ça".
Mais on la connaît, l'explication. Il estimait avoir le droit d'importuner les femmes dans la rue
Marie Laguerre
à franceinfo
"Le fait que je réponde", poursuit la jeune femme, "ça l'a sûrement blessé dans son ego, dans sa virilité, et il a eu une réaction violente".
"Ce n'est pas un cas isolé, et c'est important d'agir, de réagir, pour faire bouger les choses", a expliqué Marie Laguerre, qui a lancé une plateforme pour recueillir des témoignages sur les violences subies dans la rue par les femmes.
Le parquet de Paris avait ouvert une enquête pour "violence volontaire avec arme et harcèlement sexuel" le 30 juillet, à la suite de la plainte de la jeune femme.
A lire aussi

https://www.francetvinfo.fr/societe/harcelement-sexuel/agression-filmee-a-paris-marie-laguerre-a-formellement-reconnu-son-agresseur-sur-photo-l-homme-lui-a-reconnu-les-faits_2916279.html

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Le plaidoyer du basketteur Stephen Curry pour une éducation féministe,femmes,feminisme,

30 Août 2018, 11:57am

Publié par hugo

 Le plaidoyer du basketteur Stephen Curry pour une éducation féministe
 
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Le joueur Stephen Curry et sa fille Riley Curry
 
Par Marguerite Nebelsztein
Publié le Mardi 28 Août 2018

Dans une lettre inspirante, le joueur de basket américain Stephen Curry s'engage fermement pour l'égalité. Un exemple qu'on aimerait voir plus.

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Comme on le répète souvent, les femmes ont besoin d'alliés. Si les hommes ne se décident pas à lâcher leur position dominante et leurs privilèges, les femmes féministes auront beau faire tout ce qu'elles peuvent, elles protesteront dans le vent.
Là, c'est une grande figure du basket américain qui a décidé d'ouvrir la voie pour l'égalité. Le joueur de basket de 30 ans, Stephen Curry, meneur de l'équipe des Warriors de Golden States en Californie et champion de NBA, a écrit une lettre intitulée "This is personal" ("C'est personnel") sur le site The Players Tribune. Une magnifique lettre de soutien à l'égalité.
 
Le joueur, qui a deux petites filles, commence par parler du fait qu'il a été élevé par sa mère Sonya, fondatrice d'une école Montessori. Il évoque aussi sa femme qui est entrepreneuse. Il explique alors : "J'ai reçu cette éducation sur ce que cela veut dire d'être une femme en Amérique".
Il se dit fier que l'une de ses filles veuille devenir une "basketteuse cuisinière" et que ses parents soient devenus pour elle des modèles. Le fait que ses deux fillettes grandissent constitue pour lui un challenge : "Je mentirais si je n'admettais pas que l'idée de l'égalité des femmes est devenue un peu plus personnelle pour moi dernièrement."
 
Le joueur ajoute : "Je veux que nos filles grandissent en sachant qu'il n'y a pas de limites à leur avenir, un point c'est tout. Je veux qu'elles grandissent dans un monde où leur sexe n'est pas ressenti comme des règles sur ce qu'elles devraient penser ou être, ou faire. Et je veux qu'elles grandissent en estimant qu'elles peuvent rêver grand et s'efforcer d'avoir une carrière où elles seront traitées équitablement. Et bien sûr : payées à parts égales."
"Sois toi-même. Sois bonne et essaie d'être géniale"
Stephen Curry raconte également son expérience d'un camp de basket avec 200 petites filles la semaine précédant l'écriture de sa lettre. Dans leur entraînement, il a été impressionné par leur implication. En dehors du terrain, il a aussi été étonné par leur maturité. Lors d'une discussion avec un panel de femmes entrepreneuses, les jeunes filles avaient de nombreuses questions sur ce qu'est être une femme dans le monde adulte et de l'entreprise.
"Une des filles a demandé à Ariel Johnson Lin, vice-presidente chez JPMorgan Chase & Co., de quelle façon, au cours d'une réunion d'affaires et qu'elle a une excellente idée- mais que la réunion est composée de huit hommes et d'elle en tant que seule femme- elle réfléchirait à la façon de transmettre son idée. Est-ce qu'elle changerait sa façon de formuler les choses, ou son langage corporel, ou son ton de voix, en fonction du déséquilibre entre les sexes dans son milieu de travail ?"
Il poursuit : "J'ai été époustouflé. Je veux dire, nous parlons ici d'une enfant de 14 ans qui a les connaissances et la sophistication nécessaires pour amener une simple session de questions-réponses à ce niveau. Et des questions comme la sienne - ce sont vraiment les questions que les jeunes femmes continuent de se poser au sujet du milieu de travail en 2018."
 
Stephen Curry en vient à la conclusion que si les jeunes filles se posent ces questions, c'est qu'elles sont résignées sur l'existence du système qui les domine mais qu'elles veulent s'adapter : "C'est parce que c'est encore si profondément enraciné en elles, même en 2018, que l'inégalité n'est qu'une chose à laquelle il faut s'attendre."
Le meneur des Warriors de Golden State raconte que ce moment du camp de basket a été le plus fort et qu'il lui a donné l'envie d'aller plus loin. Il donne aussi dans sa lettre la réponse qu'Ariel Johnson Lin a donnée à cette adolescente de 14 ans : "Sois toi-même. Sois bonne et essaie d'être géniale – mais sois toujours toi-même." Il décrit alors la réaction du public : "Vous pouviez voir toutes les filles du camp hocher de la tête à l'unisson et je dois être honnête : cela a été un moment très fort pour moi."
Nous avons besoin de plus de Stephen Curry
Cette lettre du champion est salutaire. Le féminisme est encore plus fort quand il n'est pas qu'une question de penseuses et penseurs éloigné·e·s du terrain. Il faut des figures grand public pour faire prendre conscience au plus grand nombre les enjeux de l'égalité. En cela, Stephen Curry est un formidable allié. Dans le sport, mais pas seulement.
On peut également noter son bel engagement en faveur du sport féminin quand il écrit : "Cela n'est pas 'du basket de femmes'. C'est juste du basket. Joué par des femmes, et célébré par tout le monde". Point barre, comme il n'existe pas de football féminin mais des équipes féminines de football.
 
En France, on aimerait que de telles figures s'engagent autant alors que ces derniers mois, la simple défense de la sécurité des femmes a déclenché une avalanche de suspicion et de démontage en règle.
Comment élever un garçon ?
Le meneur des Warriors de Golden States lance un message pour l'avenir : "Travaillons à combler le manque de possibilités pour les femmes. Travaillons à combler l'écart de rémunération."
Cet été, Stephen Curry et sa compagne Ayesha Curry ont eu leur premier garçon et le couple se pose aujourd'hui la question de comment élever leur fils Canon. "Je sais déjà, en me basant uniquement sur son sexe, que Canon aura probablement des avantages dans la vie dont ses soeurs ne peuvent que rêver. Comment en tant que parent je peux me sentir à l'aise avec ça ?"
Alors comment faire différemment ? : "Je pense que la réponse est assez simple. Je pense que tu lui dis la même chose que nous avons dite à ces filles la semaine dernière à notre camp : Sois toi-même. Sois bon, et essaie d'être génial - mais sois toujours toi-même. Je pense que vous lui apprenez à toujours rester à l'écoute des femmes, à toujours croire en elles."
Il incite chacun·e à passer une bonne fois pour toutes à l'action : "Pour être un véritable défenseur de l'égalité des femmes - il ne suffit plus d'en apprendre davantage à ce sujet. Vous devez le faire. On est en 2018 : l'école est finie. Il est temps d'aller travailler."
Alors au travail !
Monde Société Etats-Unis sport égalité salariale inégalités education News essentielles féministes

http://www.terrafemina.com/article/egalite-femmes-hommes-la-tribune-feministe-du-basketteur-stephen-curry_a344776/1

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Silent Voice, un film courageux sur le handicap et le harcèlement scolaire,handicap,societe,

30 Août 2018, 11:55am

Publié par hugo

Accueil > Arrêt sur la toile > Silent Voice, un film courageux sur le handicap et le harcèlement scolaire
 
Le handicap est un sujet souvent abordé dans les mangas. Il reste pourtant tabou dans la société japonaise.
Silent Voice, un film courageux sur le handicap et le harcèlement scolaire
Claudine Colozzi il y a 3 jours Arrêt sur la toile 2 Commentaires 2,560 Vues
Actuellement en salles, Silent Voice, film d’animation japonais, aborde le thème du handicap et du harcèlement scolaire. Cette adaptation d’un manga à succès de Yoshitoki Oima doit sa sortie en France à une campagne de financement participatif.
Silent Voice aura mis du temps à sortir sur les écrans français. La surdité, le harcèlement scolaire, deux thèmes délicats qui ont, semble-t-il, fait hésiter les professionnels. Grâce à une campagne de financement participatif d’Art House Film, jeune société de distribution, il est visible en France depuis le mercredi 22 août.
Avant d’être un film d’animation, Silent Voice est un manga à succès. Le premier à mêler ces deux thématiques. Son auteure, la jeune mangaka Yoshitoki Ōima, a été sensibilisée à ces sujets grâce à sa mère, interprète en langue des signes. Elle l’a beaucoup conseillée dans sa manière de dessiner les échanges entre ses personnages.
Harcelée du fait de sa surdité
L’histoire ? Celle de Nishimiya, une élève douce et attentionnée. Pourtant, chaque jour, Ishida se moque d’elle et de sa surdité. Son harcèlement va croissant jusqu’à détruire les appareils auditifs de la jeune fille sous l’œil complice des autres élèves de la classe. Dénoncé pour son comportement, le garçon est à son tour mis à l’écart. Des années plus tard, il apprend la langue des signes. Et part à la recherche de la jeune fille pour tenter de se racheter.
Beaucoup de critiques saluent la qualité de ce film d’animation. Télérama note que Silent Voice ose s’attaquer à deux sujets tabous au Japon, « un pays où le handicap physique ou psychique est un objet de honte, une source de problèmes ». Et Le Monde parle d’un film qui « représente une jeunesse composite, hésitante et incertaine, dont le défi majeur est d’accepter sa propre diversité contre les réflexes grégaires et le conformisme qui la menacent ».
 
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Pour Paris Match, le film « surprend en délaissant rapidement les “ijime” (les brimades, “mal” récurrent des établissements scolaires nippons) pour suivre le long chemin vers la rédemption du héros tout en tenant un vrai discours sur le handicap et son acceptation par la société ».
 
Par souci de véracité, le doublage français du personnage de la jeune femme a été confié à Mélanie Deaf. Cette Youtubeuse sourde de naissance vulgarise la langue des signes grâce à ses vidéos. Un excellent choix qui prouve la volonté de porter un coup de projecteur différent sur le handicap.
Consultez la liste des salles où est projeté Silent Voice.
L’intégrale des sept tomes du manga est éditée chez Ki-oon.

https://www.faire-face.fr/2018/08/27/silent-voice-film-handicap-harcelement-scolaire/

MERCI  POUR CEUX  QUI ME DIRONT  DES CRITIQUES POSITIVES NEGATIVES SUR LE MANGA, 

QUI L A  VUE  ????

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VIDEO. “I have a dream“ : il y a 55 ans, ce discours a marqué le monde,politiques,racisme,histoire,usa

29 Août 2018, 11:44am

Publié par hugo

 VIDEO. “I have a dream“ : il y a 55 ans, ce discours a marqué le monde
C’est une prise de parole qui a marqué son époque mais pas seulement. Le 28 août 1963, Martin Luther King, un pasteur très engagé dans le mouvement pour les droits civiques, s’exprimait sur les marches du Abraham Lincoln Mémorial de Washington. Devant environ 250 000 personnes, il confiait son rêve d’unité et de paix.
 
 

BRUT
Brut.
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Mis à jour le 29/08/2018 | 10:59
publié le 29/08/2018 | 10:59
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Une volonté d’égalité
Alors que le sud des États-Unis est toujours sous le régime de la Ségrégation et que les mouvement pour les droits civiques sont en plein essor, Martin Luther croit plus que tout en l’égalité pour tous les Américains, comme cela est inscrit dans la Constitution américaine. "Je fais un rêve, qu’un jour notre pays se lèvera et vivra pleinement la réalité de son credo : "Nous tenons ces vérités pour évidentes par elles-mêmes que tous les hommes sont créés égaux."
Au-delà de cette égalité, le pasteur espère surtout que les blessures du passé esclavagiste du pays finiront par cicatriser. Ainsi, il aime penser à ce moment où les "fils d’anciens esclaves et ceux d’anciens propriétaires d’esclaves, pourront s’asseoir ensemble à la table de la fraternité". Pour lui, même des États comme le Mississippi, où règne alors une violence sans commune mesure contre les personnes de couleur, ont le potentiel pour devenir des "oasis de justice et de liberté".
Pendant ce discours, Martin Luther King jr. évoque également ses filles. Toutes les quatre représentent les enfants mais aussi les adultes de couleur qui, selon son désir, pourront "vivre dans une nation où ils ne seront pas jugés sur la couleur de leur peau, mais sur la valeur de leur caractère". Ce discours marquant a eu 55 ans le lundi 27 août.
A lire aussi

https://www.francetvinfo.fr/monde/usa/video-i-have-a-dream-il-y-a-55-ans-ce-discours-a-marque-le-monde_2915953.html

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Le vrai du faux. Non, la loi Schiappa ne légalise pas la pédophilie et ne prévoit pas des cours de masturbation dès la maternelle,articles femmes hommes,societe

29 Août 2018, 11:40am

Publié par hugo

 Le vrai du faux. Non, la loi Schiappa ne légalise pas la pédophilie et ne prévoit pas des cours de masturbation dès la maternelle
Antoine Krempf passe au crible des faits repérés dans les médias et les réseaux sociaux. Aujourd'hui, la loi Schiappa qui légaliserait la pédophilie et prévoirait des cours de masturbation pour la rentrée prochaine.

00'00
-02'33
 
Antoine Krempf
Radio France
Mis à jour le 29/08/2018 | 09:18
publié le 29/08/2018 | 08:34
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Capture d'écran d'une vidéo postée sur les réseaux sociaux. (CAPTURE D'ÉCRAN)
La loi Schiappa a été évoquée à de maintes reprises ces dernières semaines, mais il semblerait qu'une piqure de rappel s'impose. Au-delà du débat légitime sur le bien-fondé ou le contenu de cette loi promulguée cet été, il y a un mouvement massif de désinformation et d'innombrables appels à boycotter la rentrée des classes lundi prochain.
Certains extraits de vidéos issus de YouTube en témoignent. Voilà donc l'illustration de deux arguments de vidéos visionnées des dizaines de milliers de fois : la loi Schiappa légaliserait de fait la pédophilie et instaurerait des cours de masturbation dès la maternelle.
La présomption de non-consentement n'existe pas
Concernant la légalisation de la pédophilie il faut savoir que le texte de Marlène Schiappa n'a pas changé un principe de base, à savoir que toute relation entre un majeur et mineur de moins de 15 ans est illégale. Il est question a minima d'atteinte sexuelle. La loi n'a fait que renforcer la peine encourue : elle est désormais de 7 ans de prison et 100 000 euros d'amende.
Quant à la question du consentement, le gouvernement voulait initialement instaurer une présomption de non-consentement, qu'il soit plus simple pour la justice de qualifier de viol ou d'agression sexuelle des actes commis par un majeur et un mineur de moins de 15 ans. Toutefois, le Conseil d'État a évoqué le fait que cela pourrait porter atteinte à la présomption d'innocence, un droit fondamental protégé par la Constitution.
Cette idée de présomption de non-consentement a donc été abandonnée et le texte ne change pas fondamentalement ce qui existait déjà auparavant.
Pas d'éducation sexuelle dans la loi Schiappa
Ainsi il n'est pas question de légaliser la pédophilie en France. Les cours d'éducation sexuelle ne figurent pas dans la loi Schiappa. La Secrétaire d'État a certes annoncé cet été qu'elle allait demander aux recteurs de relancer ces cours à la rentrée mais elle n'invente rien puisqu'ils existent depuis une loi de 2001. Ces cours ne sont pas dispensés à des élèves de maternelle mais du primaire au lycée et les cours sont, évidemment, adaptés à l'âge des enfants.
Enfin pour cette histoire de masturbation, il s'agit d'une vieille intox issue d'un rapport d'experts affiliés à l'OMS, loin de ce qui est prévu dans les programmes de l'Éduction nationale.
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https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-vrai-du-faux/le-vrai-du-faux-non-la-loi-schiappa-ne-legalise-pas-la-pedophilie-et-ne-prevoit-pas-des-des-cours-de-masturbation-des-la-maternelle_2896401.html

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Dans une pétition, un collectif réclame à Emmanuel Macron des centres d'accueil pour les femmes SDF,femmes,violences,viol

29 Août 2018, 11:37am

Publié par hugo

 Dans une pétition, un collectif réclame à Emmanuel Macron des centres d'accueil pour les femmes SDF
Le collectif Réchauffons nos SDF veut alerter sur la situation des femmes sans abri, fréquemment victimes de violences et de viols, y compris dans les centres d'hébergement.
Une femme sans abri, à Paris, le 19 novembre 2014. (JOEL SAGET / AFP)
franceinfo
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Mis à jour le 29/08/2018 | 08:16
publié le 28/08/2018 | 23:29
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Impôt sur le revenu : les réponses aux questions que vous vous posez sur le prélèvement à la source
"Le quotidien d'une femme SDF consiste à fuir les multiples agressions dont elle est victime", écrit Sarah Frikh, du collectif Réchauffons nos SDF. Dans une pétition qui a recueilli plus de 190 000 signatures en huit mois, elle demande à Emmanuel Macron de mettre en place des centres d'accueil pour les femmes sans domicile fixe "tenus par des femmes", précise Le Parisien, mardi 28 août.
"Monsieur le Président, vous avez fait de la cause des femmes une priorité de votre quinquennat. Les femmes SDF sont doublement vulnérables", interpelle la militante, qui a également lancé une collecte de fonds pour rénover un hébergement d'urgence qui pourrait accueillir huit femmes.
A Paris, 2 400 places sur 10 000 sont réservées aux femmes dans les centres d'hébergement. En France, selon l'Insee, deux SDF sur cinq sont des femmes, rappelle Le Parisien. Elles "sont régulièrement victimes de viol et de violences, y compris dans les centres d’hébergement, dans lesquels elles n'osent plus se rendre", ajoute le quotidien. C'est pourquoi Sarah Frikh souhaite que des établissements soient réservés aux femmes, "pour leur offrir sécurité, dignité et leur apporter l’accompagnement spécifique nécessaire".
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PAS  NORMAL   DE LAISSER LES SDF   A L A RUE  DANS  CERTAIN PAYS ON LES  MET QUELQUE PART, ils ont le d roit a  un logement 

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Allemagne : des rassemblements extrémistes sèment le trouble à Chemnitz,racisme,

29 Août 2018, 11:35am

Publié par hugo

 Allemagne : des rassemblements extrémistes sèment le trouble à Chemnitz
À Chemnitz, en Allemagne, des centaines de militants d'extrême droite sont descendus dans la rue pour s'en prendre à des étrangers, les 26 et 27 août derniers.
 
 

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publié le 28/08/2018 | 22:48
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Les images ont choqué l'Allemagne entière. Dans les rues de la ville de Chemnitz, on y voit des néonazis et sympathisants d'extrême droite semer le trouble. Les 26 et 27 août, des centaines d'extrémistes s'en sont pris à des étrangers. Face à ces scènes de violence, Angela Merkel a décidé de prendre la parole pour mettre en garde son pays : "Nous avons des vidéos de chasses collectives, de haine dans la rue, cela n'a rien a faire dans un État de droit".
De nouvelles manifestations ?
Tout a commencé après la mort d'un Allemand, tué à coups de couteau dans une rixe. La police a arrêté deux suspects, un Syrien et un Irakien. Depuis, l'extrême droite souffle sur les braises avec le soutien du parti Alternative pour l'Allemagne (AfD), principal parti d'opposition, dont un député a même justifié le recours à la violence sur les réseaux sociaux. Face à ce climat de tension, le climat est tendu dans la ville, surtout pour les ressortissants étrangers. L'extrême droite a appelé à d'autres manifestations, mardi 28 août.

https://www.francetvinfo.fr/monde/europe/allemagne/allemagne-des-rassemblements-extremistes-sement-le-trouble-a-chemnitz_2915353.html

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Au Maroc, le cauchemar d'une ado violée et tatouée de force crée l'émoi,femmes,violences,viol

29 Août 2018, 11:24am

Publié par hugo

Au Maroc, le cauchemar d'une ado violée et tatouée de force crée l'émoi
 
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Un dessin en soutien à Khadija Okkarou
 
Par Marguerite Nebelsztein
Publié le Lundi 27 Août 2018

La vidéo d'une adolescente témoignant de sa séquéstration pendant deux mois par des hommes secoue le Maroc. Tatouée de force et violée, elle a trouvé le courage de porter plainte.

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Embrassée de force en direct pendant la Coupe du Monde,...
Une jeune Marocaine de 17 ans a eu le courage de témoigner de son calvaire. Dans une vidéo publiée le 21 août et disponible sur le compte Youtube de la chaîne Chouftv, Kahdija Okkarou a raconté comment plusieurs hommes l'ont séquestrée, violée et tatouée de force.
Dans son témoignage, elle affirme avoir été enlevée il y a trois mois devant la maison de sa tante dans le centre du Maroc, à Fkih ben Salah.
Dans des propos traduits par l'AFP, elle décrit son calvaire : "Ils m'ont séquestrée pendant près de deux mois, violée et torturée, (...) je ne leur pardonnerai jamais, ils m'ont détruite."
Sur les images de la vidéo, on voit ses bras et ses jambes couverts de tatouages dégradants, comme une croix gammée. Sa peau est aussi parcourue de brûlures de cigarettes.
Le témoignage de Kahdija Okkarou
Certains de ces propos de la vidéo ont été traduits par le site d'information marocain TelQuel : "Pendant le mois du ramadan, je suis allée passer une semaine chez ma tante. J'étais devant la porte du domicile de ma tante et un groupe d'homme m'a kidnappée et m'a emmenée dans un terrain vague que je ne connais pas."
Elle poursuit en décrivant les sévices dont elle a été victime : "On m'a tatouée et brûlé le corps sans que j'en sois consciente. Je n'arrêtais pas de pleurer et j'ai essayé de fuir à plusieurs reprises, mais ils ont réussi à m'attraper. Ils m'ont alors frappée [...]Ce sont des criminels qui ne me donnaient ni à manger, ni boire et ne m'autorisaient pas à me laver."
Dans un premier temps, son père en lien avec les ravisseurs, a promis que s'il récupérait sa fille, il ne dirait rien à la police. Apparemment convaincus, les agresseurs de Kahdija Okkarou l'ont déposée en moto devant chez elle.
 
Vague de soutien en ligne
Mais la jeune fille ne compte pas se laisser faire et elle a porté plainte. L'AFP rapporte l'interpellation de douze personnes et le père de la victime affirme que trois des agresseurs ont été arrêtés le 25 août. La première audience du procès aura lieu selon lui le 6 septembre. Selon le site TelQuel, le président de l'Association marocaine des droits humains affirme que six avocats et membres de l'association défendront l'adolescente.
Une vague de messages a déferlé sur les réseaux sociaux pour soutenir la jeune victime avec les hashtags #noussommestouskhadija ou #JusticePourKhadija. Plusieurs personnes ont déjà proposé leurs services pour détatouer la jeune fille, dont un cabinet de Rabat.
 

 
Un dessin de soutien de l'illustratrice _artbynada_ a été partagé près de 8000 fois sur Facebook. Il a été repris sur Twitter et Instagram où elle déclare : "J'espère toucher le plus de gens possible et alerter sur cette réalité triste dans laquelle nous vivons. Je suis heureuse que tant de gens réagissent à ce dessin et continuent à le partager."
 
Une loi sur les violences faites aux femmes insuffisante
Depuis 2014, la loi proposant au violeur d'épouser leur victime pour éviter la prison a été abrogée. Cela faisait suite au viol d'Amina Filali qui s'était suicidée deux ans auparavant contrainte d'épouser son violeur.
En 2016, une adolescente de seize ans s'était immolée par le feu après un viol collectif et après que ses agresseurs l'aient fait chanter en menaçant de diffuser les vidéos du viol. L'émoi avait gagné le Maroc alors que les hommes arrêtés avait été placés en liberté provisoire avant leur procès. Ils avaient été condamnés à des peines entre huit et vingt ans de prison.
Selon un rapport datant de juin 2018 et présenté par le procureur général du roi près de la Cour de cassation, les affaires de viols seraient passées de 800 en 2016 à 1600 en 2017. Ce qui peut montrer que les victimes hésitent moins à porter plainte qu'auparavant.
Une loi sur les violences faites aux femmes a été votée début 2018 par le Maroc mais beaucoup d'associations et d'organisations lui reproche de ne pas aller assez loin dans la défense des victimes. Pour avoir justice par exemple, la victime doit engager elle-même des poursuites, ce que beaucoup ne peuvent pas faire comme le dénonce Human Rights Watch.
Il faudra peut-être d'autres cas comme celui de Kahdija Okkarou malheureusement pour faire bouger le royaume du Maroc, très conservateur, comme cela avait été le cas pour Amina Filali.
Monde Viol Violences femmes News essentielles droits des femmes

http://www.terrafemina.com/article/maroc-le-cauchemar-d-une-ado-violee-et-tatouee-de-force-cree-l-emoi_a344760/1

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Éducation sexuelle en maternelle : Marlène Schiappa dément les rumeurs,articles femmes hommes,

29 Août 2018, 11:21am

Publié par hugo

 Éducation sexuelle en maternelle : Marlène Schiappa dément les rumeurs
La secrétaire d'État à l'Égalité entre les hommes et les femmes a vivement démenti la mise en place de cours d'éducation sexuelle en maternelle, comme l'affirment plusieurs publications virales.
Marlène Schiappa lors de sa conférence en sortie du conseil des ministres le 21 mars 2018
Crédit : LUDOVIC MARIN / AFP
 
Caroline Drzewinski 
et AFP
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publié le 29/08/2018 à 00:48
Une rumeur mensongère. Marlène Schiappa s'est insurgée mardi 28 août contre des publications virales affirmant que des cours d'éducation sexuelle seront dispensés à la maternelle et "apprendront la masturbation" aux enfants.
"Il est hors de question d'enseigner ni la masturbation, ni aucune pratique sexuelle à des enfants, et encore moins à 4 ans", a-t-elle déclaré lors d'un "Facebook Live" organisé par la République en marche, en réponse à des questions d'internautes. La secrétaire d'État à l'Egalité entre les femmes et les hommes a mis en garde contre de faux documents, partagés sur les réseaux sociaux, qui dévoileraient le contenu de séances d'éducation sexuelle.
"J'ai passé l'été à voir circuler sur les réseaux sociaux que le gouvernement était sataniste, que nous avions légalisé la pédophilie, que nous allions apprendre la masturbation à la maternelle... Ai-je vraiment besoin de démentir ?", s'est insurgée Marlène Schiappa.
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Une campagne de désinformation
Selon elle, ces "fausses informations", "sans source", émanent "de tracts imprimés on ne sait pas par qui et de fausses vidéos publiées sur des sites conspirationnistes". "Les extrémistes qui diffusent cela, copient-collent des argumentaires déjà utilisés contre Najat Vallaud-Belkacem (...). Nous sommes sur des sujets brûlants qui prêtent parfois aux fantasmes et interprétations", a-t-elle ajouté, appelant les parents à ne croire que leur établissement, l'équipe éducative, les préfectures et la loi.
L'ancienne ministre de l'Éducation nationale Najat Vallaud-Belkacem avait été victime d'une campagne de désinformation semblable, concernant les "ABCD" de l'égalité pour déconstruire les stéréotypes filles-garçons. Lancés à l'automne 2014, ils avaient été abandonnés après plusieurs mois de polémique donnant lieu à des rumeurs infondées, notamment sur la masturbation en maternelle.
Des cours d'éducation sexuelle au lycée
Marlène Schiappa a annoncé en juillet qu'une circulaire serait envoyée à partir de la rentrée aux recteurs pour qu'ils mettent en oeuvre la loi de 2001, qui prévoit trois séances annuelles d'éducation à la sexualité de l'école au lycée. Ces cours permettrait d'apprendre le "respect dû au corps humain" et d'acquérir une "vision égalitaire" des relations femmes-hommes.
 
Une enquête menée en 2015 auprès de 3.000 établissements scolaires (publics et privés) par le Haut conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes (HCE) a montré que cette loi n'était pas systématiquement mise en oeuvre. Près de 25% des écoles répondantes (contre 4% des collèges et 11,3% des lycées) déclaraient n'avoir mis en place aucune action ou séance.
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