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Revalorisation de l'AAH à 800,45 € : c'est officiel !,economie,handicape,

9 Octobre 2014, 03:16am

Publié par hugo

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Revalorisation de l'AAH à 800,45 € : c'est officiel !
Revalorisation de l'AAH à 800,45 € : c'est officiel !


Résumé : La revalorisation de l'AAH était annoncée mais il fallait attendre le décret pour être effective. C'est chose faite le 5 octobre 2014. Elle s'élève désormais à 800,45 euros à taux plein.

Par Handicap.fr / E. Dal'Secco le 06-10-2014
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L'allocation adulte handicapé (AAH), perçue par près d'un million de bénéficiaires, a été revalorisée pour atteindre 800,45 euros par mois, selon un décret publié le 5 octobre 2014 au Journal officiel. Cette allocation a pour objet de garantir un revenu minimum aux personnes handicapées pour qu'elles puissent faire face aux dépenses de la vie courante.


La revalorisation est applicable à compter du 1er septembre 2014. Le montant maximum passe ainsi de 790 à 800,45 euros par mois (+1,3%) pour une personne handicapée ne disposant d'aucune ressource. L'AAH est versée aux personnes handicapées de plus de 20 ans (16 ans sous certaines conditions). Elle est modulable en fonction des ressources du foyer et d'une éventuelle activité.


Le montant de l'allocation est calculé chaque trimestre. Elle est accordée aux personnes souffrant d'un «taux d'incapacité» supérieur à 80%. Entre 50 et 80% de taux d'incapacité, la personne doit être victime «d'une restriction substantielle d'accès à l'emploi» du fait de son handicap. La demande d'allocation doit être formulée auprès de la Maison départementale des personnes handicapées (MDPH) qui, le cas échéant, aidera la personne et la renseignera sur ses éventuels autres droits.


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"Tous droits de reproduction et de représentation réservés.© Handicap.fr. Cet article a été rédigé par Emmanuelle Dal'Secco, journaliste Handicap.fr"


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Allocations familiales : les députés PS relancent la polémique,politiques,economie,famille,

8 Octobre 2014, 21:36pm

Publié par hugo

Allocations familiales : les députés PS relancent la polémique
HOME ACTUALITE POLITIQUE
Par François-Xavier Bourmaud, Judith WaintraubMis à jour le 08/10/2014 à 19:56 Publié le 08/10/2014 à 19:15
«Cette proposition n'est pas celledu gouvernement. Nous allons en discuter avec les parlementaires», a indiqué Marisol Touraine
Le groupe socialiste a avancé l'idée d'une modulation en fonction des revenus. Une piste que ne rejette pas le gouvernement.


Débat explosif en vue. Mardi matin, lors d'une réunion de groupe, les députés socialistes ont émis l'idée d'une modulation des allocations familiales en fonction des revenus. La proposition n'est pas nouvelle. Elle avait déjà été formulée à gauche en 1997 par Lionel Jospin qui voulait les plafonner, à droite en 1996 par Alain Juppé qui voulait les fiscaliser. Face au tollé des associations familiales, tous deux avaient battu en retraite. À l'aube du débat sur le projet de budget de la Sécurité sociale pour 2015, avec 700 millions d'euros d'économies annoncées sur les prestations familiales et contestées au sein du groupe PS, la proposition des députés socialistes a semé le trouble. Ballon d'essai? Manœuvre pour souder les socialistes et accentuer le clivage avec la droite? Initiative incontrôlée? «Il n'y a pas eu de deal entre le gouvernement et le groupe PS», affirme un membre du gouvernement. «C'est le groupe qui porte le débat. Et, comme vous le savez, il n'y a pas de feu vert à donner» au groupe PS, confie le secrétaire d'État aux Relations avec le Parlement, Jean-Marie Le Guen.
«Plus nos revenus sont élevés, moins on touche d'allocations»


Très inquiets sur le vote du projet de loi de financement de la Sécurité sociale, redoutant de devoir recourir à l'arme du 49-3, les ministres semblent plutôt ouverts sur le sujet et sont prêts à laisser s'épanouir les discussions. «C'est une proposition qui a une force réelle», a ainsi réagi la ministre des Affaires sociales Marisol Touraine, ajoutant que «plus nos revenus sont élevés, moins on touche d'allocations». «Cette proposition n'est pas celle du gouvernement. Nous allons en discuter avec les parlementaires», a-t-elle ajouté mercredi sur France Info. En 2013, Touraine avait plaidé pour une baisse des allocations familiales mais le gouvernement avait finalement choisi de diminuer le quotient familial. «Un débat va s'engager», a par ailleurs indiqué le porte-parole du gouvernement Stéphane Le Foll. En réalité, des échanges ont lieu depuis plusieurs jours entre l'exécutif et le groupe PS sur le sujet. «Le débat n'est pas illégitime et Valls n'est pas gêné par ce débat», assure une source gouvernementale. François Hollande semble plus réservé mais ne ferme pas non plus la porte. La modulation des allocations est «un principe qui pour l'instant est en discussion et n'a pas été retenu», a-t-il dit lors d'un déplacement en Italie.
Cambadélis a jugé «normale» la modulation des allocations


Au sein du groupe socialiste, l'idée est largement partagée et dépasse le cadre des seuls frondeurs. Selon Bruno Le Roux, qui a rencontré mardi soir François Hollande, il s'agit même d'une «position très majoritaire» parmi les députés. «Est-ce que Bruno Le Roux est en service commandé?, s'interroge un député. En tout cas, cela ne peut pas venir du président de la République qui n'est pas engagé là-dedans. Peut-être que Bruno essaye de se réaffirmer en tant que président de groupe après avoir exclu les frondeurs des commissions. Pour lui, c'est une façon de rassembler en donnant des gages à la gauche.» La proposition a d'ailleurs été approuvée par le PS dont le premier secrétaire Jean-Christophe Cambadélis a jugé «normale» la modulation des allocations.
À droite, seule Nadine Morano approuve l'idée de moduler les allocations familiales. L'ex-secrétaire d'État à la Famille s'est dite «favorable à un plafonnement» qui tiendrait compte du revenu mais aussi du nombre d'enfants du foyer. Tous les autres tiennent à «l'universalité» des allocations familiales. Le député maire du Havre Édouard Philippe, pourtant juppéiste, se dit «très réservé» à l'idée de «toucher à la philosophie du système qui distingue l'impôt, correcteur d'inégalités, de la cotisation, qui relève de l'assurance». «Les allocations familiales n'ont pas pour but d'aider les uns au détriment des autres», rappelle François Fillon, en citant d'autres prestations, comme le complément familial, déjà soumises à des conditions de ressources. «Pourquoi sanctionner une politique qui marche et nous assure une forte démographie?», demande l'ex-premier ministre, tandis qu'Éric Woerth estime que «des coups de rabot ne font pas une politique familiale».
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La modulation des allocations familiales de nouveau évoquée,economie,familles,parents,

8 Octobre 2014, 21:33pm

Publié par hugo

La modulation des allocations familiales de nouveau évoquée
La modulation des allocations familiales de nouveau évoquée Moduler les allocations éviterait le plafonnement du congé parental à 18 mois pour chaque conjoint.8/10/2014
Marisol Touraine, qui présente aujourd’hui son budget de financement de la branche famille en conseil des ministres, s'est dite « prête à discuter de la proposition PS de modulation des allocations familiales, mais pour l'avenir »…
La ministre des Affaires sociales, Marisol Touraine, présente aujourd’hui en conseil des ministres sa réforme de la branche famille dans le cadre de la loi budgétaire pour la Sécurité sociale, avec comme objectif la réalisation de 700 millions d'économie. Hier, les députés du groupe socialiste de l’Assemblée se sont réunis pour préparer la session budgétaire. Dans cet objectif de restriction budgétaire, Laurence Dumont, l'une des vice-présidentes (PS) de l'Assemblée, avec le soutien de nombreux députés socialistes, a proposé de mettre « sous condition de ressources les allocations familiales ». Dans l’esprit des députés PS, cette solution permettrait d’éviter le plafonnement du congé parental à 18 mois pour chaque conjoint. Certains représentants du groupe socialiste sont en effet montés au créneau pour dénoncer cette mesure proposée la semaine dernière. Le plafonnement du congé parental à 18 mois pour les mères (et les pères) vise officiellement un partage « égalitaire » du congé parental entre hommes et femmes. Il a également pour but de réduire le déficit de la branche famille dans la mesure où dans les faits peu de pères prennent un congé parental. Le député de l’Hérault Sébastien Denaja, ancien rapporteur de la loi pour l’égalité réelle entre les femmes et les hommes, promulguée le 4 août dernier, a ainsi reconnu : « même si je suis totalement pour la parité, si on met le congé parental à 18 mois pour les pères dès maintenant, cela va se faire au détriment des mères. Cette loi (du 4 août) prévoit déjà un partage du congé parental, six mois étant octroyés aux hommes. » A noter qu’il n’a jamais été interdit aux pères de prendre un congé parental, de six mois ou plus…
Voilà en tous cas pourquoi les députés PS ont essayé d’explorer d’autres pistes, dont la modulation des allocations familiales selon les revenus.
Bruno Le Roux, le président du groupe socialiste à l’Assemblée rejoint cette ligne. Il pourrait d’ailleurs déposer un amendement en ce sens, selon ces dernières déclarations aux Echos. L’idée d’une telle modulation a été qualifiée de « logique et forte » ce mercredi matin par Marisol Touraine au micro de France Info, où elle était invitée. Mais la ministre des Affaires sociales n’a pas souhaité s’engager sur un calendrier précis. Elle a assuré que les prestations versées aujourd'hui aux familles ne diminueront pas dans un avenir proche.
Sources : France Info et Les Echos
Auteur : Christine Diego Hernandez > COMMENTER0
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Le projet de loi modifiant les prestations familiales reçoit un avis défavorable de la Cnaf,economie,france,famille,enfants,parents,

7 Octobre 2014, 22:22pm

Publié par hugo

Le projet de loi modifiant les prestations familiales reçoit un avis défavorable de la Cnaf
Le projet de loi modifiant les prestations familiales reçoit un avis défavorable de la Cnaf Le Projet de loi concernant le financement de la Sécurité sociale 2015 a reçu un avis défavorable6/10/2014
Le Projet de loi concernant le financement de la Sécurité sociale 2015 (Plfss), qui propose des mesures d’économie drastiques des prestations familiales, a reçu un avis défavorable du conseil d’administration de la Cnaf. De nombreux parents et associations se mobilisent également…
Vendredi 3 octobre dernier, la Cnaf (Caisse Nationale aux Allocations Familiales) a tenu son conseil d’administration avec comme ordre du jour : le Projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2015. Les administrateurs de la Cnaf ont émis un avis défavorable avec 28 voix contre (3 Cgt, 3 Fo, 2 Cftc, 2 Cgc, 5 Unaf, 6 Medef, 3 Upa, 3 Cgpme, 1 Profession libérale), 4 abstentions (3 Cfdt, 1 personne qualifiée) et 1 prise d’acte (1 personne qualifiée). La plupart des groupes ont justifié cet avis par le fait que le Plfss 2015 « répondait essentiellement à une logique de rigueur financière et d’austérité. » D’autres encore ont regretté « des mesures qui allaient aggraver les conditions de vie des familles et en particulier les plus modestes. »
La majorité des administrateurs ont surtout désapprouvé le projet de modulation de la prime à la naissance et à l’adoption en fonction du rang de l’enfant. Pour eux, ce changement « va peser sur le pouvoir d’achat des parents ». Pour rappel, la ministre de la santé et des affaires familiales, Marisol Touraine, a annoncé lundi 29 septembre de nouvelles mesures d’économie de la politique familiale, qui devraient aussi fortement impacter la réforme du congé parental votée en août 2014 ainsi que ses modalités. Le conseil d’administration de la Cnaf ne s’est toutefois pas prononcé sur cette nouvelle réforme du congé parental estimant que le principe du partage, pour pouvoir bénéficier des 3 ans, à compter du deuxième enfant, était bien acté. Il ne reste maintenant plus qu’à attendre le décret d’application qui précisera le nombre de mois à prendre par chaque parent.
Des associations ont également réagi à ces annonces. C’est le cas de Jumeaux et Plus qui estime que les effets seront désastreux sur les familles de jumeaux, triplés et plus. Cette fédération revendique « le maintien de la prime de naissance à taux plein pour le 2e et le 3e enfant issus d’une même grossesse et le maintien du congé parental à 3 ans, sans période de partage obligatoire, et son alignement sur l’entrée effective à l’école des enfants dans leur quatrième année pour permettre aux parents de concilier vie familiale et vie professionnelle. »
Enfin, les parents ne sont pas en reste et certains ont fortement exprimé leurs désaccords, notamment sur les réseaux sociaux. Une pétition des « mères en colère » a ainsi été créée. Sur Facebook, un mouvement est né pour lutter contre cette réduction du congé parental : « Les bébés révoltés recrutent dans toute la France ». Il propose notamment une campagne d’affichage qui appelle à se mobiliser contre la future loi.
Sources : CNAF, Fédération Jumeaux et Plus, Facebook
Auteur : Christine Diego Hernandez > COMMENTER4
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Un Français sur cinq peine à payer ses factures énergétiques,ecologie,economie,politiques,

7 Octobre 2014, 18:52pm

Publié par hugo

Un Français sur cinq peine à payer ses factures énergétiques
Le Monde.fr avec AFP | 03.10.2014 à 09h08 • Mis à jour le 03.10.2014 à 10h07


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L'instauration d'un chèque énergie et son financement sont actuellement en discussion dans le cadre du projet de loi sur la transition énergétique, en examen à l'Assemblée nationale.
Plus de 11 millions de personnes, soit un cinquième de la population française, éprouvent des difficultés à se chauffer et s'éclairer, selon une évaluation de l'Observatoire national de la précarité énergétique (ONPE).
Sont actuellement considérés en précarité énergétique les quelque quatre millions de foyers, soit environ huit millions de personnes, consacrant plus de 10 % de leurs revenus à leurs dépenses en énergie au sein de leur logement. Mais cette définition, résumée par la notion de taux d'effort énergétique, est jugée trop approximative par l'ONPE.


Lire aussi : Coupure pour impayé : quels délais, quels recours ?


20 % DE LA POPULATION EN PRÉCARITÉ ÉNERGÉTIQUE


La définition actuelle fait « regarder comme précaires des habitants qui ne se soucient pas vraiment de leur facture et néglige d'autres dont l'effort n'est réduit qu'au prix d'une autorestriction qui menace leur bien-être », relève son président, Jérôme Vignon, cité dans le rapport.


L'ONPE propose dès lors de combiner plusieurs indicateurs, comme le taux d'effort, le niveau de revenus, les comportements (moins se chauffer pour faire des économies, par exemple) et le ressenti du froid (en raison notamment d'une installation de chauffage insuffisante ou d'une mauvaise isolation).


Sur cette base, « l'ensemble des populations en situation de précarité énergétique dans leur logement serait de l'ordre de 5,1 millions de ménages (et 11,5 millions d'individus), soit environ 20 % de la population totale », souligne-t-il.


INSTAURATION D'UN CHÈQUE ÉNERGIE ÉLARGI


Face à cette situation, l'Observatoire réclame l'instauration d'un chèque énergie élargi à toutes les énergies, quel que soit le type de chauffage, alors que les tarifs sociaux sont aujourd'hui limités à l'électricité et au gaz. Ce nouveau dispositif et son financement sont actuellement en discussion dans le cadre du projet de loi sur la transition énergétique, en examen à l'Assemblée nationale.


Evoquant « un outil de solidarité nationale », Bruno Léchevin, président de l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe), prévient :


« L'urgence, c'est d'aider à présent les plus démunis à payer leur factures, car l'impayé fait peser le risque de la coupure (...) Penser pouvoir réussir la transition énergétique et écologique sans traiter la question sociale, ce serait prendre un risque d'échec majeur. »
L'ONPE estime aussi indispensable de continuer à soutenir la rénovation énergétique des logements des ménages modestes. « Pour les ménages aux ressources modestes, le principe de la subvention publique est incontournable, leur capacité contributive étant très limitée, voire inexistante », souligne-t-il.


Lire l'analyse (édition abonnés) : La précarité énergétique se propage




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Précarité énergétique
L'homme qui refusait de couper l’eau aux démunis
Coupure pour impayé : quels délais, quels recours ?
La santé pâtit de la précarité énergétique
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Ailleurs sur le web

http://www.lemonde.fr/societe/article/2014/10/03/20-de-la-population-peinent-a-payer-sa-facture-energetique_4499756_3224.html#&utm_source=ExtensionFactory.com&utm_medium=extension&utm_content=newtab&utm_campaign=extension

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Pensions alimentaires : le gouvernement expérimente une garantie contre les impayés,economie,lois,droits,

4 Octobre 2014, 13:59pm

Publié par hugo

Pensions alimentaires : le gouvernement expérimente une garantie contre les impayés
Pensions alimentaires : le gouvernement expérimente une garantie contre les impayés La pension alimentaire représente 20% du budget des familles monoparentales...2/10/2014
Le Gouvernement expérimente, depuis le 1er octobre, la garantie contre les impayés de pension alimentaire (GIPA) dans 20 départements pilotes, pour une durée d’un an et demi.
Depuis hier, le gouvernement a lancé une expérimentation de 18 mois dans 20 départements pour soutenir financièrement le parent qui ne reçoit pas sa pension alimentaire. En effet, seules deux pensions alimentaires sur trois sont versées, selon un rapport du ministère de la Justice diffusé en juin dernier. Ce sont donc plus de 40% des pensions alimentaires qui ne sont pas ou irrégulièrement versées. Cette expérimentation a pour objectif de mieux protéger les mères seules de la précarité puisque la pension alimentaire représente 20% du budget des familles monoparentales. Le projet fait partie de la loi du 4 août 2014 sur l’égalité femmes-hommes. En pratique, cette nouvelle mesure vise à renforcer l’allocation de soutien familial (ASF). Augmentée de 5 euros au 1er avril, son montant est désormais de 95 euros. Si la pension alimentaire versée est inférieure à cette somme, les caisses d’allocations familiales (CAF), ou les caisses de mutualité sociale agricole (CMSA) verseront la différence. La garantie sur les pensions alimentaires prévoit également qu’en cas de non-paiement par le parent, l’ASF soit versée après seulement deux incidents de paiements. Par ailleurs, si le parent isolé se remet en couple, la prestation sera maintenue pendant 6 mois afin de ne pas rompre trop rapidement les aides. Mais la grande nouveauté du dispositif réside dans les saisies. En effet, les moyens dont disposent les CAF pour récupérer les pensions impayées sont renforcés. Elles pourront désormais récupérer jusqu’à 24 mois de défaut de paiement, via la procédure de paiement direct qui consiste à faire payer la pension alimentaire par l’employeur ou les Assedic du parent défaillant. Et les Caisses d’allocations familiales joueront également le rôle de médiateur entre les parents pour éviter le plus possible le recours au juge. Aujourd’hui en phase d’expérimentation pour 1 an et demi, la mesure a pour vocation de s’élargir à l’ensemble du territoire d’ici 2016.

Source : Ministère des Affaires sociales, de la Santé et du Droit des femmes
Auteur : Chloé Margueritte > COMMENTER0
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Pauvreté : quand les personnes handicapées doivent être aidées pour survivre,economie,handicape,sante,

2 Octobre 2014, 21:03pm

Publié par hugo

Accueil » Société » Pauvreté : quand les personnes handicapées doivent être aidées pour survivre
Pauvreté : quand les personnes handicapées doivent être aidées pour survivre
Publié le 12 septembre 2014

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11% des ménages accueillis par le Secours populaire perçoivent l’AAH, une pension d’invalidité ou une indemnité journalière pour longue maladie.


Vivre avec l’allocation adulte handicapé (AAH) ou une petite pension d’invalidité relève de la gageure. Difficile de boucler les fins de mois avec 790 € par mois, le montant maximal de l’AAH, voire moins (1). Une étude du Secours populaire, rendue publique jeudi 11 septembre, confirme cette évidence. 11% des ménages aidés par cette association caritative perçoivent en effet une prestation au titre du handicap ou de la longue maladie. « Le montant moyen de leur allocation est de 631 € », souligne-t-elle.


7% des SDF perçoivent l’AAH
Ces chiffres font écho aux résultats d’une enquête de l’Insee, parue en avril : 7% des SDF perçoivent l’AAH. Vivent-ils dans la rue parce qu’ils sont en situation de handicap et que leurs ressources ne leur permettent pas de payer un loyer ? Ou sont-ils devenus handicapés parce qu’ils vivent dehors, dans des conditions très difficiles ? L’étude ne permet pas de le savoir.
Une certitude cependant : les allocataires de l’AAH (près d’1 million au total) sont proportionnellement trois fois plus nombreux chez les SDF que dans la population française âgée de 18 ans et plus (2,4 %). Révélateur… Franck Seuret


(1) Le montant moyen d’une pension d’invalidité de catégorie 2, la plus fréquemment attribuée, s’élève à 730 €.


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Picardie : les retraités dans la rue pour la revalorisation de leurs retraites,economie,

1 Octobre 2014, 01:46am

Publié par hugo

société
Picardie : les retraités dans la rue pour la revalorisation de leurs retraites
A l'appel de leurs 9 organisations syndicales les retraités manifestent dans toute la France. Ils dénoncent la baisse de leur pouvoir d'achat, ainsi que d'autres motifs de mécontentements. A Amiens un rassemblement est prévu à 15 heures devant la Maison de la culture.
Par Halima NajibiPublié le 30/09/2014 | 11:12, mis à jour le 30/09/2014 | 11:12
© France 3 Picardie
© France 3 Picardie






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Ils ont manifesté il y a quatre mois à Paris, ce mardi 30 septembre, les retraités descendent à nouveau dans la rue. Ils protestent contre le gel de la revalorisation des pensions, effective depuis le 1er avril 2013 jusqu’au 1er octobre 2015 au-delà de 1 200 € mensuels. Le syndicat CGT réclame notamment "un rattrapage immédiat des pensions pour tous les retraités, le rétablissement de la ½ part pour le calcul de l’impôt sur le revenu, et un minimum retraite égal au Smic pour une carrière complète".
Parmi les points de mécontentement, les syndicats dénoncent également la disparition de la demi-part fiscale pour les veuves et veufs et loi sur la dépendance.
société Amiens


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Politique familiale : le gouvernement sous le feu des critiques,economie,famille,politique,

1 Octobre 2014, 01:35am

Publié par hugo

Actualité > Politique Fil RSS
Politique familiale : le gouvernement sous le feu des critiques

Publié le 30.09.2014, 09h40 | Mise à jour : 14h09
Envoyer Symboles forts dans un pays où le taux de natalité est de près de 2 enfants par femme, la prime de naissance pourrait être divisée par deux à partir du second enfant, et le congé parental revu à la baisse pour les mères. Symboles forts dans un pays où le taux de natalité est de près de 2 enfants par femme, la prime de naissance pourrait être divisée par deux à partir du second enfant, et le congé parental revu à la baisse pour les mères. | (BSIP/Amélie Benoist.)
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En réponse à cette levée de boucliers, François Hollande a souligné qu'il n'y avait «pas de plan d'économies qui soit indolore». Le chef de l'Etat a insisté sur la nécessité de faire ces économies «de manière juste, de manière efficace, de manière innovante».


Les associations vent debout


Côté syndicats, la CFTC déplore «le coup une nouvelle fois porté aux familles». Le syndicat chrétien a notamment déploré le nouveau projet de réforme du congé parental, visant à un partage entre pères et mères, et la division par trois de la prime de naissance à partir du deuxième enfant. L'Unsa (Union syndicale des syndicats autonomes) estime pour sa part que c'est dans le domaine des prestations familiales que «les mesures annoncées sont les plus douloureuses». «Avec ce report de deux ans, les familles vont perdre 1 500 euros par enfant», a calculé l'Union nationale des associations familiales (Unaf). «La droite comme la gauche font de la politique familiale la vache à lait de la Sécu», regrette l'Union des Familles en Europe.


Les Associations familiales catholiques jugent que «le mécontentement des familles ne peut aller que croissant» et les incite à participer à la manifestation prévue dimanche prochain, le 5 octobre. Organisée par la Manif pour tous à Paris et à Bordeaux, cette manifestation ciblait initialement la Gestation pour autrui (GPA, interdite en France) et la loi sur le mariage homosexuel.


La droite appelle à la mobilisation


Henri Guainon, le député UMP des Yvelines n'exclut pas de se joindre au cortège. «Mettre les familles en difficulté, vous croyez que ça va améliorer la situation ? C'est une blague !», s'est indigné le député UMP des Yvelines sur France Info.


Bruno Le Maire, candidat à la présidence de l'UMP, a appelé lui «toute la droite» à se mobiliser contre ce projet gouvernemental. «Tout cela est proprement scandaleux », s'est indigné l'ex-ministre du gouvernement Fillon sur Europe 1, rappelant qu'il avait quatre enfants. «Les familles de France ont déjà subi la baisse du quotient familial de plein fouet.» Et là, «on en remet une louche avec le congé parental et la prime de naissance» a-t-il dénoncé. structure» selon lui.


Quant à la députée Michèle Tabarot (UMP), elle réclame des «Etats généraux de la famille». «Depuis 2012, le gouvernement n'a eu de cesse de diminuer les moyens de la politique familiale, avec les baisses du quotient familial, la remise en cause des aides à la création de places de crèches et maintenant l'annonce d'un nouveau rabotage», déplore l'élue.


Royal «comprend» l'émotion suscitée


Jusque dans les rangs de la majorité, ces économies sont critiquées, notamment concernant le congé parental, que le gouvernement envisage de réduire de moitié pour les mères. La députée EELV, Barbara Pompili, qui s'exprimait sur RFI au nom des députés écologistes, dit ressentir une «impression un peu d'improvisation». «Nous avons voté une réforme du congé parental à l'Assemblée il y a très peu de temps», rappelle la députée de la Somme, affirmant en revanche n'être «pas gênée» par une «remise à plat» de la politique familiale.


De son côté, le parti Communiste dénonce les «choix austéritaires» du gouvernement, «qui vont frapper de plein fouet les familles et singulièrement les femmes». «Utiliser l'aspiration légitime à faire avancer l'égalité entre les femmes et les hommes pour faire des économies sur le dos des familles et pour réduire le temps d'un des parents près de son enfant est scandaleux!» dénonce le PCF dans un communiqué.


En réponse aux critiques, le gouvernement a tenté l'apaisement. «Il y a un débat parlementaire qui va s'ouvrir et c'est dans le cadre de ce débat parlementaire que les décisions définitives seront prises», a souligné la ministre de l'Ecologie Ségolène Royal. Interrogée sur France Inter, elle a vu dans les critiques un signe de l'attachement des Français à la famille. «Ça veut dire que les Français sont attachés à la famille», s'est réjouit l'ancienne ministre en charge du portefeuille de le Famille (2000-2002).


Le gouvernement veut faire 700 euros d'économies


En dévoilant lundi le projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2015, Marisol Touraine et Christian Eckert, les ministres de la santé et du budget ont annoncé que plusieurs prestations allaient subir un large coup de rabot. Désormais, le déficit prévisionnel du régime général et du fonds de solidarité vieillesse de la Sécurité sociale devrait être de 13,4 milliards en 2015, au lieu de 15,4 milliards en 2014. Le gouvernement ne prévoit pas de retour à l'équilibre avant 2019. Au total, 700 millions d'euros d'économies seront réalisées sur la branche famille.






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Au 1er octobre 2014 : l'AAH à taux plein passe à 800,45 €,HANDICAPE,economie,

30 Septembre 2014, 14:02pm

Publié par hugo

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Au 1er octobre 2014 : l'AAH à taux plein passe à 800,45 €
Au 1er octobre 2014 : l'AAH à taux plein passe à 800,45 €


Résumé : Le 1er octobre 2014, le montant de l'AAH (allocation adulte handicapé) à taux plein augmente de 10.27 €, soit désormais 800,45 € par mois.

Par Handicap.fr / E. Dal'Secco le 28-09-2014
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La revalorisation de l'AAH (allocation adulte handicapé) était annoncée depuis quelques mois… Malgré les coupes franches dans le budget, le Gouvernement avait assuré, en avril 2014, qu'elle ne serait pas affectée par le gel des prestations sociales (lire article en lien ci-dessous) et que son montant serait réévalué à l'automne 2014. C'est chose faite au 1er octobre : l'allocation à taux plein (montant maximum) augmente de 10,27 €, passant ainsi de 790,18 € à 800,45 €.


Un coup de pouce d'1,3 % correspondant à l'inflation prévisionnelle. C'est un peu moins que l'an passé : + 1,75%. Mais la hausse des prix ayant été limitée à 0,4 % entre août 2013 et août 2014, la revalorisation va se traduire par un léger gain de pouvoir d'achat (+0,9 %). En dépit de cette hausse, l'AAH demeure en deçà du seuil de pauvreté en France, fixé par l'Insee à 987 euros par mois.


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