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Le blog de hugo,

Syndrome des ovaires polykystiques : qu'est-ce que ce déséquilibre hormonal ?,femmes,sante

29 Septembre 2017, 23:29pm

Publié par hugo

 Syndrome des ovaires polykystiques : qu'est-ce que ce déséquilibre hormonal ?
ÉCLAIRAGE - Ce syndrome touche 10 à 20% des femmes. Sasha Pieterse, actrice de la série "Pretty Little Liars", s'est confiée à ce sujet dans la version américaine de "Danse avec les stars".
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publié le 29/09/2017 à 14:39
Elle a pris près de 32 kilos en deux ans. Sasha Pieterse, l'actrice qui joue la redoutable Alison DiLaurentis dans la série à succès Pretty Little Liars, a profité de la dernière émission de la version américaine de Danse avec les stars, dans laquelle elle concourt, pour revenir sur cette prise de poids fulgurante qui lui a valu de nombreuses critiques de la part de soi-disant fans de la série.
"Les gens me disaient que j'étais enceinte et grosse. Ils étaient en colère et fous que je sois comme ça",a raconté la jeune femme de 21 ans pendant l'émission, rapporte le site Refinery 29.
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Sasha Pieterse a alors précisé qu'au moment où le public de la série l'insultaient pour son apparence physique, elle devait faire face à un diagnostic concernant sa santé : elle est atteinte du syndrome des ovaires polykystiques. "Enfin, je savais ce qui se passait", raconte-t-elle.
Acné, surpoids, pilosité : quels symptômes pour le SOPK ?
La jeune actrice n'est pas la seule à souffrir de ce syndrome. Elles sont environ 10% à 20% des femmes en âge de procréer à être touchées par ce dernier. Sa particularité ? Il s'agit d'un déséquilibre entre les hormones mâles et les hormones femelles. Les ovaires se retrouvent couverts de kystes bénins. Résultat : les femmes n'ovulent pas (ou peu de fois dans l'année). Un symptôme particulièrement handicapant pour celles qui souhaitent concevoir un enfant.
Parmi les autres symptômes du syndrome des ovaires polykystiques (SOPK), on retrouve notamment de l'acné, un surpoids voire une obésité, une tendance au diabète mais aussi des tâches brunes sur la peau, une pilosité plus excessive que la moyenne et sur des parties du corps inhabituelles comme le menton, le torse ou le dos et enfin, parfois, des pertes de cheveux.
Un traitement hormonal pour contrôler les symptômes
Toutes les femmes ne cumulent pas tous ces symptômes et certains peuvent varier au cours du temps. Ce qui rend alors le diagnostique du SOPK particulièrement difficile et tardif, d'autant plus que tous les professionnels ne sont pas au fait de ce syndrome. Sasha Pieterse le souligne d'ailleurs : ce n'est que "très récemment" qu'elle a elle-même été diagnostiquée. Les médecins spécialistes en gynécologie ou en endocrinologie seront les mieux informés pour répondre à vos questions à ce sujet et vous diagnostiquer.
Si le SOPK ne se soigne pas, ces symptômes peuvent être plus ou moins contrôlés grâce à un traitement hormonal. Pour celles souhaitant tomber enceintes, la plupart doivent cependant suivre des procédures telles que la PMA ou la fécondation in vitro.
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IntimitéSanté
 
http://www.rtl.fr/girls/intime/syndrome-des-ovaires-polykystiques-qu-est-ce-ce-desequilibre-hormonal-7790278802
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SOPK c’est une vraie galère pour une femme qui veut tomber enceinte. J’ai dû vivre une vaste<br /> expérience pour avoir un bébé. J’ai fini par me rendre à l’étranger finalement. Malgré notre superbe niveau de la médecine. Au moins pour lutter contre le SOPK le système de santé française est vraiment au top. A comparer avec les possibilités qu’on a ici et par exemple en Angleterre. Je le sais d’après les témoignages partagés dans le réseau, mais pourtant chez c’est beaucoup plus accessible d’avoir une diététicienne. Il faudra attendre des mois avant le rdv.<br /> Mais qu’est-ce que c’est le SOPK au fait? C’est le fait d’avoir beaucoup des kystes sur vos<br /> ovaires. Et les kystes sont des follicules qui normalement doivent sortir de l’ovaire pendant l’ovulation en formant un ovule. Mais qui au fait ne sort pas et reste toujours dedans. La raison de telle anomalie chez les femmes est de nature hormonale. Donc c’est logique de traiter votre niveau hormonal. Mais en réalité ce n’est pas toujours possible. Surtout si vous voulez tomber enceinte. Car si au cas opposé vous prenez des contraceptifs qui font partiellement régler le problème de SOPK. Alors que si vous voulez tomber enceinte il en faut des traitements très couteux et limités. Au général c’est couvert par l’assurance mais les tentatives sont aussi limitées.<br /> Et ce qui vraiment dommage c’est que les troubles d’ovuler influencent les autres systèmes<br /> hormonales. Par exemple diabète, thyroïdes, prise du poids, acnés, poils etc. Nous sommes tous<br /> différentes et sa fonctionne différemment pour chacune. Moi heureusement je n’ai pas de problèmes des thyroïdes. En échange la prise du poids et acné sont toujours les deux grosses questions à régler.<br /> J’ai découvert mon opk lorsque j’ai décidé d’arrêter ma pilule. Car je me sentais pas à l’aise avec<br /> mon pilule. C’est un peu difficile à décrire ce qui n’allait pas. En somme mon pilule me rendait malade. Ce pourquoi j’ai pris la décision de l’arrêter. J’ai voulu laisser mon corps reprendre ses forces. Et puis au cours des mois suivantes j’ai remarqué que mes règles vont en désordre. Absolument irréguliers. Je me l’expliquais comme la conséquence tout à fait normale.<br /> Au cours du cycle trois après l’arrêt de pilule j’ai commencé à avoir des problèmes d’acné. Sur le visage dans des endroits proches des cheveux. Et heureusement à cause de ça les acnés ne se voyaient pas trop sur mon visage. Puis j’ai eu aussi des acnés sur mes bras sur le dos. Approximativement deux semaines avant que j’ai eu mes règles. Car dans cette période-là mon cycle sans harmonie. A cause de ça je ne peux pas dire exactement quand les acnés ont commencé pour moi. Je crois que c’est le premier gros indice aux troubles d’ovulation. Qui à son tour ont provoqué SOPK. Ou c’était déjà l’OPK, on ne pourra dire jamais !<br /> Encore dans trois mois j’ai pris du poids. Pas catastrophiquement, 7 kilo. Je sais que souvent les<br /> filles prennent beaucoup plus de poids. Moi je suis chanceuse. Je fais du sport. Je dance, mais pas professionnellement. C’est plutôt un hobby.<br /> C’est après cette prise du poids que j’ai décidé d’aller voir le médecin. Je suis passé par la<br /> procédure classique. C’est-à- dire on m’a fait l’écho des ovaires et la pds. Naturellement la pds a détecté le niveau LSH élevé. Ensuite l’échographie a montré les kystes dans mes ovaires.<br /> Mais des véritables problèmes ont commencé lorsqu’on a décidé d’avoir un enfant. J’ai commencé par des traitements hormonals. Je prenais du clomiphene citrate. Puis la thérapie fut renforcée par le gonadotrophine. J’ai pris encore du poids. Mais pour les ovaires n’a pas marché. Le poids que j’ai pris était impossible de commbatre. Peu importe à quel point étaient durs les entrainements. J’avais l’impression que je meurs de faim mais je suis toujours grosse ! <br /> Vous savez, j’ai eu tellement peur que mon mari me quitte. Mais il est très fort mon chéri. Il est toujours avec moi et me soutient! <br /> Augmenter la dose des hormones était très risqué. Alors ma gynécologue m’a conseillé le drilling des ovaires. C’est une opération qui consiste à perforer les ovaires au but de faire sortir les follicules qui n’ont pas sorti de l’ovaire et forment les kystes. Il faut l’effectuer plusieurs fois. Moi j’ai eu 5 interventions. Heureusement que cette pratique est réaliser par cœlioscopie. <br /> Alors la l’effet est fort. Peu à peu j’ai dépassé le problème d’acné. Puis j’ai pu perdre le poids. Je suis retourné dans mon état normale. Et mon mari a retrouvé la femme qu’il a épousé, heureusement. Je ne retournerai jamais à prendre les pilules. Ca je vous jure !<br /> Pourtant meme après avoir normalisé mon organisme et cycle ovocytaire je n’ai pas réussi de tomber enceinte. Les analyses suivants ont montré la basse qualité d’ovocytes. J’ai refusé totalement les stimulations redoutables des ovaires. Je venais juste de les guérir . J’ai décidé que si jamais je prends la stimulation c’est au cas où cent pourcents je tombe enceinte. Alors salut la fiv don. Salut la pma à l’étranger. Bye Bye les attentes sans fin en France. Dommage que je ne peux pas réaliser ce type de traitement chez, mais bon. J’espère que les autres générations des femmes seront plus chanceuses. Euh, pour l’instant je suis mise en protocole de fiv don à Biotex. Voyons comment tout va passer. Mais j’ai de l’espoir. Nous avons de l’espoir avec mon mari. <br /> Je souhaite vraiment beaucoup de chance à toutes qui ont besoin de passer par l‘expérience d’infertilité. Vous n’êtes pas seules les filles ! Nous sommes nombreuse !
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